http://www.msn.com/fr-fr/actualite/fran ... li=BBoJIji
Comment une ministre peut elle se trouver sur le même plateau TV que ce mec. Que font les services secrets!
Pourquoi son association douteuse qui perçoit des subventions de l'état n'est elle pas surveillée depuis le début
Idriss Sihamedi, son voisin de table, a refusé de condamner clairement l’Etat islamique. Avec ses cheveux courts, ses lunettes et sa longue barbe, le patron de l’ONG Baraka City était venu plaider la cause de Moussa, numéro 3 de l’organisation, emprisonné depuis un mois au Bangladesh pour "activités suspectes". Mais après s’être vu demander plusieurs fois s’il condamnait ou non l’EI, Sihamedi a fini par lâcher ces mots étranges :
"S’ils tuent des gens, s’ils brûlent des gens dans des cages. Je vais pas vous dire oui. S’ils tirent sur des femmes enceintes. Je vais pas vous dire 'non je condamne pas'. Donc je pense que oui. Mais je suis gêné de la question."
15 millions d'euros en trois ans
Agé de 31 ans, Idriss Sihamedi est connu pour être à la tête de Baraka City, cette ONG islamique controversée qui n’en finit plus de grossir. Fondée il y a cinq ans, elle n’emploie qu’une vingtaine de salariés. Mais compte aujourd’hui près de 650.000 fans sur Facebook. Elle affirme avoir récolté ces trois dernières années près de 16 millions d’euros. Baraka City n’a pourtant rien à voir avec une ONG classique.
Elle intervient en effet surtout auprès des populations musulmanes, en Afrique, où elle concentre les trois quarts de son activité, ainsi qu’en Palestine, en Syrie, au Bangladesh, mais aussi en Birmanie, dans des régions où habitent des minorités musulmanes.