La peine de mort existe dans d'autres pays, ont-ils supprimés la grave délinquance, non, elle existe toujours.
La solution est en amont des problèmes.
Mais personne n'a jamais dit que la peine de mort supprimerait la délinquance, ni la criminalité :
Tu as trop écouté Badinter ou quoi ?
Par contre, elle supprime l'auteur de celle-ci (qui ne recommencera pas pour des raisons évidentes), elle dissuade aussi une foule de petits gredins, canailles et autres racailles de s'avancer trop en avant dans des voies néfastes pour nous autres les gens biens.
De plus, elle génère la peur de la mort, et conserve l'autorité ultime sur la vie de la collectivité vis à vis de l'individu.
Ne parlons pas de tout le fric économisé en milieu carcéral, qui nous fait défaut aujourd'hui.
Bref, que du bénef.
C'est lorsque on a commencé à faire de la peine de mort une question philosophique, ou bien lui dédier un effet illusoire sur le fonctionnement du monde, que ça commence à déconner. Il faut rester très pragmatique et très modeste vis à vis de celle-ci.
La vision nihiliste des choses, pousse l'humanité à croire qu'une vie biologique serait le lot de nos existences, s'ajoutera d'autres vies, avec les mêmes problèmes non résolus.
Voir les choses financièrement, c'est virer vers l'attardé mental qui s'accorde des pires choses, mais pas du meurtre commis, parfois, pour l'argent.
Autre chose, les pires tyrans, auteurs de millions de morts, semblent plus adulés que les petites meurtriers et leur victime unique, c'est étrange, de préférer le pire tyran au petit assassin sans envergure, là ou pourtant, les risque de côtoyer le tyran sont plus grand que ceux de rencontrer un assassin du dimanche.
La peine de mort est une solution expéditive qui n'arrange en rien le capital génétique des individus, juste une solution de facilité pour les faibles d'esprits et leurs petites névroses de protecteurs ratés.