Mon discours porte sur la colonisation de la France, son remplacement. Pas sur l'Islam, l'islamisme, ou le jihadisme : tous sont subordonnés à la colonisation, et quelques centaines de morts par an constituent un problème mineur à l'aune du reste.
Que nous accordions autant d'importance au terrorisme révèle combien nous sommes devenus peureux et lâches. Heureusement les temps changent : les Français se réaccoutument à la violence et reprennent goût au conflit.
Je ne vous ai jamais dit que vous étiez une minorité ethnique, mais que vous alliez le devenir si on ne décolonisait pas. Je vous ai fourni les chiffres.
Leurs naissances ne sont sans doute pas encore majoritaires, mais elles le seront dans quelques années ou décennies.
Hélas ils sont concentrés sur nos lieux de pouvoir politique, économique, médiatique. D'ici à 2050 la majorité de la population des conurbations de Paris, Lyon, Marseille, Berlin, Frankfurt, Bruxelles, Londres, seront non-européennes et musulmanes.
Tout comme j'ai connu un pays français pour trouver aujourd'hui un pays franco-arabe, vous trouverez demain un pays afro-arabo-franco-musulman. Et vous ne serez encore qu'à la moitié de votre vie : les changements se poursuivront.
Dans cette perspective peu importe que les musulmans se désislamisent ou non : je ne veux pas vivre en terre afro-arabe, fût-elle séculière et paisible.
Cela dit, proposer de laisser faire leur conquête en espérant que la consommation fasse d'eux de bons maîtres est un pari très hasardeux de votre part. Rien ne dit qu'ils suivront la même trajectoire que nous. Ce n'est pas la post-modernité qui a tué le catholicisme mais Vatican II et son abandon des rites au profit d'un christianisme plus intellectuel.
De plus vous avez tort de voir dans l'existence de musulmans hybrides une nouveauté qui se propage : ils étaient autrefois la norme. L'Islam est revenu en force dans le monde musulman depuis les années 70-90. Dans bien des villes musulmans le port du voile est passé de minoritaire à hégémonique, et il suit le même chemin dans la société française et dans les sociétés musulmanes.
L'Islam est bien en train de gagner. Car il porte un message fort pour ses adeptes : il conquiert l'Occident, l'ancien maître, le dominant, et propose une alternative politique dans une société qui n'en a plus. C'est un message vendeur.
Par "folie religieuse" je parlais du progressisme et non de l'islamisme (lui aussi fou mais inoffensif).
Vouloir détruire les peuples, nations et cultures, vouloir faire de l'Europe un continent afro-arabo-musulman, et vouloir emprisonner tous ceux qui osent critiquer ce fait, relève d'une folie comme on en a connues au moyen-âge avec les chasses aux sorcières et aux juifs.
Les causes en sont d'ailleurs les mêmes : des traumatismes collectifs. Souvent la peste dans l'ancien temps (qui parfois emportait la moitié d'une ville en une semaine), les deux guerres mondiales dans le nôtre, qui ont convaincu nos dirigeants qu'ils devaient détruire les nations et les peuples. A chaque fois le but est d'éviter la reproduction des désastres.
Je ne blâme pas le concept de démocratie mais celui de démocratie électorale, définitivement délégitimée par le volonté des couches dominantes de détruire notre peuple, nation et culture, et de soumettre nos enfants à des étrangers.
Je prône en conséquence le tirage au sort du parlement, la fin des élections, et l'instauration d'une initative législative populaire, et une hiérarchisation des textes directements votés par le peuple au-dessus de tous les autres.
La cohésion serait bien sûr désirable, mais cet état est notre ennemi au service de la colonisation. Pire encore que celui de Vichy car les nazis ne voulaient que la moitié de notre territoire et que Pétain avait l'excluse de la débandade militaire.
Alors se rassembler pour quelle cause, si cet état veut notre destruction ?
Quand je prône la guerre de décolonisation, je parle d'une vraie guerre civile avec de nombreux cadavres dans les deux camps. Mais cela vaut mieux qu'une vie de soumission. La mention d'une croisade jihadiste ne me fait donc pas peur.
Je suis en fait indigné que vous nous appeliez à ne pas heurter nos nouveaux maîtres pour éviter quelques attentats. Encore une fois la guerre vient et je vous engage à vous endurcir le cuir.
Je n'ai jamais prétendu que tout soit la faute des musulmans, même si elle joue bien sûr dans la perte du pouvoir unificateur de notre culture, l'appauvrissement de notre langue, et l'appauvrissement de l'instruction : ces dernières décennies toutes les réformes scolaires ont ciblé ce public particulier, par exemple en perdant beaucoup de temps sur la transmission d'une culture française de base, déjà transmise par les parents français, au détriment du reste
PS : s'il vous plaît, pourriez-vous découper vos prochains textes en paragraphes et insérer une mention de votre interlocuteur (ex : @[supprimé]) pour qu'il soit averti de vos réponses ?