Le Président des USA a prononcé un discours important, touchant des problèmes politiques et sociétaux de fond, le 24 septembre 2019 lors de la 74ème assemblée générale de l'ONU, en présence des chefs d’états membres ou de leurs représentants. Ces propos du dirigeant de la première puissance mondiale ont suscité moins de commentaires dans la presse française que l’intervention de Greta Thunberg !
Nos médias officiels, habituellement si narquois et méprisants lorsqu’il s’agit de Donald Trump, ont été cette fois étonnement discrets, tant l’analyse du Président s’applique bien à la situation de notre pays. Vous trouverez le discours intégral via google. Nous donnons ici des extraits du commentaire qu’en fait Christian Vanneste, ancien député et président du mouvement La Droite Libre:
« Manifestement, le gouvernement mondial de l’oligarchie financière et des technocraties qui la soutiennent à tous les étages du pouvoir, du planétaire au local, n’est pas sa tasse de thé. Il a dénoncé « une nouvelle classe politique ouvertement dédaigneuse et défiante à l’égard de la volonté des peuples ».
(…) Il était important qu’un responsable politique de premier plan au niveau mondial désigne l’entreprise qui se dessine d’une mainmise de groupes de pression sur les politiques à mener au sein de nos démocraties : « Même dans les pays libres, nous observons des signes alarmants et de nouveaux défis pour la liberté. Un petit nombre de médias sociaux ont acquis un pouvoir immense sur ce que nous avons le droit de voir et ce que nous avons le droit de dire. » C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.
(…) La mascarade « Greta Thunberg » orchestrée à l’ONU utilise plus que jamais l’abêtissement des peuples dont on noie la réflexion sous l’émotion et la sensiblerie jeuniste mises en scène sans vergogne par les institutions mondiales, les médias, notamment les puissants médias sociaux, avec leur censure aussi discrète qu’efficace, et le vaste réseau progressiste qui associe aussi bien les écologistes gauchistes que les milliardaires libertariens comme Soros en passant par les lobbies LGBT.
« La parole d’un peuple libre ne doit jamais, JAMAIS, être mise sous silence. » Cette formule forte est une déclaration de guerre pour la liberté d’expression et contre la caste mondialiste qui veut une technocratie planétaire où les peuples seront définitivement éloignés du pouvoir, condamnés à subir un destin qu’ils n’auront pas choisi. Elle doit encourager, chez nous, la résistance qui se fait jour ici ou là, chez les scientifiques qui osent dénoncer les dogmes du GIEC ou les médecins de l’Académie qui disent leur réticence face à l’extension de la PMA. Loin d’être isolée, elle accompagne dans de nombreux pays et de grands États un réveil des identités nationales. « L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. » Dans notre pays soumis à un proconsul du progressisme mondialiste, il faut faire nôtre cette affirmation sans complexe du président Trump ! » Fin de citation.
Trump à l’ONU : pour la liberté des peuples !