Immédiatement après la guerre, les allemands évitaient de se promener en car dans l’hexagone, et quand ils le faisaient, c’était à leurs dépens, j’ai connu une dame qui courait systématiquement après les cars de boches, en les insultant le poing levé, elle avait des douleurs récurrentes à l’abdomen, suite à des coups de botte donnés à terre par un officier SS, dans un camp de concentration, alors qu’elle était très jeune...