Ici, il ne s'agit pas de discrimination sociale, mais raciale. Les rejetons d'immigrés afro-maghrébins, issus pour la plupart de familles illettrées à faible QI, et dépourvus de toute éducation et culture "classique", n'ont évidemment aucune chance dans les épreuves de dissertation.
Même un fils d'ouvrier français de souche sera mieux armé qu'eux pour écrire en bon français, manier des tournures de langues, utiliser un vocabulaire précis et pertinent.