Les bonnes vieilles leçons de moraline de Jack-l'éventail.
Evidemment quand c'est Alaph qui pulvérise les meilleurs rouleurs du monde dans le CLM de Pau l'an dernier, qui suit Pinot et termine devant Bernal, Uran, Landa, Thomas au sommet du Tourmalet dans un HC de légende, qui en 2018 ramène les Pois à Paris en gagnant deux étapes de montagne au Bornand et à Luchon (vous savez ces coureurs échappés qui ne renouvellent jamais un raid dans l'ère "moderne", sauf Carapaz), là il n'est pas permis de douter. La moraline des expertologues en expertissimologie, c'est comme le trop-plein de fosse septique, on préfère toujours quand ça se déverse chez les voisins.
Alaphilippe a un déroulement de carrière à la Jalabert, et des convergences flagrantes dans la progression. Evidemment c'est un corps pur, à l'instar de son aîné qui a traversé les années Pantani, Rijs, Armstrong, Ullrich avec des ailes d'ange qui poussaient de chaque côté de son maillot de numéro 1 mondial.
Le Tour, c'est sain quand c'est un français qui y brille, ça sent mauvais quand c'est un étranger qui le fait sien. C'est comme les grandes idées, quand ça déboule depuis un éventail à moraline élevé au sein de la Force tranquille , c'est noble, mais quand la source est situé plus à droite dans l'Histoire, c'est mal.
C'est le propre des barbares, et des zumanistes de forum, de détruire ce qu'ils ne peuvent pas comprendre.