aucun ne dit que l'adultère ne regarde que ceux qui le sont et Dieu, nul autre
Parce que c'est faux et malfaisant.
T'as la tête complètement ravagée ma pauvre.
Si on doit se sentir concernés par le sort des pé.dés dans je ne sais quel pays du Tiers-Monde, on doit l'être encore plus par un adultère.
Depuis quand la possibilité de faire contrition sur le plan spirituel délégitime la justice temporelle et l'horreur des justes pour un crime odieux ? Si taire un adultère à son conjoint est généralement recommandé quand c'est possible, ce n'est pas parce que ça ne le regarde pas mais pour ne pas encore aggraver le tort qui lui est fait.
§ 1639 : De l'alliance des époux " une institution, que la loi divine confirme, naît ainsi, au regard même de la société " (GS 48, § 1)
§ 1663 : Le mariage établit les conjoints dans un état public de vie dans l’Église.
§ 2381 : L’adultère est une injustice. Celui qui le commet manque à ses engagements. Il blesse le signe de l’Alliance qu’est le lien matrimonial, lèse le droit de l’autre conjoint et porte atteinte à l’institution du mariage, en violant le contrat qui le fonde. Il compromet le bien de la génération humaine et des enfants qui ont besoin de l’union stable des parents. Il tient aussi son caractère immoral du désordre qu’il introduit dans la cellule familiale et dans la société. Ce désordre entraîne des préjudices graves.
§ 2390 : Il y a union libre lorsque l’homme et la femme refusent de donner une forme juridique et publique à une liaison impliquant l’intimité sexuelle. L’expression est fallacieuse : que peut signifier une union dans laquelle les personnes ne s’engagent pas l’une envers l’autre et témoignent ainsi d’un manque de confiance, en l’autre, en soi-même, ou en l’avenir ? L’expression recouvre des situations différentes : concubinage, refus du mariage en tant que tel, incapacité à se lier par des engagements à long terme (cf. FC 81). Toutes ces situations offensent la dignité du mariage ; elles détruisent l’idée même de la famille ; elles affaiblissent le sens de la fidélité.
Catéchisme
Quelle qu’elle soit, l’infidélité conjugale est, en regard du sixième et du septième précepte divin, un des crimes les plus énormes qui puissent souiller la conscience humaine. Foulant aux pieds les droits les plus sacrés, inscrits dans l’âme par la nature elle-même, l’adultère s’en va, par la voie du parjure et de la trahison, ravir ou prostituer un cœur et un corps qui sont la propriété d’autrui, porter la désolation et la ruine dans la société domestique, empoisonner les sources de la vie au mépris des lois sur la propagation de l’espèce et corrompre les joies et les gloires de la paternité. Après cela quoi d’étonnant que les peuples – même ceux qui regardaient la fornication comme un acte indifférent au point de vue de la conscience – l’aient toujours poursuivi de leurs anathèmes et chassé sans pitié ? (...) Aujourd’hui, par suite de l’affaiblissement du sens chrétien, les peines canoniques sont tombées en désuétude, mais au for de la conscience, l’adultère demeure ce qu’il fut toujours, un crime odieux.
Dictionnaire de Théologique Catholique
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L'exécution de sodomites par pendaison ou scellage d'anus ne regarde que ceux qui le font et Dieu, nul autre
SEUL DIEU PEUT ME JUGAY WALLAH