détartrage en règle d'un essayiste
http://www.claudegagnon.net/Reconstitution.pdf
Il pourrait donc peut-être s'agir d'un linceul disposé sur un "gisant" chauffé régulièrement par des rayons de soleil.
Et à la longue, la chaleur réfractée par le matériau du gisant, aurait peut-être pu "roussir" le linceul et l'impressionner, ainsi en une sorte de "négatif" ?
un genre de tournesol quoi...
Lulu, ça va ?
ça a déjà été tenté, les résultats sont sur internet. Si vous voulez rire un coup, pouvez les récupérer
Non, pas besoin de tournesol...
Imagine un gisant en bronze, dans une crypte, avec juste au dessus une sorte d'ouverture vers le ciel, d'où chaque jour les rayons solaires frappent la statue de bronze du gisant..
La chaleur dégagée par le bronze pourrait très bien impressionner le tissu de lin comme s'il s'agissait d'un mouchoir disposé à proximité d'un fer à repasser qui le roussirait lentement tous les jours un peu.
Et le bedeau de la crypte ayant découvert ce procédé se serait fait du pognon en revendant aux pèlerins de passage, à prix d'or, un à un ses exemplaires de suaires, assimilés à des vrais.
Un peu de sang versé, en plus, aurait rendu encore plus crédible la supercherie...