Depuis plusieurs mois, les Allemands se passionnent pour un débat qui ne se cesse de rebondir: «Faut-il avoir des enfants?» Dans un sondage YouGov, 20% Allemands et Allemandes interrogés estiment avoir fait une erreur en ayant eu un enfant. L’Allemagne est un pays qui vieillit. Pire, son solde naturel reste négatif, même si la fécondité est passée de 1,25 enfant par femme à 1,47 en quinze ans. Ce dernier était en 2015 de moins 187 609 personnes et reste en chute libre depuis 1972. Une étude réalisée en juillet par la société YouGov et traduite ces derniers jours par Libération permet de comprendre l’origine de ce phénomène : 73 % des Allemands ayant des enfants ne regrettent rien, 7 % sont indécis et 20 % (pères comme mères) estiment que même s’ils aiment leurs enfants, ils pensent avoir fait une erreur. Une réaction égoïste ? Interrogé par BFMTV, Didier Pleux, psychologue et auteur des 10 commandements du bon sens éducatif, avance un début d’explication à cette désaffection pour la maternité : « Avec la génération Y (personnes nées entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990), on a des parents qui font des enfants comme on achète quelque chose dans un supermarché, et qui se rendent compte qu’avec un enfant il y a des rites, des contraintes. » L’enfant, un carcan social ? Mais le problème pourrait être beaucoup plus critique qu’une simple crise générationnelle. Libération avance une autre thèse : les mères allemandes subissent une telle pression pour être des mamans parfaites qu’elles en sont dégoûtées. Pour arriver à être à la hauteur, la moitié des mères allemandes travaillent à mi-temps. Une conception de la maternité que les féministes allemandes ont attaqué dès 1977. L’enfant étant pour elles un « obstacle à l’émancipation ». « Les plus lourdes chaînes qui retiennent les femmes sont leurs enfants, écrivait Alice Schwarzer, une figure féministe nationale, dans Comment des êtres humains ont été transformés en hommes et en femmes. Socialement, la maternité est une croix que l’on porte quand il le faut. Mais la choisir volontairement ? » Si elle se traduit dans les faits, cette opinion est très loin d’être admise par la société allemande. Pendant l’été 2015, le tabloïd Bild publiait ainsi une charge contre « les femmes de pouvoir ». Et le journal de persifler : « On dirait des hommes. Ce ne sont plus des mères. Elles ne veillent plus la nuit quand leur enfant a peur de la foudre et des éclairs. » http://m.lavoixdunord.fr/france-monde/v ... b0n3730029

je ne sais pas trop quoi en penser voici le même sondage traité par libération http://www.liberation.fr/planete/2016/0 ... is_1494774

Tout à fait. Problème déja ancien, la culpabilisation des femmes qui mettent leur enfant à la crèche - il y en a d'ailleurs beaucoup moins qu'en France - pour lequel les Allemands ont un terne charmant : Rabenmutter , une "mère corbeau". (A ne pas confondre avec la milf, qui est une mère qui a un corps beau).

Kinder, Küche, Kirche. Oui, ça c'était le slogan des années 50 (enfant, cuisine, église). Comme certains s'en souviennent peut-être, l'Allemagne a connu une baisse de sa population drastique et inexplicable (avec en particulier une mortalité mystérieuse et excessive des jeunes hommes en âge de procréer) dans les années 40... Il fallait donc repeupler. Donc pour la femme allemande, c'était : ponds et ferme ta gueule.

Ce n'est pas en organisant l'invasion par des pouilleux venus du tiers monde qu'ils repeupleront le Reich.

Regarder son gosse et regretter. Franchement ça me laisse pantois :(

Ce n'est pas en organisant l'invasion par des pouilleux venus du tiers monde qu'ils repeupleront le Reich. Marine a peut-être une solution miracle ? Forcer les Allemandes à avoir envie de gamins ? Faudra appeler Johnny Halliday à la rescousse, il va leur donner l'envie d'avoir envie. Vous même, vous proposez quoi ? Un revenu maternel ? Les Allemands y ont pensé, figurez-vous, ils ont fait mille études, colloques, bouquins sur toutes ces questions depuis plus de vingt ans et, contrairement à ce que vous pensez, ils ont beau être Allemands, ils ne sont pas complètement cons pour autant. Ils ont mis des centaines de chercheurs (qui ne sont sans doute rien auprès d'un Tiresias qui n'a comme argument que la haine sociale) là-dessus pendant des années. Je me souviens lors de ma dernière (ou avant dernière, plutôt) visite en Bochie herzégovine (il y a une quinzaine d'années ? je ne sais plus trop) d'avoir lu dans des revues toute une discussion sur "Le modèle français", avec en gros la question : comment font-ils, ces satanés Français, pour pondre encore pas loin de 2 enfants par femme ? C'est quand même pas que leur réputation de fouteurs, il doit y avoir autre chose. (Je plaisante, c'est le genre d'idée qui viendrait à des Américains, les Allemands n'ont pas la même mentalité). Et pourquoi on ne pourrait pas faire comme eux, c'est un pays comparable, etc. Réponse ? C'est trop long et c'est trop cher. Il faudrait injecter des masses de fric dans une politique nataliste sérieuse et dont les effets se font sentir à long terme. Keynes n'a pas dit cela en parlant des Allemands, mais si ça continue comme ça, à long terme, ils seront tous morts. Je comprends que ça vous fasse de la peine, mais les Allemands ne sont pas comme vous des idéologues de la Race (ils en ont de mauvais souvenirs, eux, et si vous aviez été un habitant de Dresde, par exemple, ces conneries vous feraient moins marrer), ils ont un problème effectif et pas idéologique. Et certainement ils préféreraient recevoir des marquis blancs et toujours fourrés à la messe pour se repeupler, ou des Vikings adorant le Dieu Thor, mais voilà, ces gens-là n'ont aucune envie de venir jouer les Gastarbeiter (travailleur immigré) et les Gastpondeurs en Allemagne, le monde est mal fait, trouvez pas ?

Je comprends que ça vous fasse de la peine, mais les Allemands ne sont pas comme vous des idéologues de la Race (ils en ont de mauvais souvenirs, eux, et si vous aviez été un habitant de Dresde, par exemple, ces conneries vous feraient moins marrer), ils ont un problème effectif et pas idéologique. Et certainement ils préféreraient recevoir des marquis blancs et toujours fourrés à la messe pour se repeupler, ou des Vikings adorant le Dieu Thor, mais voilà, ces gens-là n'ont aucune envie de venir jouer les Gastarbeiter et les Gastpondeurs en Allemagne, le monde est mal fait, trouvez pas ? Le problème de l'immigration n'est effectivement n'est pas racial mais il est indéniablement culturel et même en partie démographique lui-même à partir du moment que l'immigration est essentiellement masculine. On pourrait substituer à la forte natalité une immigration constituée de population, certes plus pauvres que la population allemande, mais pouvant également se fondre culturellement dans la société allemande, bénéficiant globalement d'un niveau éducatif suffisant et qui donc au bout d'une génération être parfaitement intégrée et être véritablement allemande. Mais l'immigration actuelle ne va très probablement pas aboutir à ce résultat. Et dès lors une politique nataliste serait bien plus préférable à plus long terme que l'immigration massive actuelle. Mais effectivement les politiques souvent ignorent le long-terme et raisonne à court-terme c'est ainsi qu'on peut participer au suicide démographique et culturel d'un pays.

Les Allemands y ont pensé, figurez-vous, ils ont fait mille études, colloques, bouquins sur toutes ces questions depuis plus de vingt ans et, contrairement à ce que vous pensez, ils ont beau être Allemands, ils ne sont pas complètement cons pour autant. Ils ont mis des centaines de chercheurs (qui ne sont sans doute rien auprès d'un Tiresias qui n'a comme argument que la haine sociale) là-dessus pendant des années. Ces mêmes chercheurs qui ont dit "euro=croissance"? La stabilisation du taux de natalité par rapport au taux de mortalité est un phénomène bien connu qui accompagne l'arrivée d'un pays dans le club des pays développés. Avec sa population décroissante, l'Allemagne est peut-être en train d'entrer, en avance sur les autres, dans la phase suivante.

Je comprends que ça vous fasse de la peine, mais les Allemands ne sont pas comme vous des idéologues de la Race (ils en ont de mauvais souvenirs, eux, et si vous aviez été un habitant de Dresde, par exemple, ces conneries vous feraient moins marrer), ils ont un problème effectif et pas idéologique. Et certainement ils préféreraient recevoir des marquis blancs et toujours fourrés à la messe pour se repeupler, ou des Vikings adorant le Dieu Thor, mais voilà, ces gens-là n'ont aucune envie de venir jouer les Gastarbeiter et les Gastpondeurs en Allemagne, le monde est mal fait, trouvez pas ? Le problème de l'immigration n'est effectivement n'est pas racial mais il est indéniablement culturel et même en partie démographique lui-même à partir du moment que l'immigration est essentiellement masculine. On pourrait substituer à la forte natalité une immigration constituée de population, certes plus pauvres que la population allemande, mais pouvant également se fondre culturellement dans la société allemande, bénéficiant globalement d'un niveau éducatif suffisant et qui donc au bout d'une génération être parfaitement intégrée et être véritablement allemande. Mais l'immigration actuelle ne va très probablement pas aboutir à ce résultat. Et dès lors une politique nataliste serait bien plus préférable à plus long terme que l'immigration massive actuelle. Mais effectivement les politiques souvent ignorent le long-terme et raisonne à court-terme c'est ainsi qu'on peut participer au suicide démographique et culturel d'un pays. Vous raisonnez antique, vous faites du Sarkozy, c'est pas à la hauteur. L'immigration choisie, c'est une blague. Du pipeau. De la branlette. Un attrape-LR. Les Syriens dont on parle ne viennent pas attirés par la France, l'Allemagne, l'Europe, ils ne sont attirés par rien, ils fuient. C'est pas un "appel d'air", c'est une pompe qui les ejecte de chez eux. Ceux qui viennent ne sont d'ailleurs pas les plus pauvres et mal formés, ils sont encore capables d'aligner 3000 euros à un passeur, vous voyez ce que ça représente pour un vrai "pouilleux" syrien ? Mais vous allez me dire que je tiens des propos de gauchiste, alors je vais vous donner une référence ayant plus d'autorité à vos yeux : Marine Le Pen. Elle dit quoi ? Elle dit que l'immigration choisie est une connerie monumentale : une fois que vous aurez fait votre tri des bons immigrés, en prenant tous les ingénieurs, les médecins, les informaticiens, les qualifiés, les cathos, les Blancs, (toutes les forces vives qui permettront peut-être un jour à ces pays de s'en sortir), vous aurez fait quoi ? Vous aurez pourri ces pays et après vous vous étonnerez qu'il y ait des pouilleux sous vos persiennes. Ne venez donc pas donner des leçons aux politiques sur le long terme avec des propositions aussi irresponsables, siouplé. Pour ce qui touche aux Allemands, je vous redis que le problème est à traiter immédiatement, dans le sens où les mesures prises immédiatement peuvent peut-être régler la situation à long terme. (Un peu, toutes choses égales d'ailleurs, comme les problèmes écologiques doivent être traités tout de suite parce que c'est très long à produire ses effets). Problème à long terme, ça ne veut pas dire on s'en occupera plus tard, vous vous trompez, ça veut dire au contraire qu'il faut s'en occuper tout de suite. Plus légèrement, je vous accorde que les réfugiés syriens montrent leur désir de féconder la femme allemande dans des guises qui ne correspondent pas à nos usages (les affaires de violence sexuelle, etc.). Il y a donc peut-être là un problème "culturel", comme vous dites. Mais s'il ne s'agit pas d'un problème racial (donc inchangeable) mais d'éducation et de culture, on devrait pouvoir les former rapidement aux arcanes de la galanterie à l'européenne : restau, bouquet de fleur et baise seulement après accord.

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20% des Allemands regrettent d’avoir fait des enfants

paravec

Cet été j'ai côtoyé aux Baléares des touristes allemands, visiblement ils détestent les français.

vous ont-ils dit pourquoi ?

Non!...en vacances dans les hôtels ma femme et moi nous sommes très discret.

On ne cherche pas le contact.

Par contre on observe et on écoute les conversations au bar et au restaurant.

Il semblerait que les allemands nous prennent pour des abrutis, radins et râleurs...

Sont-ils mieux que nous?

Pas mieux au niveau de la propreté des déchets de consommation.

pash

paravec

Cet été j'ai côtoyé aux Baléares des touristes allemands, visiblement ils détestent les français.

vous ont-ils dit pourquoi ?

Les couples allemands ne veulent plus d’enfants !

Je ne pense pas qu’ils sont les seuls.

Nous sommes dans une société qui ne supporte plus les contraintes...

Avoir une progéniture, c’est se rajouter des contraintes pour longtemps.

En plus dans un contexte de précarité des couples, professionnel et pécuniaire.

Le risque aussi de verser une pension alimentaire (pour les enfants) en cas de séparation...

On comprend mieux que certains ne veulent pas construire une famille.

sûrement

j'étais d'ailleurs dans cette optique égoïste

mais avec les années j'en ai ressenti le désir

la faute à notre programmation génétique et son programmeur, Dieu, je pense

Autre indice, certaines femmes après avoir enfanté ne désir plus sexuellement leur compagnon.

La misère, l’insuffisance sexuelle existe aussi "en couple".

oui l'instinct maternel fait que beaucoup de femmes sont centrées sur leurs enfants et négligent leur compagnon, par ailleurs même indépendamment de ça les enfants prennent énormément de temps et il reste peu d'occasions pour la bagatelle.

c'est un problème quand les deux membres d'un couple n'ont pas les mêmes besoins, en plus le fait d'être harcelé par l'autre, diminue encore l'envie de l'autre.

Le monde irait beaucoup mieux si on baisait plus et si possible dans l'amour...

c'est la solution des bonobos oui

nous on se contente de masturbation

nous on se contente de masturbation c'est une terrible tristesse!

hans

J'ai cité un autre passage où tu expliques que tes esclaves, tu veux avoir le droit de les choisir. Que tu veux mater leur bite pour voir s'ils ne sont pas circoncis et vérifier qu'ils maîtrisent leur cathé. Les passages que j'ai cités, tu en réponds, ou alors tu dégages et tu ne viens pas me raconter que je ne lis pas.

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