Vous êtes un pleutre grotesque, doublé d'un ignare.
Je suis P4, je vous l'ai dit.
ET votre logique fait défaut. Vous écrivez que je passe mon temps à citer les diplômes et vous ne les connaissez pas. Plus naze c'est difficile.
Du tout. Vous passez votre temps à lancer à vos contradicteurs qu'ils n'ont pas les diplômes requis. Ce qui sous-entend que vous vous les possédez. Très logiquement, on vous demande quels sont-ils ? C'est compliqué à suive pour vous, ce cheminement ?
Sur les bases la maintenance est assurée principalement par des personnels militaires du moins jusqu'à un certain niveau. Pour les grosses réparations les matériels sont renvoyés au constructeur.
Voilà, nous sommes enfin d'accord. Pour refaire les niveaux, les militaires, dont vous, dans les années 80. Pour réviser et réparer les appareils, les civils.
Dans l'armée de terre, il y a des spécialistes pour l'électronique, je suppose que c'est la même chose dans l'armée de l'air et la marine.
Oui oui, on les connaît les "spécialistes" de l'armée. La plupart sont recrutés au niveau d'un bac pro, voire au mieux un BTS. Puis formés maison...
Et je doute que l'on immobilise en mer un appareil pour une défaillance de l'électronique.
En, mer non, mais en soute oui. Il se peut surtout que des modules complets de remplacement soient disponibles, et que les matériels défectueux ne soient traités que chez Dassault.
ET les ingénieurs de l'armement et les ingénieurs des études et techniques de l'armement (IETA) sont des militaires.
Et les polytechniciens aussi, l'X étant sous statut militaire. Ce qui veut donc dire que vous en aviez six dans votre bataillon non ?
Les ingénieurs de l'armement, petit imbécile galonné, sont à la conception, pas à la maintenance. Ils portent l'uniforme à chaque 14 juillet.Ils sortent de l'X, des Mines ou des Ponts. Une carrière de troufion à compter des boutons d'uniforme, je ne crois pas que ce soit leur idéal.