Une provocatrice qui refait ce coup-là tous les ans.
Le "scandale" du burkini interdit à Aqualand ou comment monter une polémique médiatique en plein été
Louz semble également coutumière du fait de se rendre dans des lieux de baignade vêtue d'un burkini. La technique est éprouvée, notamment par les militants les plus chevronnés du Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) : élaborer des mises en scène pour provoquer des troubles puis les médiatiser afin de mettre en accusation la France et ses règles "racistes" ou "islamophobes". Dès avril 2017, Louz répondait à un tweet de Marine Le Pen promettant que le burkini serait interdit sur les plages, en écrivant : "On voit ça cet été ma biche ! Promis je fais un max de plages françaises en burkini."
L'étudiante n'a pas lésiné, dénonçant "des règlements intérieurs dignes d’apartheid", le fait d'être "traitée comme un animal (...) du fait de ma confession et de mon genre", ou convoquant carrément les mânes "colonialisme [qui] n'a jamais pris fin", évoquant "les corps des femmes racisées (...) contrôlés par des institutions". Des sophismes en pagaille qui, s'ils n'ont pas rendu son témoignage crédible, ont permis à la militante décoloniale de produire une agitation médiatique pendant quelques jours. A l'année prochaine ?