Je veux dire que certaines sociétés font à un moment le choix ou non de gérer certaines problématiques en commun. Ces choix structurent cette société et lui donne ou non son attrait.
Les mots "entretien de la société" sont surement mal choisi mais l'idée c'est que l'arriviste qui s'installe dans la société pour y faire son beurre sans participer est un parasite.
On né dans un environnement construit par nos ancêtres et chaque génération participe à son entretien et à son évolution. Mais il n'y a pas besoin d'impôts pour ça. Sauf quelques rares exceptions, tout peut être financé par le privé.
Très juste, il n'y a pas forcément besoin d’impôt mais la participation peut être de tout autre nature. Par exemple, réprimander un gamin qui n'est pas le sien quand il fait une connerie, c'est participer à l'entretien de la moralité au sein de la société.
Si on paie un déménageur, c'est parce que l'on a pas assez d'ami pour aider au déménagement. L’impôt c'est la financiarisation des rapports humains mais l’impôt suis la financiarisation de la morale que fut la période des lumières. Le financement par le privé est tout à fait possible mais il n'est pas un choix de société mais le choix d'un individu pour la société.
Tout est financiarisé, en premier le cœur du gauchiste pour qui solidarité rime avec cracher au bassinet. Si tout est financiarisé, ceux qui tiennent les finances dominent le monde.