Si dès le début de cette immigration économique dans les années 65/70 nous l'avions fait...
Seuls ceux qui auraient accepté notre laïcité seraient là, bien intégrés aimés et acceptés.
Vu la surreprésentation des convertis chez les jihadistes, le fait qu'un terroriste peut venir de l'extérieur,
même sans aucun immigré musulman depuis 30 ans on pourrait quand même être ciblés.
Aux USA ils ont peu de musulmans et les terroristes du 11/09 n'étaient pas américains.
Ensuite faudrait peut-être arrêter de résumer l'intégration à "n'est pas musulman" ou "ne porte pas le voile".
Des tas de racailles de banlieues sont peu portés sur la religion, voire issus de familles non-musulmanes.
Sont infoutus de tenir une conversation dans la langue de leurs ancêtres. Et pourtant ils ne sont pas "intégrés"
pour autant.
L'erreur de l'immigration des années 70, c'est que les pouvoirs publics ont cru que la crise était passagère
et non structurelle. Et qu'une fois la tempête terminée on aurait autant besoin de main d’œuvre peu qualifiée
qu'auparavant. Et que la mobilité sociale se ferait naturellement, comme pour les immigrations précédentes
Giscard a ainsi fermé les robinets de l'immigration professionnelle mais pas familiale. Et a laissé la justice
administrative créer par jurisprudence un droit au regroupement familial.
A mon avis si au lieu d'immigrés africains on avait eu des immigrés latinos, qu'on avait géré cette immigration
de la même manière, sans se préoccuper de la dérive des jeunes, de l'absence de mélanges, en laissant
pourrir la situation de certains quartiers... et bien on aurait aujourd'hui autant de racailles, mais latinos.