cris 1- Le GIEC, un organisme sous forte dépendance politique
Oui, car il faut souvent des moyens financiers pour mener des études sérieuses !
cris 2- Il n’y a aucun consensus des scientifiques sur le climat
Euh si ^^
cris 3- Le changement climatique n’a rien de nouveau
Exacte, après la planète terre s'en acomode très bien, les êtres vivants eux doivent s'adapter au mieux ou disparaître ! Après il y a aussi l'échelle de temps qui a son importances 😉 .
cris 5- Les températures globales depuis l’année 1980
C'est à dire ?
cris 7- Le climat va-t-il s’emballer si l’on rejette trop de CO2 ?
Il y a déjà par le passé de forte éruption volcanique qui ont modifié le climat sur court voir long terme ! Il est clair que le Co2 et d'autres gaz sont des GES, et donc participe l'effet de serre !
cris 8- Dans le passé, c’est le réchauffement qui a précédé le CO2 et non l’inverse
J'en doute, mais si tu as des données tangibles, je prends 😉 .
cris 9- Des catastrophes plus fréquentes ?
D'après Jancivici (qui doit tirer ses infos du GIEC, la fréquence est grosso-merdo la même, c'est l'intensité qui est à la hausse 😉 .
cris 10- L’émergence de théories nouvelles sur le fonctionnement du climat
C'est à dire ?
Aller au pif de ton lien :
Des ombres sur la crédibilité du GIEC
Ref :942777075.txtPhil Jones (le directeur du CRU) évoque une astuce pour cacher le déclin des températures après 1961
Hum hum, la crédibilité du GIEC, hum hum, alors que cette personne n'en fait pas parti, mais est directeur du CRU !
Et de trouver :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Incident_des_courriels_du_Climatic_Research_Unit
Fin mars 2010, une enquête du parlement britannique a conclu que le comportement de Phil Jones, le chef du CRU, était conforme aux pratiques habituelles du milieu scientifique, tout en invitant à plus de transparence à l'avenir17. Jones a aussitôt recouvré ses fonctions au sein du CRU dont il avait démissionné le 1er décembre 2009. Le 7 juillet 2010, une commission d'enquête indépendante, The Independent Climate Change Email Review18,19, a conclu à un faux scandale en réfutant une à une toutes les accusations et en affirmant notamment à propos des scientifiques mis en cause que « leur rigueur et leur honnêteté ne peuvent être mises en doute », tout en proposant plusieurs aménagements destinés à améliorer la transparence des travaux effectués