Laurent Obertone : Guerilla 1, c’est « l’incident » déclencheur : une descente de police dans une cité qui tourne mal, un policier qui abat des « jeunes », la cité s’embrase, les banlieues suivent, et en trois jours l’État s’effondre. Guerilla 2, c’est la vie sans État, sans lois ni morale, sans technologie ni ressources ou énergie. En un mot, la survie, la prise de conscience de notre effroyable état de dépendance.
Guerilla 3 s’ouvre sur un retour partiel de l’ordre, mais d’un régime encore plus totalitaire, profitant des conditions très précaires pour accroître sa puissance. On retrouve certains personnages tout au long des trois tomes, chacun préoccupé par sa survie et ses propres objectifs, chacun victime à sa mesure de la grande histoire. La population va-t-elle enfin prendre son destin en main ou continuer à subir, c’est la grande question…
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