une députée sans importance a été dégommée au Royaume Uni. C'est la règle, tous les pions sont sacrifiables, quel qu'ils soient, même si le dit pion, est un serviteur zélé, et un videur de pot de chambre du système, hors pair.
Surtout, si, dans ce cas là, le dit pion était très favorable au maintien.
Pour pouvoir dire ; "Bouh, qu'ils sont vilains, les ennemis de l'Europe", de tuer une humanitaire, partisane de la guerre en Syrie, disait qu'il fallait voir l'immigration comme une chance, et flinguait Corbyn, après l'avoir appuyée.
Là aussi, la parfaite #"@&²ðæ de €þç±æðÛ qu'on pouvait haïr sans crainte aucune et sans remord moral.
Une de moins. Pour les maîtres du monde, une larbin, parmi d'autres, larbin bien payée, mais qui eût le sort du torche cul : à jeter après usage. Enfin, de préférence.
C'était une extrémiste, néo-cons, ou vrai-cons ? Je me rappelle plus ? Cachée derrière une étiquette travailliste.
On voit que les événements sanglants se multiplient ces jours ci, sans doute, les uns et les autres, destinés à manipuler l'opinion.
Pour Cox, elle n'a pas compris que pour le véritable pouvoir, elle n'était que de la chair à canon. Une sacrifiée destinée à émouvoir. C'était sa seule utilité. Elle croyait avoir un rôle. Oui, elle vient de le jouer. Mais je ne pense pas qu'elle était prévenue du dénouement. C'est émouvant, une mère de deux enfants... j'en verserais presque des larmes...
La presse pleure, en espérant que cela cisaille le brexit ? Larmes de crocodiles. Et rappel aux politiques. On tue un pauvre politicien ? Ou un politichien ? Celui-ci, à l'heure actuel, n'est guère respectable. Et le tyran, en droit politique français ancien, n'est pas seulement tuable, mais le tuer est une obligation morale.
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