Les participants au synode sur la famille, réunis depuis deux semaines au Vatican, devraient voter ce samedi sur un document final, concluant des débats tendus et mouvementés sur des sujets de société brûlants, des divorcés aux couples non mariés, y compris homosexuels. Ce document indiquera jusqu'à quel point le langage pastoral nouveau de «miséricorde» sur ces réalités, qui imprégnait fortement une première synthèse des débats publiée lundi, aura été maintenu, atténué ou même supprimé. Le cardinal américain Raymond Leo Burke, conservateur opposé à la ligne du pape François, a fait planer le doute en estimant que le texte pourrait être rejeté si les affirmations «inacceptables sur les rapports sexuels hors mariage et entre personnes de même sexe» n'étaient pas retirées. Mgr Reinhard Marx, cardinal de Munich et proche du pape, s'est en revanche montré confiant sur l'impossibilité d'un retour en arrière: «Il y a eu deux pas en avant, il pourrait y avoir un pas en arrière, mais sûrement pas deux.» A côté de la volonté consensuelle de promouvoir le mariage religieux entre un homme et une femme, la reconnaissance d'«aspects positifs» dans les unions stables hors mariage, a suscité une avalanche de réactions inquiètes de prélats, des Etats-Unis à l'Afrique. François avait convoqué dès 2013, année de son élection, ce synode dit «extraordinaire» (réunissant les présidents de conférences épiscopales) pour sonder les évêques sur les réponses à apporter aux défis de la famille, sans rompre avec l'indissolubilité du sacrement du mariage. Dans une première étape, un questionnaire envoyé cet hiver à tous les diocèses a montré le fossé entre la doctrine sur la sexualité et la pratique très libre des fidèles. Puis en février, un cardinal théologien allemand proche de François, Walter Kasper, a introduit lors d'un consistoire une approche réformiste, notamment en faveur de l'accès, sous strictes conditions, de certains divorcés remariés à la communion. Cette ouverture s'est retrouvée au synode, avec le soutien de son secrétaire spécial, l'archevêque italien Bruno Forte. Le pape s'est pour sa part contenté de demander un débat n'éludant pas les sujets qui fâchent. L'assemblée devrait s'achever samedi dans l'après-midi par un vote sur le document final incorporant de multiples amendements, qui sera précédé à la mi-journée par l'envoi d'un «message» à tous les catholiques. Le document final sera probablement approuvé, mais avec quelle marge? Ce sera aussi un vote sur la ligne audacieuse que soutient le pape, et qui a beaucoup d'adversaires. De toute manière, il s'agit seulement de la première phase d'un long processus de consultations. En effet, un nouveau questionnaire sera diffusé dans les diocèses, à partir du document final de samedi. Un deuxième synode « ordinaire », plus large et chargé d'élaborer des propositions, est prévu pour octobre 2015. Ses conclusions seront alors remise au pape, qui aura le dernier mot. L'Eglise pourrait s'acheminer vers une «révolution» lorsque se conclura la deuxième assemblée, a affirmé à l'agence spécialisée sur le Vatican I.Media le père Adolfo Nicolás, supérieur général des jésuites. En attendant, certains craignant que l'édifice de l'Eglise s'écroule en cas d'ouvertures majeures sur le divorce, l'union libre ou l'homosexualité. D'autres font valoir qu'à force de vouloir comprendre les situations particulières, on oublie de mettre en valeur le modèle chrétien du mariage et de la famille unie. Les évêques du Sud ont insisté sur le facteur structurant de la famille face aux difficultés économiques. Ils ont critiqué le conditionnement des aides par certaines ONG, l'Union européenne ou l'ONU à l'acceptation de programmes contraires à leur conception de la vie comme la contraception. L'animation des débats s'est répercutée parmi les médias. Certains vaticanistes rendent compte avec virulence des critiques de cardinaux, et des médias spécialisés, en particulier américains, soit ultra-progressistes soit ultra-conservateurs, livrent des analyses totalement divergentes. http://www.20minutes.fr/monde/1463395-2 ... revolution

Ce pseudo "pape" François n'est rien d'autre qu'une ordure sataniste.

Vlaams, certains le disent oui. et il serait jésuite qui plus est mais j'ai du mal à m'y retrouver entre tous les "complots" avant on accusait les juifs, puis les protestants, puis les illuminatis, puis les franc maçons, puis les satanistes, et maintenant c'est les jésuites le truc à la mode

Une révolution? vous êtes sérieux? SVP, rappelez-moi combien de temps de retard ils ont sur la société. Vous voyez? il n'y à aucune révolution là dedans, juste une tentative de rattraper un énorme retard qui leur fait perdre des parts de marché.

que nous concocte notre jèze ?

Une révolution? vous êtes sérieux? SVP, rappelez-moi combien de temps de retard ils ont sur la société. Vous voyez? il n'y à aucune révolution là dedans, juste une tentative de rattraper un énorme retard qui leur fait perdre des parts de marché. Quelle est ta métrique pour ce retard...

Mon explication pour ce retard c'est la forme pyramidale de l'organisation du Vatican (et donc de toute la religion)

Une révolution? vous êtes sérieux? SVP, rappelez-moi combien de temps de retard ils ont sur la société. Vous voyez? il n'y à aucune révolution là dedans, juste une tentative de rattraper un énorme retard qui leur fait perdre des parts de marché. Rattraper le soi disant temps perdu pour plaire a nos progressistes nombrilistes n'est pas son role .

avant on accusait les juifs, puis les protestants, puis les illuminatis, puis les franc maçons, puis les satanistes, et maintenant c'est les jésuites le truc à la mode Tout ça, ça taff dans le même sens, et pour les premiers.

Une révolution? vous êtes sérieux? SVP, rappelez-moi combien de temps de retard ils ont sur la société. Vous voyez? il n'y à aucune révolution là dedans, juste une tentative de rattraper un énorme retard qui leur fait perdre des parts de marché. N'importe quoi, si le catholicisme est en déclin, c'est justement parce que des dégénérés aux idées satanistes/"progressistes" (comprendre retour à l'antiquité), ont réussi à s'infiltrer. Pendant ce temps la, l'islam, qui n'a pas ce problème se porte très bien.

Une révolution? vous êtes sérieux? SVP, rappelez-moi combien de temps de retard ils ont sur la société. Vous voyez? il n'y à aucune révolution là dedans, juste une tentative de rattraper un énorme retard qui leur fait perdre des parts de marché. Bonne analyse. Le problème de l'Église de Rome est effectivement son incapacité à relire les évangiles fondamentaux à la lumière des paroles de cet illuminé révolutionnaire très humaniste: Jésus En fait, dès qu'on s'éloigne de plus d'un siècle de sa mort, les doctrines religieuses Chrétiennes s'écartent de la parole de Jésus dont pourtant ils ont plein la bouche. Les Apôtres de Jésus étaient quasi TOUS mariés, Seule l'église de Rome a souhaité puis exigé de ses serviteurs le célibat! Il est simple a comprendre qu'il ne s'agissait QUE d'éviter familles et héritage donc évasion de FRIC à la source! Ce Pape tente des réformes, il peut les réussir. En Russie l'église Orthodoxe est en pleine renaissance et cela se passe assez bien avec les nouveaux dirigeant de ce pays. Une assez grande majorité le souhaite. Ici en France par exemple, l'Église a été spoliée à la révolution! En échange et pour dédommagement, l'État Français c'est engagé a entretenir ses Églises... Il en devient soit disant INCAPABLE. Il préfère construire des "hôtels de région" pour vieux boucs "palabreurs" que d'entretenir ces édifices séculaires. Regardez autour de vous ces églises, ces cathédrales entourées de filets afin que leurs vieilles pierres rongées par l'usure du temps ne chutent pas sur les passants ou les fidèles! L'Eglise réagit, elle tente de ne pas mourir. Les fondamentaux de l'église Chrétienne sont bons, moraux et plutôt bien plus profitables à la socoété que la laïcité sauvage menant à l'égoïsme absolu et forcené pour un Dieu FRIC adoré pour toute espérance! Ce pape le sait et avance. Le reste ce sont des détails.

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Le Vatican se dirige-t-il vers une révolution?

charles-darwin

ecoutez je pense qu'il n'y a pas d'islam pour la france ! je pense que cela n'est qu'une peur de perdre une éventuelle liberté. honnêtement je pense qu'il n'y aura plus de religion (hormis une croyance mondiale) pour l'europe. mais je pense pas qu'il y sera un islam comme au moyen âge ! ceci n'est pas possible pratiquement a moins que il n'y est plus de ressources ! plus d'eau plus rien a manger etc..... je croie sincèrement que la religion s'appuie sur des peurs terrestres comme la culture chrétienne des peurs terrestres comme islamiques des peurs qui sont sur terre ! la fin des ressources les guerres. nous pouvons dire se que nous voulons ! mais je ne croie pas a une islamisation ! parce que notre civilisation déjà trop individualiste ou encore notre manière de vivre qui finira dans un monde globaliste. l'islam finira en occident (il s'addapte déjà) en réalité regardons comment les musulmans vivent en europe ! très mondialisé ! mais pas du tout comme ya 200 ans ! je croie que nous sommes dans des peurs bien plus qu'autres choses :! moi mon mec qui vient d'afrique d'ouest qui est musulman qui fut pratiquant ..... ne croit pas a une telle chose parce que nous sommes trop individualistes ! nous sommes trop individuels ! la globalisation n'aura pas de religion monothéiste au sens propre ou nous le pensons ! mais plutôt une religion réelle dans le sens de notre vie ! de notre mode de vie ! je croie que la globalisation la mondialisation aura un effet ou la religion du libre arbitre retourvera sa place

merl1

courtial N'a rien à voir avec la question, mais on remarque d'abord que ce qui a été défait en 1870, ce n'était pas la République, mais le Second Empire.

Le second Empire n'était pas un régime autocratique, comme le fut le premier.

Wiki a écrit
La loi de réforme militaire que l'empereur propose en 1866 après la victoire des Prussiens à Sadowa est destinée à modifier le recrutement militaire en supprimant ses aspects inégalitaires et injustes (le tirage au sort, par exemple) et à renforcer l'instruction. La loi Niel telle qu'elle s'appelle est néanmoins considérablement dénaturée par les parlementaires, en majorité hostiles, et est finalement adoptée avec tant de modifications (maintien du tirage au sort) qu'elle en devient inefficace....

courtial

merl1 Le second Empire n'était pas un régime autocratique, comme le fut le premier.

On reconnaît en principe deux phases : un Empire autoritaire entre 1851 et 1858, à peu près, où on calme l'opposition (il y a eu coup d'Etat à la base, quand même), on visse bien tous les boulons, puis un Empire libéral pour la deuxième partie. Libéralisme qui était beaucoup plus dans le caractère de Louis Napoléon

courtial

france2100 Cela dit, plus fondamentalement, ma remarque était que le désir d'égalité est bien un axiome moral engendrant des systèmes éthiques. Toute action humaine est de toute façon de nature morale, fût-ce de l'égoïsme, car il ne peut y avoir de décision sans système de valeurs

J'ai validé ceci par avance en évoquant Rousseau, et j'ai dit que je complétais. C'est pas fromage ou dessert, c'est les deux mon général. Dans une société de masse naissante, où l'égalité trouve une figure concrète dans l'uniformisation des conditions, le fait qu'une morale égalitaire puisse naître et prospérer ne sera pas une surprise.
Pour Marx lui-même, le principe de réflexivité d'une théorie (sociale, en l'occurrence) fait qu'elle s'applique aussi à lui-même. D'ailleurs, l'idée que la morale, la religion, ne sont que des traductions des conditions réelles d'existence et de production est raccord.
Je t'espère rassuré : je suis plus Canal Historique, là, n'est-il pas ? Tu me balanceras pas au Komintern comme un dangereux déviationniste, hein, dis ?
Si je m'étais attendu à trouver des commissaires politiques planqués dans le Fopo....

france2100

courtial

Dans une société de masse naissante, où l'égalité trouve une figure concrète dans l'uniformisation des conditions, le fait qu'une morale égalitaire puisse naître et prospérer ne sera pas une surprise.

Notons toutefois que cet égalitarisme matériel a cohabité depuis les débuts avec l'idée d'une hiérarchisation atavique sous la forme du mythe méritocratique.

Lequel se conjuge désormais avec une hiérarchisation morale entre peuple raciste chauvin contre élites éclairées citoyennes du monde, ainsi qu'une hiérarchisation héréditaire fallacieuse (supériorité intellectuelle innée des couches bourgeoises) fondée sur une sélection arbitraire des données, pour donner naissance à une aristocratie mondiale et un féodalisme international.

Tout comme dans l'ancien régime les aristocrates se prévalaient d'un triple privilège : naissance, éducation et morale (monarque de droit divin, ordre tripartite voulu par Dieu).

La Révolution n'a fait que substituer la domination des élites bourgeoises à celle des élites féodales. Et plus le temps passera plus il y aura surplus de main d'oeuvre, y compris diplômée (et automatisation de leurs fonctions), si bien que le cercle des élites se resserera et que leur domination sera de plus en plus dure.

merl1

courtial puis un Empire libéral pour la deuxième partie. Libéralisme qui était beaucoup plus dans le caractère de Louis Napoléon

Et beaucoup plus républicain dans les faits....

Sargon

courtial

Dans toute bonne bibliothèque universitaire tu trouveras au moins une vingtaine d’ouvrages au nom de « L’idéologie allemande ». J’en possède moi-même trois, deux en français et un en allemand traduit de l’anglais, écrits à des dates différentes par des auteurs différents. Les trois défendant des thèses différentes.

Quant à consulter Wiki, ce n’est pas forcément une référence. N’importe qui peut y écrire n’importe quoi. Il faut le prendre pour une indication possible, mais le vérifier systématiquement.

Quant à écrire que : « les valeurs morales qui prédominent dans la société bourgeoise sont les valeurs de la bourgeoisie », pourrait-il en être autrement ? C’est une tautologie.

Pour ce qui est du mot « marxisme », il ne me gêne pas le moins du monde, au contraire. J’ai eu une excellente éducation marxiste, de l’école secondaire au 87 de la rue du Faubourg Saint Denis. Du moins, jusqu’à la mort de Lambert.

courtial

Sargon Dans toute bonne bibliothèque universitaire tu trouveras au moins une vingtaine d’ouvrages au nom de « L’idéologie allemande ». J’en possède moi-même trois, deux en français et un en allemand traduit de l’anglais, écrits à des dates différentes par des auteurs différents. Les trois défendant des thèses différentes.

Je crois pouvoir me vanter d'avoir un certain humour, mais là je ne comprends pas la vanne.
Dans une bonne bibliothèque universitaire, je suppose qu'il doit y avoir deux ou trois autres types qui s'appellent Marx, également, d'où tu peux tirer que tu ne vois pas de qui je parle ?

Sargon

france2100

Tout cela étant parfaitement exact. L'on ne peut qu'approuver le propos.

Sargon

courtial

Je vois parfaitement. Si celui dont tu parles est celui auquel je pense, je crois que tu n'étaitspeut-être pas né lorsque je l'ai lu. Mais plusieurs autres ont été publiés depuis sous ce nom, les meilleurs étant d'ailleurs d'origine allemande.

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