La montée de l'Iseran par la conjonction Ineos/Bernal restera un des grands moments du Tour de France. Depuis Pantani, qui était bien moins complet, on n'a jamais vu un coureur aussi impressionnant dans les grands cols. Ils ont tous pété un par un dans sa roue, et je pense qu'il en gardait encore pas mal pour le final, où nous aurions eu droit à une montée de Bernal sur la plaque.
Fantastique coureur.