Tu me fais penser au ministre de la communication de Saddam Hussein qu'on voyait tous les jours à la télé au moment de l'opération Desert Storm, prétendant soir après soir que les armées de la coalition avaient été mises en déroute, et ce, encore bien après que les Abrams américains aient pénétré dans Bagdad.
Comme toi, il semblait croire dur comme fer à son histoire.
Je pense que tu dois prendre acte de la réalité et de l'accord conclu sous l'impulsion française.
Tout n'est évidemment pas réglé, il faut attendre le résultat des votes des parlements de la zone euro, mais nous sommes sortis de la zone de turbulences.
La droite sarkozienne a été indigne de la grandeur de la France en préconisant l'alignement sur merkel !
La France ce n'est pas l'Irak de saddam hussein, nous avons fait prévaloir l'intérêt des peuples européens face à l'allemagne et sa mentalité d'épicier.
Ce n'est pas parce que tu n'as pas voté pour le président en exercice que tu ne dois pas l’applaudir lorsqu'il défend avec succés la grandeur de la France et l’intérêt de la zone Euro.
Ta grandiloquence vaudrait à elle seule un smiley...
On revient de loin dis-donc !
;)
Tout ce que l'on a obtenu c'est de rallonger la dette de la Grèce d'environ un tiers,
L'alternative c'était la cessation de paiement et l'effondrement économique immédiat avec toutes les conséquences politiques qu'on peut imaginer.
Cet accord c'est le moindre mal.
alors qu'elle est déjà incapable de nous rembourser ce qu'elle nous doit. On va fatalement se retrouver dans six mois ou un an avec les mêmes protagonistes discutant du même problème, avec un montant encore plus énorme à gérer.
Rien n'est écrit !
L'objectif de cet accord c'est de contrôler la situation, d'éviter d'effondrement de l'économie grecque dans l'immédiat et d'investir pour qu'elle soit en capacité à terme d'honorer ses engagements.
Ce plan repose sur la confiance dans l'avenir et dans la fierté grecque.
Aurais-tu préféré l'implosion de l'économie grecque, la crise financière et l'instabilité de l'Euro ?
Lorsqu'on pèse le pour et le contre dans cette problématique, on en conclue que le choix fait est la solution la plus conforme aux intérêts de la France et des peuples européens.