Ooooh, mais s'il s'agit de beaucoup de gens, ça change tout !
Par exemple les gens en Europe, qui ont des relations avec Israel.
(mais ça aussi, vous vous en foutez comme de l'an 40)
La plupart des pays, sauf les pays islamiques, ont de bonnes relations avec Israël.
Les palestiniens ne sont pas le nombril du monde, quand ils font un caca nerveux, ça n'empêche pas la Terre de tourner.
Ensuite, de l'assentiment des populations.
Comme par exemple en France.
Il me semble que les français sont plus du coté de la démocratie israélienne que du coté des terroristes islamiques palestiniens du hamas.
La très grande majorité des français n'en ont rien à cirer des palestiniens et ne font pas confiance aux arabes et aux islamistes en général.
Là encore, vous vous en fichez éperdument .
Parce que c'est pas "l'opinion publique" d'ici ou là, qui va gérer la sécurité des habitants d'Israel. direz vous...
L'opinion publique, c'est un concept qui n'a pas de sens pour moi.
Ce concept suppose qu'il y a une opinion unique alors qu'il y en a plusieurs différentes voire contradictoires.
C'est du moins le constat que je fais.
La sécurité d'Israël, de son territoire et de ses habitants relèvent de la seule responsabilité du gouvernement israélien.
Les tiers ne sont pas concernés.
Et ainsi de suite.
Le seul débat qui vaille, c'est "que doit on mettre en oeuvre afin que la population palestinienne cesse de vivre dans la frustration et soit apte à vivre aux côtés d'israéliens"
Effectivement, la question c'est pas de savoir qui est le gentil et qui est le méchant.
Cette question ne fait pas débat : le gentil c'est Israël qui est une démocratie et le méchant c'est les terroristes islamiques palestiniens.
La question c'est de savoir quel sera l'avenir des palestiniens.
Ça dépendra en grande partie des palestiniens eux-mêmes, ils ont des institutions politiques légitimes pour faire ces choix.
Mais non, ça c'est pas votre sujet
Votre sujet, c'est soit les palestiniens se soumettent à la loi de Netanyahu et des colons criminels
Soit, il faut les faire disparaitre.
Je sais pas si vous vous rendez compte, mais ce genre de topo, il est proscrit, normalement.
Ce n'est pas moi mais les palestiniens eux-mêmes qui devront faire les choix qui engageront leur avenir.
Globalement, le choix qui se pose c'est soit poursuivre la stratégie de l'affrontement avec les conséquences que ça entraine, soit s'engager dans une démarche de paix pour vivre en bonne intelligence avec l'état juif.
Compte tenu de l'endoctrinement qu'ils ont subi, les palestiniens ne me semblent pas encore préparés à la coexistence.
Un lourd travail de rééducation s'impose pour créer les conditions de la paix.