Je tiens à rappeler qu'avant l'apparition du SIDA, fin des années 70 début années 80, en plus des zones à putes (genre pour la plèbe Pigalle ou rue Saint-Denis), et des coins où on les trouvait en attente dans des voitures (côté de la Concorde), il y avait dans Paris, à chaque coin de rue sans exception, les occasionnelles qu'on voyait à partir du soir ou de la nuit tombée. C'était courant pour arrondir ses fins de mois. Tout ça a disparu. Il faut bien qu'on les retrouve autrement, ailleurs, au bout d'un moment. Et ne pas oublier que les sites web ont repris l'activité minitel, dont on peut dire qu'une bonne partie y était consacré. Pour info, Niel, le propriétaire de Free, a fait sa fortune dans le minitel rose et quelques autres affaires de Peepshow, et a d'ailleurs flirté avec des accusations de proxénétisme, pour lesquelles on a eu la Grande Clémence, gros financer du PS oblige, de ne lui coller de la prison que pour abus de biens sociaux.