Fernande Grudet, c'était son vrai nom, est morte samedi à 92 ans dans un hôpital sur les hauteurs de Nice. Portrait d'une vieille dame très digne. Madame Claude, ce nom restera à jamais associé aux grandes heures de la prostitution. Son réseau de « filles » fit trembler la République dans les années 1960 et 1970. Hommes politiques, artistes, industriels, grands noms et grandes fortunes, tous avaient recours à ses services... Mais la vieille dame très digne a emporté avec elle tous ses secrets. Elle s'est éteinte samedi à l'hôpital des sources sur les hauteurs de Nice. Suite en cliquant sur le lien http://www.lepoint.fr/people/la-legenda ... 3_2116.php

Ni le paradis ni l'enfer n'existent. Pas plus que n'existera le Jugement Dernier. Ce sont des contes à dormir debout bibliques ou coraniques. Après la vie, ce sera le néant pour tout le monde. Malheureusement, des crétins de tout bord ne veulent pas admettre la finitude de la vie et même certains croient que s'ils tuent des mécréants, ils iront directement au Paradis dépuceler des vierges qui le redeviennent, dès qu'ils se retirent. Ils appellent ça des houris.

Elle avait une bonne gueule cette madame Claude... Un peu coquine mais bon!

Une bonne tête de grande maquerelle devant l' éternel.

Ni le paradis ni l'enfer n'existent. Pas plus que n'existera le Jugement Dernier. Ce sont des contes à dormir debout bibliques ou coraniques. Après la vie, ce sera le néant pour tout le monde. Malheureusement, des crétins de tout bord ne veulent pas admettre la finitude de la vie ........... Qui mourra verra.

Fernande Grudet, c'était son vrai nom, Quand je pense à Fernande...Je B. Je B. 8-)

Elle avait une bonne gueule cette madame Claude... Un peu coquine mais bon! Elle faisait des pipes de qualité selon ses clients. Les pipes Claude sont renommées. Apprécié par DSK. La preuve.

Fernande Grudet, c'était son vrai nom, Quand je pense à Fernande...Je B. Je B. 8-) Je croyais qu'elle était décédée depuis longtemps or j'ai appris sur l'article du Point que cela date de samedi dernier à l'âge de 92 ans. Comme quoi avoir la cuisse légère et les moeurs libertines est excellent pour vivre vieux. Le texte issu du lien est vraiment bien étayé. A lire.

Bon d'accord, mais au-delà de la plaisanterie, de la gaudriole qui nous amuse (nous ne sommes pas encore des Allemands ou des Etats-uniens, profitons-en encore un moment), il y a quand même une question de fond, non ? On traite comment la question des prestations sexuelles tarifées ? Avec quel système ? L'idée de dire que ça n'existe pas, c'est très gentil pour les cathos, les socialistes, les féministes etc. , mais il se trouve que leurs paroles excellentes en soi ne sont pas la solution. Les cathos socialistes continuent d'aller aux putes, ce n'est pas la peine d'essayer de le cacher. Est-ce que la structure de la Maison (Maupassant, qui les fréquentait beaucoup, jusqu'à contracter là-bas la maladie qui l'a ravi à notre affection s'était amusé de l'idée que bien que la Maison soit ouverte, elle est close) est la bonne approche : la Maison, ça offre du contrôle, ça permet à la Police de surveiller et, au plan gestion, c'est mieux. On peut imaginer des livres des comptes bien tenus et en conséquence des choses claires et républicaines. Le désordre et la Loi de la rue, c'est beaucoup moins clair, et , par ailleurs, sur le plan démocratique, ce n'est pas plus sain que le pouvoir de la Patronne, mais juste l'arbitraire du maquereau, qui n'est pas une mesure de la Justice ni de la Vérité. Dans la stratégie, "couper l'herbe sous le pied" des maquereaux obéit à la même logique que la dépénilasation de la drogue (deux mesures que je désapprouve).

L'idée de dire que ça n'existe pas, c'est très gentil pour les cathos, les socialistes, les féministes etc. , mais il se trouve que leurs paroles excellentes en soi ne sont pas la solution. Les cathos socialistes continuent d'aller aux putes, ce n'est pas la peine d'essayer de le cacher. Personne ne dit que cela n'existe pas.

Fernande Grudet, c'était son vrai nom, Quand je pense à Fernande...Je B. Je B. 8-) C'était à elle qu'il pensait ?

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Madame Claude ira-t-elle au paradis ?

frelon

(la phrase peut signifier cela, on ne sait pourquoi vous entendez autre chose)

Il faut être un peu "kon"(pardonnez le jeu de mot) à ne savoir pourquoi, alors que votre langue de vipère ne laisse place, elle, à aucun sous entendu

"Langue de pute" aurait été plus raccord avec la conversation, mais on ne va pas vous demander de l'à-propos, pas à vous.

N'importe, ça fait plaisir de lire cela quand je lis par ailleurs qu'on ne comprend pas ce que je dis et (d'autres) que je ne connais pas le français : même dans une phrase volontairement ambiguë, un gars comme vous entend 5/5 ce que j'ai voulu dire, ça me lave de ces critiques.

C'est ce qui me permet de me maintenir ici : je suis défendu par mes meilleurs ennemis.La langue de vipère me semble un bien meilleur choix que l'autre... d'une part question vulgarité, il n'y a pas photo...

Mais dans l'autre, il manque le venin que distille une certaine rancœur d'origine inconnue...Le sentiment d'avoir foiré sa partie malgré la présence d'un certain nombre d'atouts au départ du jeu peut être ?

edmond-le-h

Je ne critique pas ces femmes, ce sont des victimes, ni des travailleuses, ni des féministes.

Leur débauche n'a rien à voir avec celle de personnes consentantes qui s'envoient en l'air le samedi soir dix minutes après avoir fait connaissance.

Elles n'ont pas le choix .

Tu aimerais que 40 bonhommes te visitent dans la journée ?

On a toujours le choix désolé de te contredire certaines femmes préfèrent des boulots mal payés que de vendre leur corps pour manger. La débauche (la fornication, l'impudicité, etc...) c'est le fait d'avoir des relations sexuelles hors du cadre du mariage n'est-ce pas ? donc je me répète tout ceux qui critiquent les marie couche-toi là et font de même sont à mettre dans le même panier, celui du mal. La société fait des distinctions pour rendre l'inacceptable acceptable alors qu'il n'y en a aucune entre une fille qui partouze gratuitement avec des garçons et une autre qui le fait contre des pièces sonnantes et trébuchantes.

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