LREM, c'est l'émancipation, n'importe qui peut devenir député, se félicite-t-il.
Assurément, comme a pu le constater le populo, la majorité LREM c'est une auberge espagnole où cohabitent 169 opportunistes, totalement inconnus ou vaguement connus pour avoir raté leur premier essai sous une autre étiquette, mais alléchés par le fumet de la soupe, lesquels furent élus sur leur bonne mine mais surtout en affichant leur binette à côté de celle de Jupiter, avec un agrégat de 139 carriéristes venus de l'UDI, de LR, de DVD, des centristes, du PRG, de DVG, des écolos, et d'un nombre conséquent de crapules du PS recyclées LREM.
C'est ainsi que des Claire O' Petit, des Mustapha Laabid, des Emilie Guérel, des Anissa kheder, des Sandrine Le Feur, des M’jid El Guerrab, et autres purent poser leur fondement sur les bancs de l'Assemblée nationale, non sans avoir au préalable signé la charte LREM, dont l'article 16 stipule que les députés n’ont pas le droit de cosigner d’amendements ou de propositions de loi "issus d’un autre groupe parlementaire" et que " si tel était le cas, le président convoquerait l’intéressé et pourrait être déféré devant le bureau "
pour les amoureux de l'écriture inclusive, a vot'bon coeur pour la démasculinisation de mon humble prose.
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