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La Corée du Nord n’a pas de bombe atomique. Elle parvenait à provoquer des explosions atomiques souterraines. Mais elle n’est pas parvenue à la miniaturer de telle sorte qu’elle soit « emportable » par l’un de ses vecteurs.
En outre, il y a deux ans de cela, avant que Trump aille dire bonjour à la frontière entre les deux Corées, les nord-coréens sont parvenus à faire exploser de l’intérieur la montagne dans laquelle ils avaient installé leurs installations nucléaires. Ils n’ont plus d’installations atomiques en état de marche. Ils tentent de faire illusion en lançant des fusées et des missiles qui seraient censés être capables de porter une bombe atomique. Mais une bombe qu’ils n’ont pas et qu’ils n’auront jamais.
Leur état actuel, les pakistanais qui ne les aideront plus, ne pouvant plus emmerder les américains, et les chinois qui veulent s’en débarrasser, tout concourt à la fin des aspirations atomiques du nabot qui dirige la Corée du Nord. C’est même cette situation qui l’avait amené à accepter une rencontre avec Trump. Pour tenter de paraître être demeuré dans la cour des grands.
Mais dans la réalité il ne sert plus qu’à permettre aux dirigeants de la Corée du Sud de continuer à exister dans le confort auquel ils ont accédé, grâce à l’Amérique et à la Corée du Nord. L’armée de Corée du Sud, même sans les américains, en aurait pour vingt-quatre heures pour liquider la Corée du Nord.
