Si le jean-foutre élyséen souhaite sincèrement abattre "l'hydre islamiste", qu'il nomme tout d'abord une équipe d'enquêteurs chargée de faire un rapport sur son mode de fonctionnement, une petite brigade de preux pandores, ne redoutant pas de se frotter à "l'immonde bête", fera l'affaire.
Dans le cadre de "la société de vigilance" voulue par notre jean-foutre, esprit citoyen oblige, j'ai bossé sur le sujet.
Ainsi, la modeste "maman voilée", Fatima E., s'avère appartenir à une association sportive intimement liée à la mouvance islamiste, mieux, la "maman" fraye avec un dénommé Olivier Benamirouche, cadre dans cette assoce mais surtout responsable local de la CRI (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie) - une officine mahométane concurrente du CCIF - , CRI fondée par Abdelaziz Chaambi, un islamiste fiché S, lequel Chaambi réalisa un parcours digne d'intérêt, sinon d'une remarquable constance dans sa volonté d'oummaniser la divine parole d'Allah, puisqu'avant de militer activement au PIR ( Parti des Indigènes de la République), alors qu'il état membre de l’UISEF (Union islamique des étudiants musulmans en France)- renommée EMF* (Etudiants Musulmans de France) - à noter le subtil effacement du vocable "islamique", probablement car un chouïa repoussoir pour le Gaulois basique -, il co-fonda les éditions Tawhid en 1990, une maison d'édition quasi exclusivement fréquentée par les islamistes barbus en sandalettes de plage, car assurés d'y trouver les ouvrages des Frères musulmans se réclamant du salafisme ou du wahhabisme, tels que les recueils humoristiques des frérots Ramadan, Tarek et Hani, de biens belles personnes.
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L'ex-UOIF (Union des organisations islamiques en France, rebaptisée UOIF (Union des organisations islamiques de France) puis MF (Musulmans de France) - encore un prudent gommage du vocable "islamique" -, l'ex-UOIF, disais-je, participe évidemment, à de mutiples titres, au fonctionnement réticulaire de "l'hydre", mais bon, devant le pensum à venir nécessitant une présentation exempte de tout à-peu-près, j'ai momentanément clos le sujet car lassée de la fréquentation, fût-elle virtuelle, de "la bête immonde".
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Anas Saghrouni, l'actuel président de l’EMF, n'est autre que la fiston aîné de Mohamed-Taïeb Saghrouni, un membre du CBSP (Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens), une association frappée d'interdiction par les US, en raison de son financement à la branche armée du Hamas, dont la pensée s’inscrit dans le courant qutbiste, du nom de l'idéologue Sayyid Qutb, le concepteur du "djihad de conquête ", un djihad armé au service de la progression planétaire de la religion du prophète Momo, avec pour suprême objectif, la concrétisation du projet de panislamisme des Frérots musulmans.
Supputer que l'aîné du susnommé Mohamed-Taïeb Saghrouni, adhère secrètement aux idées de son paternel, ne me paraît pas farfelu.
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Ci-dessous, le projet d'Abdelaziz Chaambi, l'acolyte d’Olivier Benamirouche, lui-même acolyte de la douce "maman voilée," statufiée en Mater dolorosa par les aveulis de l'empathiquement correct : faire jouer le poids politique d'Erdogan, pas mauvais bougre sous ses airs de dictateur mais tête de Turc sur laquelle s'acharnent les ennemis de l'Islam, selon Chaambi, afin d'imposer une jurisprudence internationale sanctionnant durement "l'islamophobie."
Rien que ça ! Quoique connaissant l'opiniâtreté des moslems, ils sont fichus de réussir dans cette entreprise.
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