Adèle Haenel
Ex actrice future sur le retour.
Bon là, quand quelqu'un écrit aussi bien, laissons parler la prose:
Adèle Haenel arrête le cinéma pour se lancer dans une carrière révolutionnaire. Ici, la bêtise est au premier degré. C’est de la bêtise bêtasse, de la bêtise brute, sans chichi. Adèle Haenel est l’archétype de l’individu nombriliste, abruti et inapte à toute réflexion personnelle. Après avoir pioché dans les tracts de Révolution Permanente le peu de vocabulaire politique qu’elle connaît, la voici qui se répand dans les AG des universités ou dans quelques obscures officines gauchistes. Le regard halluciné et haineux, cette révolutionnaire de comédie ne comprend pas la moitié de ce qu’elle dit. Elle mâchonne généralement des bribes de phrases incohérentes desquelles émergent les mots patriarcat, capitalisme, écocide, biodiversité, virilisme, etc., c’est-à-dire toute la bouillie wokisto-écolo-gauchiste. Haenel parle comme Despentes écrit, c’est-à-dire mal. En Chine, dans les années 60, elle aurait fait une très vigilante Garde rouge assidue aux tâches de rééducation des « bourgeois » qu’elle déteste de tout son cœur puisqu’elle n’a d’amour que pour « celleux » qui « organisent la résistance » et « essayent d’arracher un avenir à cette planète », gribouille-t-elle dans sa lettre de démission. Le cinéma français perd une actrice qui n’avait aucun talent, il n’y a donc pas grande perte. Et je me réjouis d’avance en pensant aux camarades révolutionnaires qui vont se coltiner cette truffe et qui, au bout d’un moment, inévitablement, vont la trouver saumâtre.
C'est pas bien dit ça ?
Didier Desrimais - Causeur
https://www.causeur.fr/mort-de-rire-charline-vanhoenacker-259922