Si on pouvait aborder ce sujet en évitant de voir intervenir les homophobes primaires et autres obsédés du langage fleuri vis à vis des ceux et celles qui sont "différents", ce serait pas mal, merci.

Le monde du Transgenre semble être plus à la mode depuis quelques années qu’auparavant comme on peut le constater pour des raisons bien simples: la "normalisation" du phénomène où "casser du PD" est petit à petit remplacé par "t'as le droit d'être PD ou d'avoir des amis PD". Pour résumer.

Sans aller jusqu'à faire la promotion du "genre" et l'imposer comme une référence, avec des "gay pride à la con et autres manifestations qui nuisent plus à la "cause" plutôt qu'elle ne l'aide, il est assez normal que les personnes concernés puissent vivre leurs sexualités sans avoir peur des moqueries, du regard des autres et de prendre des dérouillés. Le travestisme, par exemple, a toujours existé, même lorsque ce pays était plus couillu. Se sentir femme ou aimer se sentir femme lorsqu'on nait homme n'est pas, par exemple, davantage du "vice" que lorsque un hétéro affirmé collectionne ou a collectionné les femmes. Pas plus que l'homosexualité ou la bisexualité sont davantage "anormales" que l'hétérosexualité. Où s'arrête la "normalité" et où commence "l'anormalité", cette frontière idéale absurde que l'homme s'est fixé?

L’homosexualité était déjà présente lors des "grandes civilisations" de la Rome à la Grèce antique, elle est d'ailleurs "nait" avec l'humanité. Si la nature a permise que cet état d'être existe, c'est que c'est tout aussi naturel que l’hétérosexualité. "On nait" homo, hétéro ou bi, on ne le devient pas subitement bien qu'il faille parfois des années pour que cet état d'être se manifeste en raison du formatage de la société qui nous a toujours plus ou moins montré le chemin à suivre, à commencer par l'éducation parentale, ce qui est d'ailleurs compréhensible. Faut suivre le shéma stéréotypé qui s'est toujours résumé par fonder une famille et faire des gamins. Et celui qui ne suivait ou suit pas ce shéma était ou est classé "anormal" ou soupçonné de l'être. "On nait" donc homo, hétéro ou bi comme "on" nait" avec ses jambes ou pas, avec la vue ou pas, petit ou grand, gros ou mince, avec un fort potentiel intellectuel ou pas, etc.

La transsexualité est un aboutissement de ce que l'on ressent être. Une deuxième vie où l'on s'affirme comme on est réellement. Certain(e)s ressentent le besoin de passer par cette transformation qui reste cependant très délicate pour diverses raisons comme ne pas se tromper sur sa véritable identité sexuelle ou encore des conséquences psychologiques qui peuvent survenir par la gestion de sa nouvelle vie qui comprend le regard des autres, notamment de ses proches. Les transsexuel(le)s opéré(e)s sont parfois déçu(e)s par leurs nouvelles vies sexuelles en raison de la science qui ne leur apportent pas (encore?) la possibilité d'avoir un nouvel véritable organe génitale avec les "sensations" qui vont avec, tandis que d'autres sont satisfait(e)s de leur masculinisation ou leur féminisation, achevé(e), s’accommodant de ce que leur apporte leur nouvelle vie sexuelle qui passe après leur ressenti intérieur et leur nouvelle identité.

Quant à la bisexualité, on pourrait la comparer avec un(e) hétéro qui a deux amours. Comment faire un choix quand on aime (être) les deux? Par rapport à l'homosexualité ou la transsexualité aboutie, c'est peut être la bisexualité qui est finalement la plus difficile à gérer.

Je finirais ce joli texte, sincère, qui, malgré les apparences n'est pas un pamphlet pour les adeptes de la théorie du genre mais simplement une certaine ouverture d'esprit et de respect, par une question certes un peu provocatrice: De quel sexe Dieu est il (elle)?

:)

Très joli, mais il manque la dimension psychiatrique.

Je parlerais davantage de psychologie, qui ne peut être que "bousculée" quand on est concerné, et surtout confronté aux regards des autres.

  • [supprimé]

Se sentir femme ou aimer se sentir femme lorsqu'on nait homme n'est pas, par exemple, davantage du "vice" que lorsque un hétéro affirmé collectionne ou a collectionné les femmes.

Aimer se sentir femme, homme, caniche nain unijambiste ou tabouret de bar n'a aucune espèce d'importance tant que cela reste de l'ordre du .

Exiger que l'état reconnaisse la personne comme étant un tabouret de bar, ou porter plainte contre quelqu'un qui vous appelle Monsieur alors que vous vous sentez femme, ce n'est plus du tout la même chose.

Pas plus que l'homosexualité ou la bisexualité sont davantage "anormales" que l'hétérosexualité. Où s'arrête la "normalité" et où commence "l'anormalité", cette frontière idéale absurde que l'homme s'est fixé?

La norme, c'est le nombre. Les homosexuels représentent une minorité.

L’homosexualité était déjà présente lors des "grandes civilisations" de la Rome à la Grèce antique, elle est d'ailleurs "nait" avec l'humanité.

Là aussi, il y a des choses à dire.

L'homosexualité moderne, c'est ça: .

Et ça, dans la Grèce antique, ça ne se conçoit pas. D'autre part, la situation dominant-dominé (sodomiseur-sodomisé pour être clair) doit refléter la position sociale. Par exemple, un citoyen se faisant sodomiser par un esclave est une infamie, voir mène à la condamnation à mort.

"On nait" homo, hétéro ou bi, on ne le devient pas subitement bien qu'il faille parfois des années pour que cet état d'être se manifeste en raison du formatage de la société qui nous a toujours plus ou moins montré le chemin à suivre, à commencer par l'éducation parentale, ce qui est d'ailleurs compréhensible. Faut suivre le shéma stéréotypé qui s'est toujours résumé par fonder une famille et faire des gamins. Et celui qui ne suivait ou suit pas ce shéma était ou est classé "anormal" ou soupçonné de l'être. "On nait" donc homo, hétéro ou bi comme "on" nait" avec ses jambes ou pas, avec la vue ou pas, petit ou grand, gros ou mince, avec un fort potentiel intellectuel ou pas, etc.

Vous ne démontrez strictement rien, votre affirmation est totalement gratuite.

Le débat inné/acquis me parait complètement absurde dans la mesure où il y a bien évidemment la possibilité que cela soit à la fois inné et acquis.

Nonobstant que in fine, je ne vois pas l'intérêt immédiat de ce débat en soi.

La transsexualité est un aboutissement de ce que l'on ressent être.

Je répondrais avec mon point de vue personnel (qui est aussi celui de la communauté médicale... pour l'instant): la transexualité relève de la psychiatrie.

Je ne vois pas la différence entre une personne avec une paire de testicules et un pénis qui affirmerait être une femme, et un chauve blanc de 1m90 affirmant être un nain noir avec la chevelure d'Angelina Joli.

Les gogos qui essayent de faire avaler des affirmations proprement délirante et grosses comme des montagnes à coup de discours sur le "genre" utilisent sciemment ce terme pour escamoter un fait élémentaire: en première approximation, le genre est défini par le sexe biologique. Etre un homme ou une femme, avant d'être une question de genre, c'est d'abord une question de sexe.

Après les gogos du genre essayent d'instiller le doute là dessus en évoquant les "intersexués". Sauf que l'intersexuation relève d'anomalies génétiques, c'est le résultat de ce qu'on appelle communément une maladie, qui n'affecte qu'une toute petite fraction des êtres humains (1 à 4 pour mille): intersexués.

Si la nature a permise que cet état d'être existe, c'est que c'est tout aussi naturel que l’hétérosexualité.

Et la maladie est tout aussi naturelle que la santé.

On a bien avancé, je nous trouve tous très bons.

Si on pouvait aborder ce sujet en évitant de voir intervenir les homophobes primaires et autres obsédés du langage fleuri vis à vis des ceux et celles qui sont "différents", ce serait pas mal, merci.

Le monde du Transgenre semble être plus à la mode depuis quelques années qu’auparavant comme on peut le constater pour des raisons bien simples: la "normalisation" du phénomène où "casser du PD" est petit à petit remplacé par "t'as le droit d'être PD ou d'avoir des amis PD". Pour résumer.

Sans aller jusqu'à faire la promotion du "genre" et l'imposer comme une référence, avec des "gay pride à la con et autres manifestations qui nuisent plus à la "cause" plutôt qu'elle ne l'aide, il est assez normal que les personnes concernés puissent vivre leurs sexualités sans avoir peur des moqueries, du regard des autres et de prendre des dérouillés. Le travestisme, par exemple, a toujours existé, même lorsque ce pays était plus couillu. Se sentir femme ou aimer se sentir femme lorsqu'on nait homme n'est pas, par exemple, davantage du "vice" que lorsque un hétéro affirmé collectionne ou a collectionné les femmes. Pas plus que l'homosexualité ou la bisexualité sont davantage "anormales" que l'hétérosexualité. Où s'arrête la "normalité" et où commence "l'anormalité", cette frontière idéale absurde que l'homme s'est fixé?

L’homosexualité était déjà présente lors des "grandes civilisations" de la Rome à la Grèce antique, elle est d'ailleurs "nait" avec l'humanité. Si la nature a permise que cet état d'être existe, c'est que c'est tout aussi naturel que l’hétérosexualité. "On nait" homo, hétéro ou bi, on ne le devient pas subitement bien qu'il faille parfois des années pour que cet état d'être se manifeste en raison du formatage de la société qui nous a toujours plus ou moins montré le chemin à suivre, à commencer par l'éducation parentale, ce qui est d'ailleurs compréhensible. Faut suivre le shéma stéréotypé qui s'est toujours résumé par fonder une famille et faire des gamins. Et celui qui ne suivait ou suit pas ce shéma était ou est classé "anormal" ou soupçonné de l'être. "On nait" donc homo, hétéro ou bi comme "on" nait" avec ses jambes ou pas, avec la vue ou pas, petit ou grand, gros ou mince, avec un fort potentiel intellectuel ou pas, etc.

La transsexualité est un aboutissement de ce que l'on ressent être. Une deuxième vie où l'on s'affirme comme on est réellement. Certain(e)s ressentent le besoin de passer par cette transformation qui reste cependant très délicate pour diverses raisons comme ne pas se tromper sur sa véritable identité sexuelle ou encore des conséquences psychologiques qui peuvent survenir par la gestion de sa nouvelle vie qui comprend le regard des autres, notamment de ses proches. Les transsexuel(le)s opéré(e)s sont parfois déçu(e)s par leurs nouvelles vies sexuelles en raison de la science qui ne leur apportent pas (encore?) la possibilité d'avoir un nouvel véritable organe génitale avec les "sensations" qui vont avec, tandis que d'autres sont satisfait(e)s de leur masculinisation ou leur féminisation, achevé(e), s’accommodant de ce que leur apporte leur nouvelle vie sexuelle qui passe après leur ressenti intérieur et leur nouvelle identité.

Quant à la bisexualité, on pourrait la comparer avec un(e) hétéro qui a deux amours. Comment faire un choix quand on aime (être) les deux? Par rapport à l'homosexualité ou la transsexualité aboutie, c'est peut être la bisexualité qui est finalement la plus difficile à gérer.

Je finirais ce joli texte, sincère, qui, malgré les apparences n'est pas un pamphlet pour les adeptes de la théorie du genre mais simplement une certaine ouverture d'esprit et de respect, par une question certes un peu provocatrice: De quel sexe Dieu est il (elle)?

:)

Tu as viré complètement gauchiste fatigué et décadent, réconcilie donc le torchon et le torché !

On dirait un texte de Najat !!

Amour inconditionnel de l'Islam, des homos, des trans, peux-tu me dire ce qui te différencie encore de la LCR ou des Verts ?

Moi j'ai la réponse sur le sexe de Dieu : Aucun (car aucun besoin de reproduction pour un être qui existe par lui-même).

Avec cette question, on diagnostique tout à fait la propension des gens adeptes du permissif sans contrepartie ou limite, à être incapable de reconnaître une valeur objective aux situations et aux statuts.

Être homosexuel, c'est utiliser ses organes génitaux (ou non, puisque certains s'enculent) dans un type de rapport strictement stérile, ce qui constitue une pratique déviante (par rapport à l'ordre naturel que l'on constate objectivement).

Être transsexuel, c'est prétendre que son genre est indépendant de son sexe, hors votre genre n'engage que votre sexe, puisque la définition du genre découle de quel sexe on possède.

Ce phénomène aboutit à avoir des hommes qui se déguisent en femmes pour attirer d'autres hommes (majorité des cas), et des femmes qui se déguisent en hommes pour attirer d'autres femmes (majorité des cas).

Tout cela me permet de conclure que les gens de ce bord là on un sérieux trouble de la sexualité.

Pas plus que l'homosexualité ou la bisexualité sont davantage "anormales" que l'hétérosexualité. Où s'arrête la "normalité" et où commence "l'anormalité", cette frontière idéale absurde que l'homme s'est fixé?

La norme, c'est le nombre. Les homosexuels représentent une minorité.

Le nombre donc la majorité n'est en rien une normalité. Normalité fixé par...des hommes. C'est pas une référence.

L’homosexualité était déjà présente lors des "grandes civilisations" de la Rome à la Grèce antique, elle est d'ailleurs "nait" avec l'humanité.

Là aussi, il y a des choses à dire.

L'homosexualité moderne, c'est ça: .

Et ça, dans la Grèce antique, ça ne se conçoit pas.

Qui a décrété ce qu'est "l’homosexualité" moderne? Etre attiré par deux sexes à la fois c'est de la bisexualité.

"On nait" homo, hétéro ou bi, on ne le devient pas subitement bien qu'il faille parfois des années pour que cet état d'être se manifeste en raison du formatage de la société qui nous a toujours plus ou moins montré le chemin à suivre, à commencer par l'éducation parentale, ce qui est d'ailleurs compréhensible. Faut suivre le shéma stéréotypé qui s'est toujours résumé par fonder une famille et faire des gamins. Et celui qui ne suivait ou suit pas ce shéma était ou est classé "anormal" ou soupçonné de l'être. "On nait" donc homo, hétéro ou bi comme "on" nait" avec ses jambes ou pas, avec la vue ou pas, petit ou grand, gros ou mince, avec un fort potentiel intellectuel ou pas, etc.

Vous ne démontrez strictement rien, votre affirmation est totalement gratuite.

Le débat inné/acquis me parait complètement absurde dans la mesure où il y a bien évidemment la possibilité que cela soit à la fois inné et acquis.

Nonobstant que in fine, je ne vois pas l'intérêt immédiat de ce débat en soi.

Vous ne démontrez rien de plus que moi, j'ai juste des arguments alors que vous n'en n'avez pas, je ne fais qu'exprimer un avis. Et sur ce sujet, même la science ne peut pas vous venir en aide. L’intérêt de ce "débat" pourrait être de chercher un autre regard sur le milieu Transgenre, regard qui est trop souvent partagé dans deux catégories: ceux qui trouvent cela "anormal" sans apporter le moindre argument, et ceux qui veulent en faire quasiment un lobby. Trouver un juste milieu, quoi.

La transsexualité est un aboutissement de ce que l'on ressent être.

Je répondrais avec mon point de vue personnel (qui est aussi celui de la communauté médicale... pour l'instant): la transsexualité relève de la psychiatrie.

Je ne vois pas la différence entre une personne avec une paire de testicules et un pénis qui affirmerait être une femme, et un chauve blanc de 1m90 affirmant être un nain noir avec la chevelure d'Angelina Joli.

Les gogos qui essayent de faire avaler des affirmations proprement délirante et grosses comme des montagnes à coup de discours sur le "genre" utilisent sciemment ce terme pour escamoter un fait élémentaire: en première approximation, le genre est défini par le sexe biologique. Etre un homme ou une femme, avant d'être une question de genre, c'est d'abord une question de sexe.

Après les gogos du genre essayent d'instiller le doute là dessus en évoquant les "intersexués". Sauf que l'intersexuation relève d'anomalies génétiques, c'est le résultat de ce qu'on appelle communément une maladie, qui n'affecte qu'une toute petite fraction des êtres humains (1 à 4 pour mille): intersexués.

Bien sur que cela relève du mental (ce que vous appelez psychiatrie et où on peut voir dans ce terme ainsi posé ici une espèce de "folie" aux yeux de certains). Être nait homme et se sentir femme en raison d'une part de féminité davantage développée chez certains hommes est une réalité qui n'a rien de "fou" ou n'est en rien un "caprice" par rapport à la société ou autre, mais davantage une "anomalie" naturelle (anomalie, terme que j'ai toujours employé pour ce sujet et que vous reprenez ici comme exemple) qui se corrige parfois par la chirurgie dont ont recours certain(e)s transsexuel(le)s. Alors il est évident que psychologiquement, cela vous perturbe quand vous êtes nait dans ce cas comme quand vous êtes nait en vous sentant différent de la "norme" (handicapé, surdoué, etc). Et dire que parce que vous êtes nait avec des attributs physiques et pas d'autres devrait faire de vous ce que vous n'êtes peut être pas l'"intérieur", est aussi ridicule de dire que parce que vous avez une tête de neuneu qui est la risée des autres, vous êtes forcément un abruti. Donc si c'est une "anomalie" physique de la nature, comme nous sommes apparemment d'accord pour le dire ici, ce n'est en rien de la "psychiatrie" en premier lieu comme vous le dites pourtant en début de votre réponse qui est alors paradoxale.

Si la nature a permise que cet état d'être existe, c'est que c'est tout aussi naturel que l’hétérosexualité.

Et la maladie est tout aussi naturelle que la santé.

On a bien avancé, je nous trouve tous très bons.

Tout à fait, comme la connerie l'est aussi.

Si on pouvait aborder ce sujet en évitant de voir intervenir les homophobes primaires et autres obsédés du langage fleuri vis à vis des ceux et celles qui sont "différents", ce serait pas mal, merci.

Le monde du Transgenre semble être plus à la mode depuis quelques années qu’auparavant comme on peut le constater pour des raisons bien simples: la "normalisation" du phénomène où "casser du PD" est petit à petit remplacé par "t'as le droit d'être PD ou d'avoir des amis PD". Pour résumer.

Sans aller jusqu'à faire la promotion du "genre" et l'imposer comme une référence, avec des "gay pride à la con et autres manifestations qui nuisent plus à la "cause" plutôt qu'elle ne l'aide, il est assez normal que les personnes concernés puissent vivre leurs sexualités sans avoir peur des moqueries, du regard des autres et de prendre des dérouillés. Le travestisme, par exemple, a toujours existé, même lorsque ce pays était plus couillu. Se sentir femme ou aimer se sentir femme lorsqu'on nait homme n'est pas, par exemple, davantage du "vice" que lorsque un hétéro affirmé collectionne ou a collectionné les femmes. Pas plus que l'homosexualité ou la bisexualité sont davantage "anormales" que l'hétérosexualité. Où s'arrête la "normalité" et où commence "l'anormalité", cette frontière idéale absurde que l'homme s'est fixé?

L’homosexualité était déjà présente lors des "grandes civilisations" de la Rome à la Grèce antique, elle est d'ailleurs "nait" avec l'humanité. Si la nature a permise que cet état d'être existe, c'est que c'est tout aussi naturel que l’hétérosexualité. "On nait" homo, hétéro ou bi, on ne le devient pas subitement bien qu'il faille parfois des années pour que cet état d'être se manifeste en raison du formatage de la société qui nous a toujours plus ou moins montré le chemin à suivre, à commencer par l'éducation parentale, ce qui est d'ailleurs compréhensible. Faut suivre le shéma stéréotypé qui s'est toujours résumé par fonder une famille et faire des gamins. Et celui qui ne suivait ou suit pas ce shéma était ou est classé "anormal" ou soupçonné de l'être. "On nait" donc homo, hétéro ou bi comme "on" nait" avec ses jambes ou pas, avec la vue ou pas, petit ou grand, gros ou mince, avec un fort potentiel intellectuel ou pas, etc.

La transsexualité est un aboutissement de ce que l'on ressent être. Une deuxième vie où l'on s'affirme comme on est réellement. Certain(e)s ressentent le besoin de passer par cette transformation qui reste cependant très délicate pour diverses raisons comme ne pas se tromper sur sa véritable identité sexuelle ou encore des conséquences psychologiques qui peuvent survenir par la gestion de sa nouvelle vie qui comprend le regard des autres, notamment de ses proches. Les transsexuel(le)s opéré(e)s sont parfois déçu(e)s par leurs nouvelles vies sexuelles en raison de la science qui ne leur apportent pas (encore?) la possibilité d'avoir un nouvel véritable organe génitale avec les "sensations" qui vont avec, tandis que d'autres sont satisfait(e)s de leur masculinisation ou leur féminisation, achevé(e), s’accommodant de ce que leur apporte leur nouvelle vie sexuelle qui passe après leur ressenti intérieur et leur nouvelle identité.

Quant à la bisexualité, on pourrait la comparer avec un(e) hétéro qui a deux amours. Comment faire un choix quand on aime (être) les deux? Par rapport à l'homosexualité ou la transsexualité aboutie, c'est peut être la bisexualité qui est finalement la plus difficile à gérer.

Je finirais ce joli texte, sincère, qui, malgré les apparences n'est pas un pamphlet pour les adeptes de la théorie du genre mais simplement une certaine ouverture d'esprit et de respect, par une question certes un peu provocatrice: De quel sexe Dieu est il (elle)?

:)

Tu as viré complètement gauchiste fatigué et décadent, réconcilie donc le torchon et le torché !

On dirait un texte de Najat

Depuis que je suis gamin (et même sur fopo), j'ai toujours défendu les "homos" et le monde du Transgenre contre vents et marais, tout en ayant toujours eu à peu près les mêmes idées politiques que tu connais. Peut être parce que j'essaye d'être juste et que je suis davantage tolérant et ouvert que ceux qui se vantent de l'être sans cesse et sont en fait des vrais "fachos". Comme quoi, tous les sympathisants des jean Marie et autres Soral ne sont pas pour autant des bourrins et ne suivent pas leurs "guides" en buvant toutes leurs paroles.

Amour inconditionnel de l'Islam, des homos, des trans, peux-tu me dire ce qui te différencie encore de la LCR ou des Verts ?

Je viens de te répondre juste au dessus. Mais je ne sais pas si tu pourras comprendre.

Moi j'ai la réponse sur le sexe de Dieu : Aucun (car aucun besoin de reproduction pour un être qui existe par lui-même).

Tous les homos que je connais ne ressentent pas le besoin non plus de se reproduire et se suffisent et existent par eux mêmes. Il/elle est PD Dieu?

Moi j'ai la réponse sur le sexe de Dieu : Aucun (car aucun besoin de reproduction pour un être qui existe par lui-même).

Tous les homos que je connais ne ressentent pas le besoin non plus de se reproduire et se suffisent et existent par eux mêmes. Il/elle est PD Dieu?

Jusqu'à preuve du contraire, personne n'existe par sa propre volonté dans ce monde, les homosexuels n'ont ni décidé d'exister, ni de recevoir un corps avec un sexe dont la fonction est la reproduction.

Par ailleurs je n'irais pas plaisanter sur Dieu, vous pouvez emprunter ce chemin sans m'attendre.

Moi j'ai la réponse sur le sexe de Dieu : Aucun (car aucun besoin de reproduction pour un être qui existe par lui-même).

Tous les homos que je connais ne ressentent pas le besoin non plus de se reproduire et se suffisent et existent par eux mêmes. Il/elle est PD Dieu?

Jusqu'à preuve du contraire, personne n'existe par sa propre volonté dans ce monde, les homosexuels n'ont ni décidé d'exister, ni de recevoir un corps avec un sexe dont la fonction est la reproduction.

Par ailleurs je n'irais pas plaisanter sur Dieu, vous pouvez emprunter ce chemin sans m'attendre.

Jusqu'à preuve du contraire, "Dieu" dans le sens de la religion, n'existe pas , je vais même être un chouilla provocateur en reprenant un terme de Haaa en disant qu'il relève de la "psychiatrie" chez l'homme qui a voulu mettre un mot sur ce qui le dépasse.

Par ailleurs, je ne m'interdit aucune plaisanterie et surtout pas sur un "être" inventé par l'homme afin d'essayer de combler grossièrement ses lacunes sur des questions restées vaines.

Les trans sont au fond des homos qui sont allés jusqu'au bout de leur logique.

Les trans sont au fond des homos qui sont allés jusqu'au bout de leur logique.

Pas du tout.

Un homo se sent en général homme. Qui est attiré par d'autres hommes.

Un trans masculin se sent femme et veut éventuellement le devenir en ayant recours à la chirurgie.

Les homos ne veulent pas être des femmes.

Bien sur que cela relève du mental (ce que vous appelez psychiatrie et où on peut voir dans ce terme ainsi posé ici une espèce de "folie" aux yeux de certains). Être nait homme et se sentir femme en raison d'une part de féminité davantage développée chez certains hommes est une réalité qui n'a rien de "fou" ou n'est en rien un "caprice" par rapport à la société ou autre, mais davantage une "anomalie" naturelle (anomalie, terme que j'ai toujours employé pour ce sujet et que vous reprenez ici comme exemple) qui se corrige parfois par la chirurgie dont ont recours certain(e)s transsexuel(le)s. Alors il est évident que psychologiquement, cela vous perturbe quand vous êtes nait dans ce cas comme quand vous êtes nait en vous sentant différent de la "norme" (handicapé, surdoué, etc). Et dire que parce que vous êtes nait avec des attributs physiques et pas d'autres devrait faire de vous ce que vous n'êtes peut être pas l'"intérieur", est aussi ridicule de dire que parce que vous avez une tête de neuneu qui est la risée des autres, vous êtes forcément un abruti.

Ce que tu dis n'a aucun rapport et je pèse mes mots! Être ou non un abruti n'est pas fonction de la beauté de ta gueule, en revanche ton sexe est par définition fonction de ton sexe biologique à la fois génétique et phénotypique avec les attribues masculins et féminins que l'on connait! Si tu naît avec un corps d'Homme normal, sans anomalie biologique aucune, mais que tu te prétends femmes à l'intérieur alors c'est que tu débloques totalement! Car alors se dire «femme à l’intérieur» ne veut rien dire c'est du pur domaine du mental! Mais le pire c'est que ce qu'on appelle «la chirurgie de changement de sexe» ne corrigera rien du tout mais au contraire détruira et mutilera un corps masculin sain, pour qu'il ressemble plus ou moins à un corps de femme! Il n'y a pas changement de sexe, celui-ci est impossible, il y a juste mutilation d'un corps sain pour répondre aux caprices mentaux d'une personne mal dans sa peau!

South Park: Le Vagin tout neuf de M. Garrison

Ce que tu dis n'a aucun rapport et je pèse mes mots! (...)

Si tu naît avec un corps d'Homme normal, sans anomalie biologique aucune, mais que tu te prétends femmes à l'intérieur alors c'est que tu débloques totalement! Car alors se dire «femme à l’intérieur» ne veut rien dire c'est du pur domaine du mental! (...)

C'est donc ce que je dis au sujet d'"anomalie" (génétique) d'un homme, par exemple, qui a sa part de féminité (que nous avons tous) plus développé que les autres, et qui donc se sent femme. Relis ma conversation avec Haaa. C'est bel et bien physique et non psychologique en premier lieu, la psychologie étant perturbée par la suite face à cette "anomalie".

Il n'y a pas changement de sexe, celui-ci est impossible, il y a juste mutilation d'un corps sain pour répondre aux caprices mentaux d'une personne mal dans sa peau!

C'est impossible, pour l’instant. Quand au reste de ta prose, ça ne vole pas très haut, et je pèse mes mots.

C'est donc ce que je dis au sujet d'"anomalie" (génétique) d'un homme, par exemple, qui a sa part de féminité (que nous avons tous) plus développé que les autres, et qui donc se sent femme. Relis ma conversation avec Haaa. C'est bel et bien physique et non psychologique en premier lieu, la psychologie étant perturbée par la suite face à cette "anomalie".

Non désolé les seules anomalies génétiques dont il peut être question sont celles qui ont un impact physiologique conséquent au minimum sur les caractères sexuels secondaires, comme la pilosité, la poitrine ou la voix. Mais si un homme a pareil anomalie, dû notamment à une déficience de testostérone on tendra à lui en donner pour corriger cette anomalie et non pas à lui couper la bite. Le sexe biologique demeurant clairement masculin, les seuls cas vraiment délicats seraient les anomalies plus graves. Mais ici j'ai l'impression que tu parles de purs délires psychologiques pour lesquels tu spécules des causes génétiques! Des cas comme celui-là Aucune anomalie génétique de base, un Homme normal qui du jour au lendemain décide de devenir «une femme»! Car n'importe qui peut dire qu'il a «une part de féminité plus développée» ça n'en fait pas une réalité biologique, c'est comme dire «avoir un côté fleur bleu» ou bien «être un paresseux de nature», ça n'en fait pas des réalités biologiques et surtout dans le cas du sexe ça n'efface pas une détermination sexuelle nette! Et surtout vouloir changer de sexe à coup de bistouris lorsque celui-ci est bien déterminé demeure une série de mutilations dramatiques détruisant un corps sain pour obéir à des caprices relevant de la psychiatrie!