rien ne dit :

- qu'il souffre

- qu'il a envie de clamser.

et dans un pays civilisé, on ne bute pas les vivants pour le confort intellectuel (si j'ose dire) d'un exponentiel couillon niçois qui se permet de juger et d'insulter des parents qui ne vont pas dans le sens qu'il espère alors qu'il n'est et ne sera jamais rien.

Eh oué, c'est comme ça

Il ne serait pas mieux au Paradis ?

tin l'argumentaire en pâte à modeler. :

La tronche de la mère en train de faire sa star devant les caméras ... on voit qu'elle est bien intentionnée, il n'y a pas à dire :

http://s-www.leprogres.fr/images/954520 ... ns-afp.jpg

Instrumentaliser son propre fils pour une victoire purement idéologique, c'est gerbant quand même. Quels parents indignes.

Soutien total à la femme de Vincent Lambert contre ces cinglés catholiques.

cette malheureuse mère est parfaitement consciente de ce qu'elle fait. Et jusqu'à nouvel avis, il s'agit de la vie de son enfant. :

Justement, il serait temps qu'elle le laisse partir.

Justement, il serait temps qu'elle le laisse partir.

mais qui vous dit qu'il en a envie ?

et d'ailleurs, vous en avez quoi de spécial à cirer vous ?

Ca me fait un peu penser à ces vieilles crevures parvenus au 3e âge avec un bâton de vieillesse qui est le gosse qu'elles ont fait en sorte de rendre handicapé social pour qu'il ne les quitte jamais. On est un peu dans le même schéma ici. N'ayant jamais pu blairer la femme qui leur a retiré leur fils, c'est ici une bonne revanche. Ca démontre quand même l'intense pourriture d'esprit (en plus de la pathologie pré-citée) des gens qui se réclament du catholicisme.

On voit ici à quel point Vincent est heureux, et ne souffre pas dans son cercueil virtuel, et eux, pauvres parents, combien ils sont dévastés :

http://www.jesoutiensvincent.com/wp-con ... rt-800.jpg

La mère l'expose en trophée.

Ca me fait un peu penser à ces vieilles crevures parvenus au 3e âge avec un bâton de vieillesse qui est le gosse qu'elles ont fait en sorte de rendre handicapé social pour qu'il ne les quitte jamais. On est un peu dans le même schéma ici. N'ayant jamais pu blairer la femme qui leur a retiré leur fils, c'est ici une bonne revanche. Ca démontre quand même l'intense pourriture d'esprit (en plus de la pathologie pré-citée) des gens qui se réclament du catholicisme.

parvenues. vous connaissez pourtant bien le mot

Elle s'étrangle de rage la poubelle niçoise, pour ne plus savoir écrire ?

ça pose la question du rôle de l'assistance publique vis à vis des handicaps extrêmes

Faut-il laisser à la charge de la famille les soins de V.Lambert ou d'un autre tiers ( l'église par ex ), auquel cas la question de l'euthanasie ne se pose plus puisqu'ils peuvent au domicile acheter un respirateur artificiel et faire venir des infirmiers et des médecins à leur propre frais... j'imagine qu'on peut tenir avec un peu de (mal?)chance 20 ans maximum si les choses se passent bien.

Bref ce qui a un peu merdé c'est qu'on a assimilé sa condition actuelle à une pathologie incurable et mortelle à court terme

Justement, il serait temps qu'elle le laisse partir.

mais qui vous dit qu'il en a envie ?

Le simple bon sens ?

Justement, il serait temps qu'elle le laisse partir.

mais qui vous dit qu'il en a envie ?

Le simple bon sens ?

ah bon ?

et avec votre bon sens, vous butez à partir de quel degré de souffrance supposée svp ?

A partir de 5 ans en coma profond sans rémission possible, cela me semble un bon début.

Le simple bon sens ?

Les religieux n'ont aucun bon sens. Ils n'ont que croyances.

A partir de 5 ans en coma profond sans rémission possible, cela me semble un bon début.

pourquoi pas 3 ou 7 ? et si le type n'a pas donné son accord ? et qui juge de l'impossibilité d'une rémission ?

Avant de faire de grandes phrases creuses, la raison première, c'est peut être simplement qu'ils ont encore l'espoir que leur fils est vivant.

et qui juge de l'impossibilité d'une rémission ?

Dieu ?

Avant de faire de grandes phrases creuses, la raison première, c'est peut être simplement qu'ils ont encore l'espoir que leur fils est vivant.

il est indéniablement vivant. Il n'y a que l'autre cruche planquée comme un rat dans sa loge qui feint de ne pas le savoir pour se donner bonne conscience et assouvir sa petite haine, avec ses petits moyens, contre son habituel adversaire (qui vient de lui mettre une putain de rouste, comme il le reconnait lui-même)

Moi, j'aime bien

et qui juge de l'impossibilité d'une rémission ?

Dieu ?

je vous suggère donc de vous rapprocher de Lui au plus vite :