Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.

La montée du FN confirmée par les élections municipales est la conséquence d’une crise économique et d’une crise identitaire. Si beaucoup préfèrent y voir la seule conséquence de la crise économique, l’immigration massive, l’insécurité et la perte de contrôle de nos frontières sont des facteurs importants des scores du FN. Cette réalité est illustrée par l’électorat du nord de la France, électorat de « gauche » à fibre sociale, qui choisit de voter pour le FN plutôt que pour le Front de gauche.

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    Il est urgent de stopper l’immigration massive et de privilégier la culture française avant que le semblant de vivre ensemble qui reste ne se transforme en une société multiculturelle du « vivre à côté

    pour moi c'est une phrase creuse, qui ne veut rien dire.

    Je note également que les villes dynamiques sont cosmopolites et non pas recentrée sur leur gloire passée.

    Il n'y a qu'à comparer Paris, avec Londres, Barcelone ou Berlin.

    - les employeurs sont des multinationales, qui recherchent des gens multi_langues.

    - un tourisme dynamique demande également un personnel multi ethnique.

    Mais c'est sûr que comparée au Canada ou à l'Allemagne, la gestion de l'immigration par la France est catastrophique.

    Et je suis le 1er à critiquer les bobos qui veulent le vivre ensemble, mais qui exigent les meilleurs profs pour leurs enfants , dans les lycées ethniquement purs des centres villes.

      L'individu apprécie la différence à la condition qu'elle lui ressemble. Je n'oublie pas, pour ma part que tout ceux qui nous vante le vivre ensemble vivent régulièrement dans des villas pavillonnaires loin des difficultés que peuvent poser la qualité de vie qu'ils proposent à ceux qui sont dans les quartiers. Rares sont aussi ces belles âmes à tolérer la présence des campements de roms à proximité de leurs maisons et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils ne sont pas appréciés ni crédibles auprès des citoyens dont certains, connaissent, ces réalités.

      Je note également que les villes dynamiques sont cosmopolites et non pas recentrée sur leur gloire passée.

      Je ne cite que ça parce que ça m'a fait bien tilter.

      A vrai dire, je ne vois pas l'opposition entre le cosmopolitisme et le passéisme.

      A moindre que de vouloir être entre gens de même race soit pour vous preuve de passéisme, mais j'ai vraiment du mal à voir le rapport.

      Le vivre ensemble c'est de pouvoir discuter avec des inconnus sur des valeurs communes.

      Or, dans notre nouvelle France multiculturelle, il est impossible de discuter avec des communautés refermées sur leurs coutumes que l'on comprend même pas. Ce communautarisme va créer des zones séparatistes et à terme des zones autogérées.

        La plupart des "adeptes" du vivre-ensemble ne l'appliquent en général pas à eux-même, leur anti-racisme et leur bonté d'âme étant bien souvent une façade qui cache des pratiques et des sentiments beaucoup moins présentables.

        Or, dans notre nouvelle France multiculturelle, il est impossible de discuter avec des communautés refermées sur leurs coutumes

        Quand on dit qu'il est impossible de discuter, ça veut dire qu'on a déjà essayé, qu'il existe une volonté de discussion, des initiatives concrètes.

        Or je suis désolé mais par exemple j'ai grandis dans une zone à cheval entre des cités HLM peuplées à majorité d'immigrés et de leurs descendants.

        Et des quartiers pavillonnaires de classes moyennes "de souche". Où ça vote d'ailleurs massivement FN depuis 20 ans.

        Alors autant je comprends tout à fait la dimension "sécuritaire" du vote. Voire même je l'appuies, et je trouve qu'on en fait pas assez en matière

        de sécurité. Autant faut arrêter l'hypocrisie sur l'histoire culturelle, j'ai rarement vu ces habitants "de souche" vouloir discuter avec les "basanés"

        des cités d'en face. Ils en ont strictement rien à braire. C'est pas juste de la méfiance ou une mentalité "en réaction de". Ils ne veulent simplement

        pas avoir de rapports avec des gens différents d'eux.

        Un arabe sera pour eux toujours un arabe, même si il fait semblant de se "franciser" et qu'il peut se payer une villa comme eux. On lui dira bonjour,

        mais on le soupçonnera toujours de quelque vice ou tare culturelle cachée. Il porte un costume cravate, mais égorge-t-il des moutons dans sa baignoire ?

        Mange-t-il avec les mains ? Rêve-t-il en secret d'instaurer la charia ?

        Donc voilà, si il y a un problème de "discussion" il est bien dans les deux sens.

        Il y a, une dimension sécuritaire, mais aussi identitaire et culturelle, ou sociale Logos.

        Effectivement, les difficultés posées par une incapacité à réussir une intégration citoyenne, ainsi que l'accroissement du chômage et des tensions fiscales incitent, de plus en plus de citoyens à se réfugier dans des votes, nationaux qui méritent écoute, respect et considérations. Dans un monde en constante évolution, l'ouverture des frontières, la fuite en avant dans une mondialisation dont les contours et les conséquences sont méconnues peuvent, à juste titre, parfois justifier un attachement à l'enracinement et à la volonté de préserver ses modes de vies, ses valeurs....Voilà, en substance ce qui se joue !

        L'individu apprécie la différence à la condition qu'elle lui ressemble.

        C'est pour ça que les chiens n'aiment pas les chats.

        Or, dans notre nouvelle France multiculturelle, il est impossible de discuter avec des communautés refermées sur leurs coutumes

        Quand on dit qu'il est impossible de discuter, ça veut dire qu'on a déjà essayé, qu'il existe une volonté de discussion, des initiatives concrètes.

        Or je suis désolé mais par exemple j'ai grandis dans une zone à cheval entre des cités HLM peuplées à majorité d'immigrés et de leurs descendants.

        Et des quartiers pavillonnaires de classes moyennes "de souche". Où ça vote d'ailleurs massivement FN depuis 20 ans.

        Alors autant je comprends tout à fait la dimension "sécuritaire" du vote. Voire même je l'appuies, et je trouve qu'on en fait pas assez en matière

        de sécurité. Autant faut arrêter l'hypocrisie sur l'histoire culturelle, j'ai rarement vu ces habitants "de souche" vouloir discuter avec les "basanés"

        des cités d'en face. Ils en ont strictement rien à braire. C'est pas juste de la méfiance ou une mentalité "en réaction de". Ils ne veulent simplement

        pas avoir de rapports avec des gens différents d'eux.

        Un arabe sera pour eux toujours un arabe, même si il fait semblant de se "franciser" et qu'il peut se payer une villa comme eux. On lui dira bonjour,

        mais on le soupçonnera toujours de quelque vice ou tare culturelle cachée. Il porte un costume cravate, mais égorge-t-il des moutons dans sa baignoire ?

        Mange-t-il avec les mains ? Rêve-t-il en secret d'instaurer la charia ?

        Donc voilà, si il y a un problème de "discussion" il est bien dans les deux sens.

        Ca c'est parce que Judas était un arabe !

        Ca c'est parce que Judas était un arabe !

        En même Jésus était plus proche du palestinien actuel que du breton pur souche.

        Aujourd'hui on le verrait débarquer à Lampedusa

        Le vivre ensemble c'est de pouvoir discuter avec des inconnus sur des valeurs communes.

        Or, dans notre nouvelle France multiculturelle, il est impossible de discuter avec des communautés refermées sur leurs coutumes que l'on comprend même pas. Ce communautarisme va créer des zones séparatistes et à terme des zones autogérées.

        je sais par experience que partout ou ils s'installent , ils vivent en communauté quasi hermetique!, pour l'intégration vous repasserez..

        me dans le meilleur des cas vous pouvez discuter avec, meme boire un COCA ou un jus d'orange!, blablater sur des sujets divers , il en reste quand meme une sacré mefiance!, j' aio grandi dans une ZUP d'AUBAGNE!, bonjour l'angoisse d'etre l'espece en minorité.., etre obliger de se battre a chaque récré pour se faire respecter!

        quand vous etes un minot de 6ANS ca marque!

        c'etait il y a 40ANS...

        j'imagine meme pas maintenant..

        non franchement aucune envie de coabiter ni de partager quoi que ce soit avec ces gens..

        je sais par experience que partout ou ils s'installent , ils vivent en communauté quasi hermetique!, pour l'intégration vous repasserez..

        Les bourges de la Côte d'Azur aussi vivent en communautés quasi hermétiques. Et à la différence de l'immigré venu faire le maçon, ils ont en général

        choisi le lieu de leur logement. Tu crois que tous les gens qui vivent dans des cités HLM se sont dit "tiens et si on habitait tous entre basanés dans

        la cité le plus moche de la ville ?".

        Ensuite tu dis "ils", la "communauté".. mais de quoi on parle concrètement ? Dans un immeuble tu peux avoir un vieux retraité algérien qui a pas pu / voulu

        rentrer au pays, un jeune "wesh" né en France, un père de famille sénégalais fraichement débarqué .... Ils forment pas une "communauté" pour autant.

        On trouve comme partout ailleurs des groupes qui se forment selon l'âge, la situation personnelle, le pays d'origine etc. Même la religion n'empêche pas

        ces divisions. A Marseille t'as pas une association de musulmans. T'as l'association des musulmans de tel pays, de tel autre pays, le courant qui attire les

        jeunes, la mosquée où vont les vieux... ils arrivent même pas à s'entendre pour construire la grande mosquée de Marseille. Quelle communauté en effet !

        j' aio grandi dans une ZUP d'AUBAGNE!, bonjour l'angoisse d'etre l'espece en minorité.., etre obliger de se battre a chaque récré pour se faire respecter!

        quand vous etes un minot de 6ANS ca marque! c'etait il y a 40ANS... j'imagine meme pas maintenant.. non franchement aucune envie de coabiter ni de partager

        quoi que ce soit avec ces gens..

        En 1974 t'étais dans une école d'Aubagne où il y avait pas plus de 10% de "français" ?

        6 ans plus tard

        Le « vivre-ensemble » est la plus vaste fumisterie de tous les temps. Et la démographie ne va rien arranger. Les chiffres de la natalité en 2019 sont désastreux.

        En 2050, nous ne serons plus que 40 millions, et ils seront aussi 40 millions.

        La France est en perdition. Elle subit un nivellement par le bas sans précédent, par une colossale immigration de basse qualité. Ses élites, totalement inconscientes du danger, détruisent méthodiquement l’avenir des générations futures et de leurs propres enfants. L’ancien patron de la DGSE vient d’ailleurs de brosser un tableau assez sinistre de la situation.

        https://ripostelaique.com/en-2050-nous-ne-serons-plus-que-40-millions-et-ils-seront-aussi-40-millions.html

          katou Je ne crois pas à la possibilité d'une France à 80 millions; ça "pètera" avant et c'est tant mieux!

          Ce sont les mêmes cons qui parlent de bio diversité dans la nature avec émotion et qui sont pour l'invasion migratoire!
          Pour préserver la bio diversité d'un espace il faut éviter d'intégrer une nouvelle espèce, surtout si elle est envahissante...

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            Bonjour,

            Que peut-on faire face à des immigrés qui obtiennent la nationalité Française ? La conquête de la nationalité Européenne fait parti des meours des types qui vivent dans des pays Arabes. Il ne fallait pas distribuer la nationalité Française à tout ce petit monde qui entend bien sucer le monde occidental.

            Cordialement.

            le vivre ensemble pourrait fonctionner si les cons de français voulaient faire l'éffort de se convertir a l'islam 😉

              Cardinal-Protodiacre Mais non, le vivre ensemble c'est supporter l'autre tel qu'il est sans qu'il n'ait à changer quoi que ce soit.
              Je suis une référence du vivre ensemble puisque je supporte très bien l'africain sans qu'il ne change rien; c'est à dire s'il reste là où il est né! 😀

              le vivre ensemble est un complot politico-médiatique, rien de plus