Boris Johnson a gagné l'élection interne au parti Tories et va donc devenir Premier Ministre demain le mercredi 24 juillet 2019. Il remplacera Theresa May, impuissante depuis 3 ans face à une Chambre des Communes divisée et un peuple désuni. Le personnage Boris Johnson est haut en couleur, il a laissé des traces dans les medias y compris par son emportement, ses grossièretés, les raclées mises à sa femme au point que les voisins appellent les flics tant en tant que Maire de Londres ou co-leader des Brexiters avec Nigel Farage. Qui est donc ce fameux Boris Johnson ? Tout ce qu'il faut savoir sur Boris Johnson Royaume-Uni : cinq choses que vous ignorez peut-être sur Boris Johnson, prochain successeur de Theresa May Notons que ce digne représentant des classes populaires britanniques vient tout droit de la noblesse et haute bourgeoisie, et qu'il a fait ses études - onéreuses - au Eaton College et à Oxford avec la noblesse et la haute bourgeoisie de la planète. Ensuite il n'a pas fait grand-chose de bon avant de se mettre dans la politique. Ce qui me fascine, c'est sa généalogie: Wikipedia a écrit Boris Johnson naît le 19 juin 1964 dans le quartier de l'Upper East Side, à New York. Sa naissance est enregistrée à la fois par les autorités américaines et le consulat britannique de la ville qui lui accordent la citoyenneté américaine et la citoyenneté britannique. Ses parents sont tous deux Anglais. Il renonce à la nationalité américaine en 2016. Son père, Stanley Johnson (né en 1940), émigre aux États-Unis pour étudier l'écriture créative à l'université de l'Iowa, avant de s'orienter vers des études d'économie à l'université Columbia de New York. Il devient ensuite expert en prévention de la pollution à la Banque mondiale. Dans le même temps, il fait partie de l'International Planned Parenthood Federation (en) (IPPF). Il travaille par la suite pour la Commission européenne (1973-1979), avant d'être député européen britannique de 1979 à 1984. Cette année, il reçoit un prix de la part de Greenpeace pour « services exceptionnels rendus à l'environnement ». Il travaille à la DG environnement à Bruxelles de 1984 à 19943. Il a publié plusieurs livres et essais sur les questions d'environnement et de surpopulation4. Il s'est remarié à Jennifer Kidd, avec laquelle il eut deux autres enfants. Le père de Stanley, Johnny Johnson, est né Osman Kemal à Bournemouth, d'une mère anglaise et suisse, Winifred. Le père de Johnny, Ali Kemal, est un journaliste turc ayant été tué pour ses sympathies anti-nationalistes pendant la guerre d’indépendance turque. Après le décès de Winifred peu de temps après l'accouchement, Osman, devenu orphelin, part vivre avec sa grand-mère maternelle anglaise, où il est rebaptisé Wilfred « Johnny ». De son côté, la mère de Stanley, Irène Williams (ép. Johnson), est moitié anglaise et moitié française, descendante d'une fille illégitime du prince Paul-Charles de Wurtemberg. Paul est un arrière-arrière-grand-père d'Irene et par lui un descendant du roi George II de Grande-Bretagne. Par cette connexion, Boris Johnson a des liens de parenté avec la majeure partie des familles royales d'Europe et est le cousin de l'ex-Premier ministre David Cameron. La mère de Boris Johnson, Charlotte Johnson Wahl (en) (née Fawcett), provient d'une famille d'intellectuels libérale de gauche et a épousé le conservateur Stanley en 1963, avant de l'accompagner aux États-Unis. Elle est la fille de sir James Fawcett (en), avocat reconnu et président de la Commission européenne des droits de l'homme, et de Frances Beatrice Lowe, une Américaine dont les parents étaient les universitaires Elias Avery Lowe, d'origine juive ashkénaze, et Helen Tracy Lowe-Porter (en). En 1963, elle épouse Stanley Johnson, qu'elle a rencontré à Oxford, alors qu'elle étudiait l'anglais. Elle devient peintre professionnelle. Elle se remarie en 1988 avec Nicholas Wahl (en), un politologue américain spécialiste de la France, dont elle devient veuve en 1996. Boris Johnson est l'aîné de quatre enfants d'une fratrie qui compte Rachel Johnson (en), journaliste un temps rédactrice en chef du magazine The Lady, née en 1965, Leo Johnson, réalisateur de cinéma et entrepreneur, né en 1967, et Jo Johnson, éditiorialiste au Financial Times, né en 1971. L'aristocrate est donc baron belge. Il est né aux USA et a renoncé récemment à la citoyenneté double (2016, l'année du referendum). Il a du sang belge, français, allemand, américain, juif, turc. Il est descendant des familles royales et impériales d'Europe et du fondateur de la République Turque Mustapha Kemal Ataturk. Je me pose une question à son propos: comment une "élite" internationalisée comme lui a t'elle pu aller se fourrer dans le Brexit.

Pour le fric, cher ami felidé. Ce genre de rouquemoute en a strictement rien à branler de son pays, seuls ses dividendes comptent.

Il est probable que ce lascar ait prévu quelques petits intérêts dans l'importation monopolistique future des frais d'Espagne ou du camembert français .

Pas de conclusions hâtives .....On a peut être un super copain de Trump qui va faire ce que les Anglais attendent !

La coiffure a des similitudes, c'est vrai. Par contre, je ne sais pas si quelqu'un sait ce que veulent les anglais (pardon les pakistanais/indiens/bengalis/chinois/nigérians/ghanéens/jamaicains).

un grand Pays va enfin quitter cet hydre qu'es cet U.E despotique , le début de la fin de cet organisation malfaisante pour nos Pays.

claude67 un grand Pays va enfin quitter cet hydre qu'es cet U.E despotique , le début de la fin de cet organisation malfaisante pour nos Pays. Mais oui, seulement vous oubliez que la G.B. n'a jamais été réellement dans l'U.E. Elle y a juste mis un pied pour pouvoir refourguer avantageusement les produits de son propre union, à savoir provenant du "royaume uni" son commun Wells quoi. Alors, qu'elle quitte maintenant ne gênera pas les pays qui ont intégré vraiment l'union européenne !

claude67 Grâce à Dieu, nous allons être débarrassés de cette île nauséabonde et de ses sales habitants. Le Brexit sera un tel fiasco pour le Royaume-Ni que ce sera dissuasif pour les autre Etats-Membres de l'UE et pour les électeurs de ces états-nations, les partis populistes en mourront à commencer par le RN.

[supprimé] La coiffure a des similitudes Vivement la photo de ce beau duo capillaire.

A choisir je préfère garder les anglais et virer tous les clodos de l'est .

Il n'est pas encore nommé que ça commence à couiner. excellent début

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Le Royaume-Uni à l'heure du Brexit.

[supprimé]

Just

On peut en penser ce qu'on veut . Mais aujourd'hui ces gens vont nous donner une leçon d'histoire , de civilisation et de traditions .
Tout ce que la macronie tente de supprimer dans notre pauvre pays .

Nymo

[supprimé] Tout ce que la macronie tente de supprimer dans notre pauvre pays .

qu'est ce que tu peux raconter comme bobards.

Macron a tenté de supprimer quoi?

AbbeTyse

[supprimé] Il faut respecter les traditions car elles sont le ciment du peuple. Toutefois le prix de cette cérémonie peut paraître excessif lorsqu'à côté de cela, de plus en plus de gens sont affamés et le roi Charles se trompe lorsqu'il affirme que le peuple anglais doit lui prêter allégeance car c'est l'inverse qui doit se faire en tant qu'être privilégié et successeur désigné de cette monarchie.

[supprimé]

Nymo

Quand on met à la tête de l'éducation nationale un indigéniste wokiste , c'est pour quoi faire , selon toi banane ?

Nymo

[supprimé] Quand on met à la tête de l'éducation nationale un indigéniste wokiste , c'est pour quoi faire , selon toi banane ?

ah oui?
Le Pap il a détruit quoi, depuis son ministère?
Vas y, au lieu de m'insulter de banane.

T'as des trucs concrets? ou c'est juste pour sortir tes petits fantasmes flippés habituels?

Just

Nymo En france on aime bien les anglais et leur monarchie tandis que l'on aime pas notre président pour son côté monarchique, curieux paradoxe...

[supprimé]

Nymo

Il a juste détruit l'instruction publique .

[supprimé]

Just Plusieurs raisons:

la monarchie unit le Royaume-Uni. Sans monarchie, l'Ecosse et l'Irlande du Nord se ferait la cerise rapidement, même si Charles III est moins rassembleur que Queen Elizabeth.
la monarchie est le symbole et le souvenir de l'Empire sur lequel le soleil ne se couchait pas, souvenir auquel les britanniques sont très attachés. Et la monarchie règne sur le Commonwealth. Bon le Commonwealth ne compte plus que 14 pays, Antigua-and-Barbuda s'est barré et la Jamaïque et le Belize envisage d'en faire autant. Le Commonwealth, que les Brexiters ont vendu n'est déjà plus qu'un rêve.
la monarchie préside l'Eglise Anglicane.
la monarchie a admis la démocratie parlementaire il y a bien longtemps.

Chez nous la monarchie de droit divin a subi un coup d'arrêt à la Révolution et la Révolution de 1830 l'a envoyée dans les livres d'histoire. La République est laïque et franc-maçonne. Nos colonies ne sont plus qu'un (mauvais) souvenir après l'Indochine et l'Algérie.

Nymo

[supprimé] Il a juste détruit l'instruction publique .

super.
A part ce genre de déclaration sortie de nulle part, t'as un truc concret? ou ça te fait juste plaisir de répéter ça sans aucun argument?

candidus

[supprimé] Personne ne croit que Macron ait la stature d'arriver devant sa bonne cathédrale de Reims dans un carrosse doré tiré par 6 chevaux.

[supprimé]

candidus Je ne pense pas que Macron ni personne n'y pense.

candidus

candidus Personne ne le croyait, il l'a fait. La foule, les acclamations, les chevaux.

https://www.info-flash.com/info-flash/actualites/france/99366-bfmtv/65465844-information.html

candidus

[supprimé] Dommage. Ça a plus d'allure qu'une haie de casseroles.
Qui se souvient d'un seul des 1ers ministres d'Elizabeth II ? Churchill et peut-être la Madame de notre alcoolique.

[supprimé]

candidus Churchill, Margaret Thatcher, Tony Blair et l'infâme Boris Johnson peut-être.

Nymo

[supprimé] Churchill, Margaret Thatcher, Tony Blair et l'infâme Boris Johnson peut-être.

John Major, Theresa May.
Gordon brown aussi, je crois?

candidus

Nymo Sacré Bojo il rentrera dans l'histoire par sa touffe. Blair non mais j'hallucine c'est qui ? Pour le menu détail on a Wiki.

[supprimé]

«Le Royaume-Uni n’a pas connu l’essor commercial promis»: quatre ans après, le morne bilan du Brexit

Le 31 janvier 2020, sonnait l’heure du «B-Day», «B» pour Brexit. Une «nouvelle aube» allait se lever sur le royaume, selon les mots exaltés de Boris Johnson. L’avenir hors de l’UE s’annonçait radieux. Quatre ans plus tard, le tableau est moins lumineux. Si l’on en croit les sondages, une majorité de Britanniques regrettent aujourd’hui ce choix historique. Avec le sentiment grandissant que le coût du divorce l’emporte sur les fameux «gains» promis par les brexiters.

Au fil des mois, les études d’opinion montrent un désenchantement croissant à l’égard du Brexit décidé par référendum en 2016. Selon le dernier sondage Opinium, seulement 22% des Britanniques estiment que la sortie de l’UE a eu un effet positif sur le pays en général, une proportion qui tombe à 12% si l’on considère spécifiquement l’économie.

Le Brexit semble donc être une réalité sinistre, une idée qui peine à convaincre, si éloignée des rodomontades de Nigel Farage et Boris Johnson.

stm

[supprimé]
C'est sûr que comparer aux pays de l'UE, y a pas photos.
L'UE, cette zone de prospérité et de paix.
Avec une croissance de 0,5% de la zone Euro, on peut bomber le torse.

Neodadais

[supprimé] Mais non.

Ces sondés se réfèrent à leur situation privilégiée dans l'union.
Ils auraient perdus ce statut de toute façon.

stm

Neodadais
Situation privilégiée ! Pourriez vous détailler ?

Neodadais

stm Situation privilégiée ! Pourriez vous détailler ?

Pour exemple, vous souvenez-vous d'une libre circulation des personnes à Calais ?

Pour lien, sinon.

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