oh non je ne nie pas l'être en puissance, mais jusqu'à nouvel ordre "supprimer" une potentialité n'a jamais été un meurtre.
Si vous étiez un tantinet plus malin, vous vous demanderiez pourquoi l'être en puissance devient être, et ce qu'il est à l'origine. La grossesse est un processus comme je le disais l'autre jour, ce qui implique qu'il vit.
Puis même s'il n'y avait que "potentialité", monsieur le sophiste, elle est réalisée quasiment à chaque fois; et comme je vous l'ai dit, il y a deux minutes, même si ce n'était pas le cas, vous n'avez pas la preuve qu'elle n'aurait pas été effective dans chaque cas que l'on peut traiter.
Maintenant un peu plus sérieusement :
C'est justement parce qu'il y a cette potentialité que l'avortement n'est pas un acte anodin. C'est pour cela qu'il est traumatisant pour une femme de se faire avorter, et il vaudra toujours mieux favoriser les moyens de contraception aux solutions d'avortement.
Demandez - vous pourquoi il y a culpabilité ? Et surtout pourquoi vous préférez que madame assume la culpabilité plutôt que le bébé. Vous vous pensez plus malin que mes contradicteurs précédents, mais c'est loin d'être le cas. Chacune des réponses que j'ai données précédemment suffit à vous contrer, monsieur le sophiste.
Cela étant dit, lorsqu'on arrive à l'avortement ce que les moyens de contraception ont échoué d'une manière ou d'une autre.
Dans ces cas là, l'avortement est un moindre mal. Et en tout état de cause la seule à être en mesure de le juger est la femme elle même.
Non monsieur: il faut simplement juger, mais avec sagesse.
Concernant la contraception, je vous renvoie à mon lien vers un autre post sur l'amour libre.
je ne nie pas non plus son statut de "vivant" au même titre qu'une tumeur ou un fleur, mais son statut d'être conscient, ce qui est une condition au statut d'être humain.
Ce qui me fait nier la notion de meurtre du coup. Et ce n'est pas du tout un sophisme.
Je ne préfère pas que madame assume la culpabilité plutot que le bébé, mais simplement qu'elle ait le choix d'assumer l'un ou l'autre.
Enfin je me passerais allègrement de votre ton condescendant, il n'apporte rien à la discussion.