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Bien sûr que pour la plupart l'immigration ne fut initialement qu'une proposition raisonnable qui aurait déraillé.
Mais elle a aussi toujours été pour une poignée, devenus de plus en plus nombreux au fil du temps, l'expression d'une position idéologique anti-nationale (et néolibérale depuis quelques décennies) qui fait de la nation un simple organe économique et nie le droit des peuples à avoir leur propre terre.
Une idéologie qui promeut la diversité comme bonne par essence, et l'identité comme mauvaise par essence. Qui promeut l'héritage du passé comme mauvais par essence car il est un frein à l'unification des hommes sous une même langue et une même culture (anglo-saxonne bien sûr : l'idée vient de là et vous en voyez une traduction dans la SF américaine où elle est intrinsèque).
Voire qui réécrit l'histoire pour prétendre qu'il n'y a jamais eu de peuple français ou que nous avons toujours été une "terre d'immigration".
Quelques exemples :
- La société ouverte de Karl Popper, aujourd'hui promue par Soros à grands coups de milliards (l'auteur du texte de l'ONU sur l'immigration et celui qui a sapé le financement du parti démocrate pour le rendre dépendant de ses fondations).
- Macron quand il déclare que la culture française n'existerait pas.
- Monet lorsqu'il voulait créer l'Europe pour détruire les nations. Un point de vue repris par Mitterrand dans ses mémoires, où il confiait vouloir détruire la France et l'Allemagne.
- Rawls et Habermas, philosophes les plus emblématiques et influents de leurs continents respectifs, qui proposent un cadre libéral commun et des communautés organisées ayant chacune des lois spécifiques sur un même territoire.
Nos dirigeants et nombre d'intellectuels comprennent très bien que nous sommes ne train de nous faire détruire. Que la France disparaît, remplacée par un pays afro-arabo-musulman. Et ils collaborent.
Et leurs motivations sont d'abord idéologiques. C'est évident pour les plus fanatiques (Macron, BHL, Joffrin, Le Bras) mais aussi pour la grande masse qui a intériorisé ces comportements sans les questionner. Ajoutez une dose d'opportunisme, de panurgisme, de lâcheté, et la croyance que l'important est de préserver la paix, la consommation et le patrimoine, de jouir de l'instant présent.
Mais le plus ubuesque est bien cette énorme masse qui ne désire pourtant pas la colonisation dans l'absolu mais qui fait tout pour l'accomplir après avoir intériorisé le dogme progressiste : diversité bien, migrant bien, identité mal, extrême-droite mal, blanc mal.
Cette situation n'est compréhensible que si l'on réalise la chape de plomb qui s'est abattue sur l'information et la pensée. Le progressisme a la même position sociale aujourd'hui que le catholicisme au moyen-âge : une doctrine totalitaire et hégémonique parmi les couches sociales supérieures. Universitaires et journalistes sont nos nouveaux curés.
Et vous, vous me dîtes que vous êtes contre la conquête afrabane. Pourtant je gage que vos choix électoraux sont avant tout guidés par un désir de stabilité économique, quitte à voter pour des gens qui veulent soumettre vos enfants à une majorité afrabane. Parce qu'on vous a fait intériorisé cette hiérarchie.
