La santé de la chancelière allemande inquiète nos voisins outre-Rhin depuis la diffusion de nouvelles images prises ce jeudi où elle apparaît parcourue de tremblements incoercibles.
Aucun médecin ne se risque publiquement à faire un diagnostic simplement en regardant les images de la chancelière allemande parcourue de tremblements incoercibles. Pour des raisons déontologiques, d’abord, mais aussi pour des raisons pratiques. Car l’étendue des possibles va de simples malaises hypoglycémiques ou par déshydratation à l’apparition d’une maladie neuro-dégénérative, type maladie de Parkinson, en passant par une tumeur cérébrale.
Aucune de ces hypothèses ne cadre vraiment avec les symptômes d’Angela Merkel. Ce qui ne les exclut pas pour autant, car la médecine est faite de formes atypiques, c’est-à-dire de symptômes qui ne cadrent pas parfaitement avec un diagnostic. Au final, des dizaines d’hypothèses sont envisageables et des examens complémentaires sont nécessaires.
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D’ailleurs, ce n’est pas tant la façon qu’a eu la chancelière de minimiser le ...
