Je n'ai pas la patience de vous expliquer poin par point à quel point vous êtes à côté de la plaque.
Je m'arrêterai au départ, avec le gars qui fait dans l'invocation d'argument d'autorité avec l'emploi du terme "expert psychiatre", alors qu'il n'en a sans doute jamais fréquenté aucun non plus que de services psychiatriques.
Vous n'avez, certainement, aucune idée du coût des services de psychiatrie fermée et de l’inéluctabilité de toute structure psychiaitrique.
Je me doute bien que le coût est largement plus élevé que pour la prison.
Cependant je ne parlais pas de coût mais de moralité, de principe et d'humanité.
Mais bon on va pas trop tergiversé la dessus.
Ton avis, grosso modo c'est : "Il faut tuer".
Et tu serais fort prétentieux de dire que la plupart des psychiatres sont du même avis que toi, à savoir : Tuer.
Bref, ton avis de toiletteur pour chien quoi...
La phrase en rouge n'a strictement aucun rapport avec ce que je disais. L'aspect "traitement", est, d'ailleurs subsidiaire, c'était votre cheval de bataille à vous.
Vous ne trouverez jamais aucun psychiatre pour vous dire qu'on peut guérir une psychose, une sociopathie ou un autisme. Au mieux on peut "tasser" le patient, l'assommer pour lui éviter de céder à des délires... Ce qui reste lié à une prise de médicament dont on ne peut réellement s'assurer en ambulatoire. Vous ne trouverez, non plus, aucun psychiatre pour vous soutenir que l'empathie ou l'altérité peut être enseigner à un schizophrène.
Peut être un adepte de la lobotomie pourrait soutenir avec une réel rigueur scientifique qu'il est possible de laisser un patient suffisamment débilité pour qu'il n'est plus jamais l'énergie de buter quelqu'un mais c'est bien le seul cas.