Greta Thunberg, porte parole de l’extrême gauche internationale
Il y a quelques jours, l’activiste de 16 ans Greta Thunberg a co-signé une tribune dans laquelle les signataires et elle-même reviennent sur le changement climatique, en affirmant que celui-ci « est lié au patriarcat raciste, colonial et oppressif » qu’il serait ainsi nécessaire de démanteler.
Dans l’homélie de la mère Greta, on observe ainsi une évolution majeure : le passage de la défense des coquelicots à la volonté de détruire l’homme blanc hétérosexuel cis-genre et chrétien qui serait responsable de tous les maux de la Terre.
Comme chacun le sait, le phénomène Greta Thunberg est notamment financé par Aileen Getty (riche héritière de la compagnie pétrolière Getty Oil Company) ainsi que de riches mécènes et philanthropes. La militante est également adoubée par de grandes figures politiques tel que l’ancien président Barack Obama.
Mais derrière la personnalité en elle-même, il existe un organigramme beaucoup plus complexe qu’il convient de mettre en lumière. Thunberg fait en réalité partie d’une sphère très organisée qui sévit dans le monde depuis quelques décennies : celle de l’extrême gauche internationale.
Dans cet organigramme, on retrouve des porte-paroles comme Greta, des groupes d’action rebelles comme « Extinction Rebellion », et en parallèle des groupes factieux, informels et « autonomes » comme l’Action antifasciste.
Vraiment autonomes ? Il suffit de soulever la pierre pour voir toute la vermine qui grouille dessous. Par exemple, les « Jusos » du SPD allemand (officine semblable aux jeunesses socialistes en France) financent des actions « antifas » en s’adressant à des officines très bien organisées : Antifa Reisen (pour les déplacements en bus), Antifa Gmbh (pour la publication des actions) et Antifa Catering (pour l’approvisionnement en nourriture). Toutes ces officines seraient également financées par le philanthrope très controversé George Soros (financier milliardaire américain) et sa fondation Open Society Institute, récemment renommée Open Society Foundations. L’Action antifasciste est une pègre industrielle, en quelque sorte.
Ces accointances délétères ne seront jamais révélées par le système médiatique. Pourtant, il y a bien une connivence logique entre les élites mondialistes et l’extrême gauche internationale. Cette connivence – illustrée par la figure de Greta Thunberg – n’est pas nécessairement idéologique (quoiqu’on pourrait fortement en douter), mais existe parce que ces deux sphères ont des intérêts convergents et que l’une arrive à s’établir grâce à l’autre. C’est l’alliance entre la peste et le choléra, comme lors du pacte germano-soviétique de 1939 à 1941, mais qui va certainement durer bien plus longtemps : certainement jusqu’au moment où les peuples seront étouffés, écrasés et remplacés et que les nations seront définitivement effacées. En effet, les milices (anti)fascistes, dont se réclame également Greta Thunberg, sont devenues le nouveau bras armé des élites mafieuses aux dents longues, véhiculant par des modes d’action violents l’idéologie libérale-libertaire et anarcho-capitaliste, et désormais l’écologie trotskyste.
L’erreur commise par une partie de la droite française et européenne est donc de considérer Greta comme une simple militante influencée par son milieu familial ou comme le porte-voix d’un simple effet de mode que les médias dominants continueraient à alimenter par pur besoin d’augmenter leur audience. En réalité, cette fille s’inscrit au sein d’un courant idéologique qui existe et agit uniquement dans le but d’assurer le fonctionnement et la durabilité du rouleau compresseur mondialiste et de la finance internationale qui écrasent les frontières, premier outil de protection des nations souveraines. Comme bon nombre de mouvements et de partis « écologistes », elle prône le retour à l’âge de pierre, l’application d’une écologie politique et collectiviste ainsi que l’ouverture totale des frontières (pierre angulaire de la pensée néo-totalitaire contre laquelle nul ne peut résister).
Voilà pourquoi le phénomène doit être pris au sérieux. Voilà pourquoi Thunberg n’est pas uniquement cette fillette handicapée qui doit retourner au plus vite au lycée. Lorsque Greta Thunberg prend la parole devant le monde entier et ses dirigeants, c’est avant tout pour diffuser l’idéologie de groupes puissants financés par des personnalités encore plus puissantes qui mettront tous les moyens à leur disposition pour réaliser leurs sombres objectifs. Après les gouvernements européens, c’est maintenant la jeunesse européenne qui est salie, corrompue et embrigadée à coup de dollars repeints en rouge.
Germain K.
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