C'est un peu gênant je trouve de parler d'avortements de confort, ce qui reviendrait à penser que l'IVG ne serait pour certaines femmes qu'un mauvais moment à passer, et dont les statistiques ne doivent pas être simples à trouver.
Si l'on parle de la pilule du lendemain, c'est sûr qu'en termes de traumatisme, il n'y a pas grand chose. Par contre je ne crois pas qu'une femme voit de bon cœur arriver l’aspirateur ni d'avoir à passer une ou deux journées à l'hôpital... Après il existe toujours la possibilité d'avoir affaire à une nymphomane maso, mais elles doivent être rares, malgré tout.
A Louve : ces femmes à plus de 5 IVG doivent avoir un sérieux problème psychologique ou être des neuneus sans aucune limite morale. Je les classerai arbitrairement, et sans les connaître, chez les salopes ou les demeurées. Clairement ça n'est pas normal.