Les entreprises eurent du mal à s'organiser lors de la mise en place des 35H. Aujourd'hui certaines ont besoin de souplesse sur leur durée de travail quand d'autres n'ont pas suffisamment d'activité pour proposer des emplois à temps plein, par conséquent, rien ne puisse garantir que ce soit la durée du travail qui handicape nos entreprises, mais plutôt la fiscalité, le poids des cotisations sans parler des dumpings qu'elles subissent !
Macron sur le pacte de responsabilité
Les entreprises eurent du mal à s'organiser lors de la mise en place des 35H. Aujourd'hui certaines ont besoin de souplesse sur leur durée de travail quand d'autres n'ont pas suffisamment d'activité pour proposer des emplois à temps plein, par conséquent, rien ne puisse garantir que ce soit la durée du travail qui handicape nos entreprises, mais plutôt la fiscalité, le poids des cotisations sans parler des dumpings qu'elles subissent !
L'horaire hebdo n'est pas pertinent; c'est l'horaire annuel qui compte. (référence temps plein)
A cause du calcul pour la productivité, l'horaire annuel intervenant au dénominateur.
La fiscalité et le cadre ultra dirigiste des entreprises en France est la cause essentielle de l'échec du plein emploi en France.
Il faut que l'Etat retire sa main de la poche des chefs d'entreprises!
Sinon? Ben sinon l'Etat va avoir de plus en plus de personnes sans boulot a devoir financer! Devinez où il va piquer le fric?
Tout le reste à mon avis n'est que blabla sans resultat
La fiscalité et le cadre ultra dirigiste des entreprises en France est la cause essentielle de l'échec du plein emploi en France.Il faut que l'Etat retire sa main de la poche des chefs d'entreprises!
Sinon? Ben sinon l'Etat va avoir de plus en plus de personnes sans boulot a devoir financer! Devinez où il va piquer le fric?
Tout le reste à mon avis n'est que blabla sans resultat
Oui et descende du dos des contribuables !
La fiscalité et le cadre ultra dirigiste des entreprises en France est la cause essentielle de l'échec du plein emploi en France.
C'est un peu facile de reporter toujours la faute sur l'Etat en cas de mauvais résultats d'une entreprise.
Comment font les entreprises qui marchent ? Elles ont le même "cadre dirigiste" que les autres pourtant.
La différence de l'industrie française et allemande, c'est pas juste une histoire de prélèvements ou de législation du travail.
C'est aussi lié à la stratégie des entreprises, à la mentalité des petits entrepreneurs comme des gros actionnaires familiaux,
aux stratégies collectives de conquêtes de marchés extérieurs, aux collaborations entre multinationales, sous-traitants,
banques régionales, pouvoirs locaux, centres de formations. A la capacité des syndicats salariés ET patronaux à chercher
un accord profitable pour tous. Et pas à chercher à s'enfiler mutuellement.
Le second point c'est que l'impossibilité du "plein emploi" est un problème structurel à l'ensemble des pays avancés.
Du fait des innovations et de la mondialisation de la production. Les seuls pays qui ont des taux de chômage officiels
assez faibles n'y arrivent qu'en créant des emplois au rabais. Temps partiels sous-payés ultra flexibles, mal ou non
couverts socialement etc. Ça n'est pas du tout le "plein emploi" dans le sens habituel du terme.
En France, les grandes entreprises familiales marchent plutôt bien.
Le pb survient qd il y a dissolution du capital donc des actionnaires et pour payer les impôts (IR et surtout ISF) certains veulent vendre.
EUKINI
Tu as raison sur les conséquences d'une fiscalité excessive mais d'ores et déjà, tu conviendras que certains vivent mieux que d'autres c'est aussi la raison pour laquelle en temps de crise où chacun est appelé à accepter, consentir des efforts, il est légitime que chacun y contribue !
Ensuite, hagel, dès à présent des possibilités de modulation à la hausse ou à la baisse de la durée du travail, il est donc assez difficile de concevoir que des entreprises n'ayant pas suffisamment d'activité pour embaucher à temps plein puissent, sérieusement embaucher sur une durée du travail supérieure. La réalité, me semble t-il, est qu'en temps de crise, certains veulent préserver leurs intérêts, en l'occurrence il s'agit, davantage de faire travailler les gens davantage sans pour autant les payer davantage, ce qui aurait, comme effet, un chômage qui continuerait sa progression. Pour être pris au sérieux, il faut que les propositions soient crédibles, eu égard aux réalités qui se vivent !
Expliquer en quoi une fiscalité excessive, sur les entreprises détruit des emplois et freine des investisseurs, des initiatives et donc des créations d'emplois potentielles est réaliste, expliquer la manière dont on peut réduire le poids des cotisations sociales et donc encourager à la création d'emplois peut également se concevoir, mais revendiquer, quémander toujours davantage alors que la situation réelle est aux antipodes n'est pas responsable, c'est juste du corporatisme !
Tu raisonnes petitement.
S'adapter... et puis quoi encore ? Laisser crever les sans dents, pour assainir la situation ?
Regarde le montant de nos imports et imagine la transformation d'une des ses parts en productions nationales, et calcule ainsi le nombre d'emplois créés.
hagel
Pour relocaliser ces activités industrielles et donc, réduire le chômage ainsi que les importations, ce qui restaurerait la balance commerciale implique que la production, sur le territoire soit attractive et au moins aussi intéressante que la production dans certains pays.
Cela implique, tout à la fois des mesures en faveur de l'attractivité, de la compétitivité de notre économie, tant sur la gamme des produits, que leur innovation ou leur valeur ajoutée mais aussi en matière fiscale, sociale ainsi, bien entendu que des mesures de protection face à des produits devant lesquels nos coûts de production ne pourraient rivaliser qu'au travers le rétablissement de l'esclavage.
hagelPour relocaliser ces activités industrielles et donc, réduire le chômage ainsi que les importations, ce qui restaurerait la balance commerciale implique que la production, sur le territoire soit attractive et au moins aussi intéressante que la production dans certains pays.
Cela implique, tout à la fois des mesures en faveur de l'attractivité, de la compétitivité de notre économie, tant sur la gamme des produits, que leur innovation ou leur valeur ajoutée mais aussi en matière fiscale, sociale ainsi, bien entendu que des mesures de protection face à des produits devant lesquels nos coûts de production ne pourraient rivaliser qu'au travers le rétablissement de l'esclavage.
Bla-bla, c'est pas comme cela que l'on fait.
Tu traces 2 colonnes:
dans l'une tu y mets les gains escomptés, et dans l'autres les pertes
tu sommes les deux et tu as ton résultat qui valide ou pas ta recherche.
C'est exactement ce qui n'est pas fait.
Si tu prend le temps d'y réfléchir, si les entreprises préfèrent délocaliser leurs productions industrielles, ce n'est pas par méchanceté mais par souci de satisfaire des objectifs, compréhensible de rentabilité, par conséquent pour réduire ce phénomène, il suffit d'inverser cette tendance et, heureusement des outils existent pour rendre attractif l'investissement sur le territoire !
C'est exactement ce qui n'est pas fait.Si tu prend le temps d'y réfléchir, si les entreprises préfèrent délocaliser leurs productions industrielles, ce n'est pas par méchanceté mais par souci de satisfaire des objectifs, compréhensible de rentabilité, par conséquent pour réduire ce phénomène, il suffit d'inverser cette tendance et, heureusement des outils existent pour rendre attractif l'investissement sur le territoire !
Bien vu, on y est presque...
C'est pour cela qu'il faut changer les lois. La balle est dans le camp de la politique.
Bien vu de comprendre que l'entrepreneur "s'adapte" aux lois qui lui sont mises devant lui.
Question lois, question politique, merci aux socialistes qui ont présidé aux grandes dérégulations des années 80. Que reprocher à nos entrepreneurs qui se sont engouffrés dans la brèche, ils ne sont pas coupables, les politiques (socialistes) sont les coupables.
C'est bien, bravo, tu as compris qu'en changeant les lois, par exemple mettre des tariffs à nos frontières, eh bien nos entrepreneurs s'adapteront, ce sont des gars bien, en général. Ils feront avec.
hagel
Sincèrement, je ne crois pas m'être pris aux entrepreneurs dont nous avons besoin, pour investir, créer de la richesse, des emplois, et innover, pour moderniser notre pays, nos produits et contribuer à redresser notre économie.
Mes analyses n'engagent que moi, elles portent sur la politique qui fut conduite et sur les orientations, à ce titre, elles ne s'inscrivent pas dans l'hostilité envers tel ou tel mais au contraire à l'existence, l'expression de la réalité de citoyens auxquels on ne donne pas souvent la parole et qui sont, je le crois, souvent éclairés tant sur les réalités budgétaires que sur les besoins de notre économie ou sur les revendications catégorielles qu'il convient de souligner, parfois non pour contester leur légitimité mais pour comprendre une argumentation !
Je crois bien que tu n'aies pas compris ce que j'ai voulu dire. Mais bon.