réponse cinglante des pro judéo-christianisme
Quel meilleur moment pour rappeler une vérité en cette veille de Noël, et clouer le bec à ceux qui tentent de nous fabriquer une nouvelle religion antisémite à base de racines celto-païennes, ou empreinte de philosophie gréco-aryenne, voyez qui je veux dire ! Et tans pis pour l’ironie de mon père qui voulait me faire croire, quand j’étais enfant, que le petit Jésus était né en Provence au milieu des santons.
Jésus n’ai pas apparu n’importe où et au milieu de n’importe qui : il fait parti du peuple élu, de la race investie par Dieu. Je sais, certains antisémites vomissent cette idée, mais c’est une vérité aussi juive que chrétienne. Ce peuple a été choisi, et nul autre, pour affirmer dans le monde le culte de l’Unique au cours des siècles. De la foi d’Abraham à la doctrine de Job ou de la Sagesse, ce peuple des 12 tribus a été chargé par Yahweh de défendre la gloire de son nom, alliance étroite de la race et de la religion.
Ce n’est pas au milieu de n’importe quel pays que cheminent, au pas de l’âne, Joseph et Marie pour aller de Nazareth à Bethléem et donner naissance à Jésus. Un pays marqué par presque 2000 ans d’une histoire imprégnée de tradition séculaire faite de personnages légendaires que connaissaient probablement par cœur ce couple très pieux, descendant de la postérité de David. Dans ce peuple, une piété profonde rythmait chaque instant de la journée d’un croyant et le moindre d’entre eux gonflait la poitrine tellement ils étaient fiers de faire parti de cette mission surnaturelle voulue par Dieu. Chaque bourgade traversée rappelait une histoire glorieuse d’Israël et quand Jérusalem apparaît à Marie et Joseph au débouché d’une gorge, cette veille de Noël, leur cœur à du se serrer de tendresse à la vu du Temple qu’achevait de rebâtir Hérode.
C’est finalement dans la petite ville blanche entourée de vergers et de champs d’oliviers, à prés de 800 mètres d’altitude que le couple va s’arrêter. Beth-Léhem, ‘‘la maison du pain’’ selon l’étymologie populaire, dite encore Ephrata ‘‘riche en fruits’’, mérite bien son nom. Celle dont le prophète Michée avait prédit la destinée : « Et toi, Bethléem, la fertile, petite parmi les milliers de Juda, tu n’es pas la moindre, car c’est de toi que sortira le chef qui conduira mon peuple d’Israël, celui dont l’origine remonte aux temps anciens, aux jours d’éternité ».
Voilà mes racines spirituelles se situent sur ce bout de terre, entre Gallilée et Judée. Mes références religieuses ne sont pas faites que de guerriers païens christianisés ou de rois germaniques convertis, elles sont aussi et surtout faites de voix prophétiques juives comme celle de Elie, Ezéchiel, Daniel, Isaïe et la plus grande de toutes pour un chrétien : Jésus.
http://www.europe-israel.org/2014/07/je ... -chretien/
Une argumentation, qui ne vole pas plus haut . Dans ces 2 textes que je vous présente, je ne vois aucune analyse sociologique et historique, mais uniquement de la propagande idéologique.
Quand on se réfère à une civilisation, il faut en prendre le bon et le mauvais........savoir prendre aussi les 2 Herode qui ont persécuté Jesus, de sa naissance à sa mort et ne pas se limiter à 4 philosophes prophètes de la Bible. (mais je sais bien, que c'est trop en demander aux propagandistes d'Europe Israel )