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Contrairement à l'idée reçue, largement répandue par les Algériens, l'armée française avait gagné la guerre d'Algérie.
L'achèvement de la ligne Morice le long de la frontière tunisienne avait coupé l'ALN de ses approvisionnements.
Début 1960, l'ALN était écrasée : elle ne disposait plus que de 10 000 fellaghas en état de combattre, alors que la France comptait plus de 400 000 hommes, auxquels s'ajoutaient 200 000 supplétifs.
Cette "faiblesse" des combattants algériens permit à de Gaulle d'imposer les Accords d'Evian, et de se débarrasser de ce département en l'espoir que seuls subsistent des liens commerciaux.
Les massacres d'Oran en décidèrent hélas autrement pour les pieds-noirs et pour les harkis.
De Gaulle ne pouvait pas prévoir que les guenilleux Algériens retourneraient à la niche de leurs maîtres pour mendier pitance, quitte à entrer clandestinement en France, qu'ils s'incrusteraient sur notre terre de mécréants, se reproduiraient comme des lapins, et feraient fleurir des milliers de mosquées sur l'ensemble de notre territoire, avec l'assentiment, sinon la complicité, de ses successeurs et des élus de tout bord pour de basses visées électoralistes .