corsica
Jiminy
Alors en plus étapes, étape 1 les origines du fascisme du proto fascisme, au fascisme classique.
Étape 2 prochaine commentaire, la non épuration du fascisme, et la guerre froide,
Étape 3La fascisation de la France et de l'€urope ajourdhui.
Les origines idéologiques du fascismes prennent leur racines dans la révolution française, l'aristocratie s'était déjà avant la révolution radicalisé contre les idées de la bourgeoisie, ils sont déjà hostiles aux francs maçons et illuminatis qui sont des sectes ou ensemble de secte ou club progressistes pour l'époque, il veumlent l'éducation pour tous tout ci tout ça, et t'as même des prêtre ctaho réac qui se joignent de la partie car ils aiment bien certaines idées. C'est simple els aristo comme toute classe dominante aime comploter contre son peuple et le maintenir sous surveillance tout en gardant des secrets, mais elle n'aime pas qu'on lui cache des choses.....
Mais avec les révolution, et surtout la révolution Française, elle se radicalise, le sommet est atteind quand les immigrés de Coblences dont le compte de valois, perdent la battaille pour la France, ils tenaient la France par les couilles, les aristaux dansaient dans des bals masqués que la république laissait comploter pépouze, 67% du pays est royaliste, les armes afflu d'angletterre et d’Autriche. Ils tiennent la France par les miches.
Mais par la compétence du tribunal révolutionnaire, et l'incompétence d'une classe aristocratique complètement décadente, ils échouent face à une France républicaine alors que les girondins et jaccobins ne peuvent pas se blairer et que certains girondins sont royalistes.
Ils ont besoin d'expliquer cette défaite, et invente le complot judéo-maçonnique, qui deviendra plus-tard complot judéo-bolshévik, et complot Islamiste des Islamogauchistes de nos jours.
Vient aussi la phobie de la révolution et des révolutions en général, la nostalgie de l'ancien régime, enfin bref je ne vais pas vous refaire l'insupportable charles X.
Plus tard sous la III° république la bourgeoisie devient réactionnaire après les évènement de 1848, et l'aristocratie se transforme de plus en plus en bourgeoisie, l'ancien régime fusionne avec la république et la bourgeoisie devenue classe réactionnaire fusionne avec l'aristocratie, il s’agit de maintenir l'ancien régime grâce au suffrage universel qui doit légitimer, les décisions de ces derniers.
Ils se prennent même le luxe de se foutre de notre gueule :
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9publicains_progressistes
Les Républicains progressistes constituent, dans la première moitié de la Troisième République, l'aile la plus conservatrice de la nébuleuse républicaine.
Mouvance informelle organisée autour du groupe parlementaire du même nom, puis structurée de façon très souple autour de l'Alliance des républicains progressistes, les Républicains progressistes sont l'une des cellules-mères, avec l'Union libérale républicaine et l'Association nationale républicaine, de la Fédération républicaine créée en 1903.
Ces soit disant progressistes sont d'ancien royaliste ayant à peine décuvés de leur ancienne idées.... Et bon le mouvement royalistes.. vous voyez ce que c'est charles X, peine de mort pour ceux qui travaillent le dimanche ou insulte le roi, c'est un ringard d'absolutisme.
Mais bon vous le savez très biens tous les régimes depuis napoléon se sont pliés à la dictature de la banque de France, c'est cette banque privée qui joue les banques publique qui dirige vraiment le pays.
C'est aussi en 1880 que l'impérialisme Français, commence à importer massivement des migrants comme armée de réserve du capital, ce qui donnera à l'extrême droite le thème de la chasse au métèques.
De l'autre côté en Allemagne et Italies ces idées débordent, pour donner le "socialisme prussien" qui est tout sauf un socialisme :
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C'est un peu l'ancêtre du nazisme.
Et en Italie ça donne ça :
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A savoir que musso a été converti au fascisme et que ce livre n'est pas entièrement du duché, amis d'un juriste fascsite qui était facho bien avant Musso.
Le fascisme de l'époque est lié à l'anti parlementarisme par comme aujourd'hui, parce-que le peuple en 1914 a voté pour l'impôt sur le revenu, ce qui prouve que le peuple peut voter contre l'oligarchie et pour ses propre intérêts.
Le débat traverse la frontière.
Ensuite je fascisme classique je vais recopier ce que j’ai déjà écris :
** Est-ce que vous foutez de moi? Combien de fois je vous ai prévenu au sujet de votre flood? Et là, vous recopiez au sein d'un message déjà long comme le bras rempli de vidéos, un autre message long comme le bras rempli de vidéos? Ban de 48 heures. Ha. **
NB : je voulais développer le faîte, que le fascisme Français, est déjà présent avant vichy, la chasse au métèque est là pour diriger le prolétariat français contre le sous prolétariat immigré (pas encore vice versa, ça viendra après la guerre)
L'appareil d'état policier qui opérera sous vichy en tant que gestapo/milice est déjà en place pour faire la chasse aux métèques.
Et qu ele fascisme c'est le capitalisme en crise.
Et que la fascisme est la thèse inverse du contrat social de Rousseau :
Ce passage de l’état de nature à l’état civil produit dans l’homme un changement très rémarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, & donnant à ses actions la moralité qui leur manquoit auparavant. C’est alors seulement que la voix du devoir succédant à l’impulsion physique & le droit à l’appetit, l’homme, qui jusque là n’avoit regardé que lui-même, se voit forcé d’agir sur d’autres principes, & de consulter sa raison avant d’écouter ses penchans. Quoiqu’il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu’il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s’exercent & se développent, ses idées s’étendent, ses sentimens s’ennoblissent, son ame tout entiere s’éleve à tel point, que si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradoient souvent au dessous de celle dont il est sorti, il devroit bénir sans cesse l’instant heureux qui l’en arracha pour jamais, & qui, d’un animal stupide & borné, fit un être intelligent & un homme.
Reduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer. Ce que l’homme perd par le contract social, c’est sa liberté naturelle & un droit illimité à tout ce qui le tente & qu’il peut atteindre ; ce qu’il gagne, c’est la liberté civile & la propriété de tout ce qu’il possede. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle qui n’a pour bornes que les forces de l’individu, de la liberté civile qui est limitée par la volonté générale, & la possession qui n’est que l’effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourroit sur ce qui précede ajouter à l’acquis de l’état civil la liberté morale, qui seule rend l’homme vraiment maitre de lui ; car l’impulsion du seul appetit est esclavage, & l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté. Mais je n’en ai déjà que trop dit sur cet article, & le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Les fasciste sont contre c’est idée de nollonté de renoncer à la force, le fasciste va idéaliser la force et la violence capitalistes, les abus de cette nouvelle condition, pour le fasciste la force brute ou la puissance monétaire acquis par le biais de la violence même la violence passive fait le mérite, might make right, la violence du plus fort sur le plus faible est pour le fasciste la plus haute forme de civilisation possible.
Il y une équilibre naturel, des plus forts, qu'il ne faut surtout pas perturber comme avec du vrai socialisme, par exemple du socialisme pas prussien.
Ou les idées de la révolution française, que les nazis répugnaient et pour citer onfray :
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8:00
Robespierre = dictateur à ranger la case des totalitaires, Les fasciste de l'AOS = O.K si tu veux mon garçon !
Ce qui nous amène sur notre citation de transition :
Deutsche Hörer (1942)
Placer sur le même plan moral le communisme russe et le nazi-fascisme, en tant que tous les deux seraient totalitaires, est dans le meilleur des cas de la superficialité, dans le pire du fascisme. Ceux qui insistent sur cette équivalence peuvent bien se targuer d'être démocrates, en vérité, et au fond de leur cœur, ils sont déjà fascistes ; et à coup sûr ils ne combattront le fascisme qu'en apparence et de façon non sincère, mais réserveront toute leur haine au communisme.
Deutsche Hörer (24 Octobre 1942), Thomas Mann , éd. Essays, présenté par H. Kurzke, Fischer, Frankfurt a.M., 1986, t. 2, p. 271