bianchi51 Merci d’avoir partagé cette belle photo même si le but est de défendre une idée qui s'oppose à la réalité.
Devant la dépouille mortelle du terroriste Yasser Arafat en 2004, le chef de l’Etat français versera de vraies larmes. Les deux hommes avaient noué une sincère relation d’amitié. Songez-donc, ami d’un tueur de juifs.
Sa marque sur le monde arabe restera jusqu’à Ramallah, en Judée Samarie juive toujours occupée par les Arabes, où, avec le général de Gaulle, Chirac a une rue en son nom, et même un timbre-poste, émis après la mort d’Arafat.