france2100 Déjà le métissage est un terme avec une certaine connotation.
Ce n'est pas à ça que je me réfère. Pas que l'ont puisse pas appliquer le terme de métissage à ce que je vante ici, mais métissage ça désigne plus des traits physiques, et puis le métissage ça existait déjà avant la vrai monogamie exogamique... Il y avait des mariages arrangés, entre tribus....

Vous voyez le mythe de tristan et Yseult? Vous appelez ça du métissage vous?

Le terme a une connotation racialiste qui porte sur le phénotype plus que la culture ! Les allégeances politique les clans et autre...
Alors dîtes-moi comment faudrait-il appeler la relation de Tristan à Yseult?

    Plariste-le-Revanite
    Votre argument pour que les blancs se métissent et noient leur population, c'est Tristan et Yseult ?!

    Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire comme conneries.

    D'autant qu'on ne parle pas de quelques nouveaux venus, on parle d'une colonisation majoritaire. Le métissage revient ici à accélérer notre suicide, pas étonnant que vous le recommandiez.

      france2100 Votre argument pour que les blancs se métissent et noient leur population, c'est Tristan et Yseult ?!

      à côté de la plaqqqqqqqqqqqqquuuuuuuuuueeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!

      Plariste-le-Revanite Vous voyez le mythe de tristan et Yseult? Vous appelez ça du métissage vous?

      Il est où le métissage dans dans la relation de Tristan à Yseult il est où?

      La réponse c'était NULLE PART !

      Plariste-le-Revanite Alors dîtes-moi comment faudrait-il appeler la relation de Tristan à Yseult?

      La réponse c'était l'amour.

      Et j'aurais ajouté, la réponse était tout simple ou presque : "De quel genre d'amour parle-t-on?"

      Et c'est là qu'il faut briller.....

      On reprend la conversation en faisant comme si vous n'aviez pas mongolisé en mode "afraban métissage..."

      Quel genre d'amour il y a-t-il entre Tristan et Yseult?

      L'amour fou entre un homme et une femme ? Pour le chercheur Louis-Georges Tin (1), c'est presque une révolution récente. Elle ne daterait que du XIIe siècle, quand l'amour courtois impose à une Europe chevaleresque friande d'amitiés viriles le culte de la Femme, jusque-là simple procréatrice.

      Cet article est à retrouver dans son intégralité dans Le Point Références : Homme, Femme, les lois du genre.

      Paradoxe ? C'est l'essor des cultures gaies et lesbiennes qui rend aujourd'hui possible une réflexion de fond sur l'hétérosexualité. [...] Car à partir de quand notre société a-t-elle commencé à célébrer le couple hétérosexuel ? À partir du XIIe siècle, quand la culture de l'amour, surgie des régions occitanes, envahit la France entière, avant de se répandre dans le reste de l'Europe : le couple homme-femme est de plus en plus analysé, chanté, célébré, exalté. Les hommes de guerre sont alors pris entre l'éthique chevaleresque, qui incite à la guerre, univers masculin, et l'éthique courtoise, qui invite à l'amour, univers féminin. Leur univers fait d'amitiés viriles doit désormais composer avec une culture hétérosexuelle culminant dans l'amour de la Femme.

      Comment être à la fois galant et vaillant ? Telle est la question que la plupart des récits de l'époque mettent en scène. Ainsi de Tristan et Yseult, considéré pourtant à bon droit comme le symbole de la culture hétérosexuelle. L'origine de la légende remonte à un héritage mythologique dont les traces les plus anciennes se retrouvent en Cornouailles. De là, plusieurs récits épars ont été composés, que des auteurs, à partir du XIIe siècle, ont tenté de réunir. Il n'y a donc pas un, mais plusieurs Tristan et Yseult. Mais les deux versions les plus importantes sont les vers de Béroul, vraisemblablement composés avant 1170, et ceux de Thomas, écrits vers 1175.
      Avant Tristan et Yseult, Tristan et Marc

      Le texte de Béroul semble plus épique, plus conforme aux traditions anciennes des récits de chevalerie : Tristan est à la fois le vassal et le rival du roi Marc. Au contraire, la version de Thomas est plus lyrique. Les monologues ne sont pas rares, qui développent les sentiments et la passion des deux héros. Parfois même sont débattus des problèmes de casuistique amoureuse, dans le style de la poésie des troubadours. Thomas met en relief une éthique courtoise dont l'absolu est l'amour seul. Il évoque parfois les délits et déduits, plaisirs d'amour, de Tristan et de sa drue, sa maîtresse.

      On sent de Béroul à Thomas une évolution, qui est celle de toute une époque : c'est la conversion de l'éthique chevaleresque à la culture courtoise. Un homme et une femme qui s'aiment, cela devient un sujet en soi, l'argument suffisant pour un roman entier. Ce qui engendre l'aventure, ce n'est plus la quête religieuse, l'ardeur belliqueuse ou les deux à la fois comme dans les récits de croisade, c'est la quête amoureuse. Mais cette culture courtoise n'avait rien de naturel. Chez Béroul, la passion est le résultat de l'absorption malencontreuse d'un philtre, catastrophe qui conduit Tristan à aimer malgré lui la femme qu'il destinait à son oncle. Or le couple initial, dans le récit, ce n'est pas Tristan et Yseult, mais Tristan et Marc.

      En effet, comme le montre une autre version, celle d'Eilhart d'Oberg, le roi éprouve la plus vive affection pour son neveu : "Le roi avait tant d'affection pour lui que, par amour pour lui, il ne voulut pas prendre d'épouse. Il décida de le considérer comme son fils et de soumettre son royaume à son pouvoir. Cela déplut fort à tous ses parents, et ils l'en blâmèrent. Maintes fois ils le pressèrent de prendre pour épouse une femme qui fût digne de son rang. Il répliquait toujours qu'il ne songeait nullement à se marier (2)." Certes, il fallait se marier pour perpétuer le lignage, mais cette passion du roi Marc pour son neveu n'avait en soi rien de choquant. Elle manifestait à la fois la puissance sociale et affective du lien vassalique, et l'importance dans la société féodale des relations entre oncle et neveu, que les historiens modernes ont plus d'une fois notée.
      Plus besoin de philtre

      Mais comme les barons soupçonnent Tristan d'être à la manoeuvre pour capter l'héritage du roi, le jeune homme s'engage à trouver une femme pour son oncle. Il y parvient en effet : elle s'appelle Yseult, et il la raccompagne vers le château du roi. Et c'est sur le vaisseau qui les transporte que les deux jeunes gens boivent le philtre. Lorsque survient cet événement, il fait apparaître un conflit entre la relation homosociale et féodale qui unissait le roi à son neveu, et celle, hétérosexuelle et courtoise, qui unit désormais le neveu à la reine. Le philtre absorbé par erreur est la cause de ce malheur, cette passion ne pouvant être que le résultat d'un accident. Et du reste, l'effet du philtre se dissipant trois ans après exactement, Tristan se désole alors de ne plus être au château avec les autres chevaliers, avec son oncle qui l'aimait tant.

      Mais ce philtre n'apparaît que dans la version de Béroul. Thomas, plus lyrique et qui centre le roman sur la passion des deux amants, n'en parle pas. Chez lui, c'est l'amour au premier regard, le coup de foudre. Point besoin d'inventer quelque artifice que ce soit, l'amour est spontané, il vient du coeur, en un mot il est naturel. Avec Béroul, une pareille passion ne pouvait s'expliquer que par un maléfice ; désormais, chez Thomas, elle se comprend par elle-même, car elle vient de l'intérieur des êtres. En ce sens, Tristan et Yseult est moins le mythe de l'amour en Occident, comme l'affirmait Denis de Rougemont dans L'Amour et l'Occident (1939), que le mythe de l'amour hétérosexuel triomphant des relations homosociales.

      Pourquoi les hommes peinent-ils à considérer les femmes comme leurs égales ? Quelle était à l'origine la conception du mariage dans le christianisme ? Quand notre société est-elle devenue hétérosexuelle ? Qu'est-ce que la théorie du genre ?

      @katou Que penses-tu de la monogammie exogammique?

        Plariste-le-Revanite
        Je connais la thèse de Clouscard : Tristan et Yseult illustrerait la nouveauté de l'union entre clans par le mariage, qui donnerait naissance au féodalisme en permettant l'intégration de l'autre dans un système politique plus vaste.

        Mais y voir la preuve que nous devrions nous noyer dans la colonisation africaine pour être fidèle à notre culture, est d'une incroyable sottise ! Auriez-vous aussi encouragé les femmes françaises à se faire féconder par les officiers nazis au motif de l'intégration de l'autre ? Sans doute.

        D'autre part notez l'anchronisme qu'il y a à proposer une solution politique pré-féodale à l'ère de la soi-disant démocratie. C'est la preuve que vous reconnaissez l'échec de votre approche contractuelle, en privilégiant désormais l'assimilation des Français à leur nouveaux maîtres par la disparition des blancs.

          france2100 Il n'y a pas que lui qui dit ça :

          Plariste-le-Revanite Pour le chercheur Louis-Georges Tin

          Beaucoup d'historiens médiévistes et d'anthropologistes disent des choses similaires !

          france2100 Mais y voir la preuve que nous devrions nous noyer dans la colonisation africaine pour être fidèle à notre culture, est d'une incroyable sottise ! Auriez-vous aussi encouragé les femmes françaises à se faire féconder par les officiers nazis au motif de l'intégration de l'autre ? Sans doute.

          Vous faîtes un lien qui n'a peut-être pas lieu d'être.

            Plariste-le-Revanite

            • La question n'est pas celle des faits historiques, que je n'ai pas compétence pour débattre et que je refuse de prendre pour argent comptant, mais de votre transposition à notre époque.

            • Les alliances entre clans n'avaient pas vocation à effacer ceux-ci : seuls les chefs étaient concernés et les enfants n'appartenaient qu'à un seul des deux clans, celui du père. Il ne s'agissait que de créer une alliance sur une génération, et un peu au-delà.

            • Une transposition correcte à notre époque serait d'organiser un mariage entre Macron et une starlette algérienne. Mesurez l'ineptie.

            • Votre transposition, elle, concerne chaque famille et vise au contraire à détruire nos peuples. C'est un appel à nous assimiler en nous dissolvant dans une majorité afrabane, pour qu'il ne reste plus rien de nous, plus qu'un peuple afraban homogène.

              france2100 La question n'est pas celle des faits historiques, que je n'ai pas compétence pour débattre et que je refuse de prendre pour argent comptant, mais de votre transposition à notre époque.

              Ha là ça devient intéressant. N'il y a-t-il pas Des clans qui se forment? Des dynasties bourgeoises? Qui a à travers le monde se font la guerre.

              france2100 Une transposition correcte à notre époque serait d'organiser un mariage entre Macron et une starlette algérienne. Mesurez l'ineptie.

              Entre son fils.

              france2100 Votre transposition, elle, concerne chaque famille et vise au contraire à détruire nos peuples. C'est un appel à nous assimiler en nous dissolvant dans une majorité afrabane, pour qu'il ne reste plus rien de nous, plus qu'un peuple afraban homogène.

              Pouvez-vous m'en donner la preuve?