Contrairement aux chantres actuels du pseudo « dialogue », saint François n’attend rien de l’islam, il sait quelles sont les réalités de cette religion en amont et en aval. Il tient certes à respecter les personnes, mais il n’entretient au-delà de cela aucune illusion tendant à faire croire que le coran apporterait quoi que ce soit de nouveau ou de créatif à ceux qui ont en mains la tradition biblique et ses riches expériences humaines. Le coran ne revêt aucun caractère sacré pour les chrétiens,la révélation étant close à la mort du dernier apôtre. Contemporain de François d’Assise, le pape Innocent III déclare : « l’amour du prochain oblige les chrétiens à libérer les milliers de frères et de sœurs livrés à la merci des Sarrazins, écrasés et peinant sous le joug du plus sévère esclavage ! ».