Cela fait plus de trente ans que, ostracisés par les bien-pensants, nous dénonçons l’islamisation, progressive naguère, désormais agressive et conquérante, de tous les secteurs de la société française. Aujourd’hui, des espèces de Bouvard et Pécuchet de l’Assemblée nationale publient un rapport – très bisounours car ces gens sont indécrottables sur les services publics face à la radicalisation.
Face ? C'est le mot de trop car loin d'être face à ou mieux de faire face à cette menace mortifère, les services publics sont à l'image du gouvernement : ils s'écrasent ou s'enfoncent dans le déni. Dhimmitude ou lâcheté ? Les deux mon colonel.
Il paraît qu'il a fallu huit mois au LR Eric Diard et au LREM Eric Pouillat (car c'est aux incendiaires qu'on demande de décrire l'incendie) pour ondre ces quelques 110 pauvres paginettes désolantes de banalités. Beaucoup de temps et beaucoup d'argent pour répéter du déjà-dit, des dizaines de livres étant parus depuis des années qui décrivent par le menu et sans langue de bois, eux, l'état des lieux D'autant que ce n'est pas la radicalisation, stade ultime de l'islamisation, qui est le problème, mais l'islamisation pure et simple.
Dernier exemple en date, cet aréopage de vingt-cinq grosses dondons en burkinis faisant irruption, le verbe haut et les seins bas, dans une piscine de Grenoble Une action spontanée, improvisée, sans sponsors salafisants ? T'as qu'à croire, Grégoire ...
https://present.fr/2019/07/03/il-est-dhimmi-passe/