Ennemi n° 1. Le 24 août, lors de l’université d’été du PS, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, désignait Alain Soral et Dieudonné comme les principaux adversaires à combattre, ce qui aura pour conséquence : un, de le faire connaître encore un peu plus, deux, une nouvelle campagne de presse de gauche (Politis , Le Monde diplomatique, Rue89, etc.). Au défi de toute la jurisprudence, sa maison d’édition Kontre Kulture a été condamnée par la LICRA à retirer de la vente un ouvrage dans un délai d’un mois, et à censurer certains passages de quatre autres ouvrages (dont Le Salut par les Juifs de Léon Bloy, qui est un essai projuif !). Si Alain Soral est pris sous un feu nourri d’attaques, c’est notamment parce que son site Égalité & Réconciliation est devenu incontournable sur la toile. Et qu’à lui seul, cet essayiste charismatique totalise plus de quinze millions de vues. Il y a un véritable « phénomène Soral », qui va s’amplifiant comme en témoigne son nouvel essai (avec Éric Naulleau comme faire-valoir), Dialogues désaccordés. Combat de Blancs dans un tunnel (Blanche/Hugo & Cie). « La gauche du travail, la droite des valeurs. » « Frère de la comédienne Agnès Soral, ex-jet-setteur pique assiette des années Palace, récent pamphlétaire à succès, ce quadra au physique coupant et aux allures de red-skin vieillissant fréquente depuis quelques années déjà les plateaux de télévision avec une certaine efficacité rhétorique. Grâce à cette méthode de kickboxing télévisuel, il est l’auteur remarqué entre autres : d’un gros doigt en direction de Josyane Savigneau, la “Madame Livres” du Monde, sur le plateau de Campus, l’émission de Guillaume Durand ; d’une crise de nerfs de la comédienne Anouk Aimée sur celui de Tout le monde en parle de Thierry Ardisson (“Excusez moi mais je ne peux pas rester à côté de lui”) et d’une explosion de standard téléphonique à France 3 après un C’est mon choix sur les femmes . Rejoignant le mouvement croissant de libération de la parole gauloise (Camus, Houellebecq, Muray, etc.), il débite souvent avec brio une phraséologie néoréac en constante contradiction avec la loi Gayssot. » Libération, 10 juillet 2002 « Volontiers provocateur, Alain Soral s’inscrit dans la lignée des polémistes français allant de Léon Bloy à Jean-Edern Hallier. “Agitateur d’idées depuis 1976” selon sa propre expression, ce bretteur de talent, un brin gouailleur, se définit comme “le fils naturel de la dialectique et du populisme”. » Le Spectacle du Monde, octobre 2008 « Le Faurisson du Net. » Thierry Ardisson (Canal+ , 19 octobre 2013) « Soral s’adresse en son seul nom aux citoyens de bonne volonté qui essaient de comprendre quelque chose à tout ce “bordel” – terme “soralien”. En tee-shirt, sur un canapé, désinvolte et concentré, il explique la situation : l’actualité et le sens de l’histoire. Son passé témoigne de sa sensibilité d’artiste : plusieurs films, un roman. Mais également de son courage intellectuel, car son parcours politique correspond à la tentation de bien des inquiets. » Le Monde Diplomatique, octobre 2013 « Étonnante progression de cette lame de fond, qu’aucun discours politique n’a aujourd’hui les moyens intellectuels d’arrêter. » Actualité juive, novembre 2013 Alain Soral, à l’état-civil Alain Bonnet, est un essayiste franco-suisse, né le 2 octobre 1958 à Aix-les-Bains (Savoie). Il a deux sœurs. La première est née en 1956 et la seconde, née le 8 juin 1960, est l’actrice Agnès Soral qui s’est fait connaître dans Tchao Pantin en 1983. Cette agnostique milite à Aquaverde, qui aide les Indiens à lutter pour la protection de la forêt amazonienne. Alain Soral est catholique et s’est marié à l’église en décembre 1996. Dans les années 60, la famille est installée en région parisienne à Meudon-la-Forêt. Son père est un notaire savoyard à la double nationalité française et suisse, et sa mère, une femme au foyer. Leurs enfants sont scolarisés dans des établissements privés catholiques, au très prestigieux collège Stanislas pour Alain Soral. Au printemps 1973, son père est poursuivi par la justice et son étude s’effondre (il décédera en 1991, peu après la fin de son incarcération à la prison fédérale de Chêne- Bourg en Suisse). Le couple se sépare dans l’année et les enfants suivent leur mère à Grenoble, puis à Annemasse (cité des Merlettes). Après une adolescence difficile, Alain Soral arrête ses études secondaires en terminale, et remonte à Paris (1976) où il vivra de petits boulots (chantiers, convoyage…), tout en côtoyant la mouvance punk, avant d’être reçu aux Beaux- Arts. Il suivra parallèlement les cours de Cornélius Castoriadis à l’École des hautes études en sciences sociales tout en entamant une longue initiation à la boxe (il deviendra instructeur fédéral de boxe anglaise en 2004). À cette époque, sa sœur connaît le succès avec Tchao Pantin (cinq césars en 1983) et contribuera à « incruster » son frère dans le Tout-Paris mondain. Il se lie étroitement avec Éric Walter (devenu critique d’art sous le nom de Hector Obalk), dont les parents l’hébergeront un temps, et Alexandre Pasche. Les trois signeront un très amusant traité de sociologie urbaine, Les Mouvements de mode expliqués aux parents (Robert Laffont, 1984). Lancé dans ce milieu, il donne des cours à l’école Esmod, mais, à la suite d’une dépression, refusera un poste de planeur-stratégie dans une grande agence de publicité. Il sera même gardien au château de la Bosselette, près de Dieppe, puis dans un ermitage en Côte-d’Or (1987-1990). Période où il rédigera un premier roman poignant, Le Jour et la nuit ou la vie d’un vaurien (Calmann-Levy, 1991). Parallèlement, il fait quelques apparitions comme chroniqueur dans des émissions de télévision, réalise des spots publicitaires, des courts-métrages pour Canal+ et écrit des scénarios pour Agat Films. Ne se retrouvant dans aucun cadre classique, il rejoint le Parti communiste en 1990, et militera durant sept années à la cellule Paul Langevin. C’est dans ce cadre internationaliste qu’il part au Zimbabwe comme reporter. Chroniqueur au sulfureux Idiot international, il aspire déjà à une synthèse nationale-patriotique et participera, en mai 1993, avec Marc Cohen, Jean-Edern Hallier et l’ex-dirigeant de la Gauche prolétarienne (devenue depuis lors souverainiste) Jean-Paul Cruse à l’appel « Vers un front national » qui sera publié en « une » du journal. Comparable aux tentatives des néo-socialistes d’avant-guerre, ce texte propose « une politique autoritaire de redressement du pays », rassemblant « les gens de l’esprit contre les gens de la chose, la civilisation contre la marchandise – et la grandeur des nations contre la balkanisation du monde sous les ordres de Wall Street, du sionisme international, de la bourse de Francfort et des nains de Tokyo » et appelle à la constitution d’un « front » regroupant « Pasqua, Chevènement, les communistes et les ultra-nationalistes » pour « un violent sursaut de nationalisme, industriel et culturel ». Des convergences se créent, des rencontres se font, un débat s’instaure en dehors des clivages politiques traditionnels. C’en est trop. Dès le mois suivant, Didier Daeninckx dénonce les convergences « rouges-brunes », accusations qui seront reprises par Le Canard enchaîné, Libération et Le Monde. À peine naissant, le supposé « complot rouge-brun » est pratiquement étouffé dans l’œuf. Il faudra attendre quinze ans pour voir apparaître de nouvelles convergences. Après une tournée de conférences au Brésil sur la création de mode, il s’exile au Pays basque pour l’écriture de Sociologie du dragueur (Blanche, 1996), une commande de Franck Spengler (fils de Régine Deforges). Homme à femmes, ce séducteur quasi professionnel connaît son sujet avec « sept cents conquêtes au compteur ». Antiféministe, il poursuit sur sa lancée avec Vers la féminisation ? (1999), jouant au passage son propre rôle dans le film de Catherine Breillat Parfait Amour ! (1996). C’est à cette période qu’il devient « un bon client » des plateaux de télévision grâce à une bonne répartie et un sens certain de la formule lapidaire. On le verra dans les émissions de Christophe Dechavanne, Évelyne Thomas (émissions produites par son ami Jean-Luc Delarue), Thierry Ardisson (avec qui il partage un intérêt pour le révisionnisme historique et pour qui il a travaillé à l’époque d’Interview), ou encore chez Paul Wermus, qui le sollicitera pour des « duels » dans VSD. Après l’échec de son film Confession d’un dragueur (2000), lynché par la critique, cet agitateur d’idées réglera abruptement ses comptes avec l’intelligentsia de gauche dans Jusqu’où va-t-on descendre ? (2002). Écrit sous forme d’abécédaire, il dénonce, avec verve, les œillères partisanes, le conformisme petit-bourgeois de la gauche et le politiquement correct. Courageusement, il critique le comique Dieudonné M’Bala M’Bala, alors chantre de l’antiracisme et habitué des plateaux de télévision : « Me permettrais-je de supposer, en guise de chute, que si Dieudonné s’énerve sur le populo français, celui-là même qui en a fait une vedette de notre beau pays si peu raciste, en payant pour voir ses spectacles, c’est peut-être qu’il lui démange de montrer du doigt la communauté logiquement désignée par la revendication d’une plus juste représentation des “communautés visibles” ? Une “communauté invisible”, certes surreprésentée dans le show-biz en termes de quotas, mais à laquelle il doit aussi son doux statut de rigolo. » Il sera entendu par l’intéressé, et les deux hommes se rencontreront. Plus tard, Soral défendra Dieudonné et les deux artistes lieront leur trajectoire personnelle. Ses prises de position sur le communautarisme gay (« Qu’il soit réactionnaire de persécuter les pédés n’implique pas qu’il est progressiste de se faire enculer ») et la publication d’un livre du « barebacker » Erik Rémès entraînera le saccage des locaux de son éditeur par les activistes d’Act Up : « Nous exigeons que Franck Spengler interrompe la publication des livres haineux d’Erik Rémès et d’Alain Soral » (avril 2003), action qui intervient peu après la sortie de Socrate à Saint-Tropez (Blanche, 2003). Toujours engagé à gauche mais de moins en moins conformiste, dans un contexte de sortie d’un nouvel ouvrage, Misère du désir (2004), le « fils naturel de la dialectique et du populisme » entre au comité de soutien de la liste Euro-Palestine en vue des élections européennes de 2004. Son ami Dieudonné figure sur cette liste. En juin 2004, il est l’invité de Campus, l’émission de Guillaume Durand, en même temps que Bernard-Henri Lévy, qui exigera qu’Alain Soral soit décommandé, appelant le présentateur pendant la nuit. À l’été 2004, il donne une longue interview à Alain de Benoist dans la revue Éléments. Le 20 septembre 2004, dans l’émission Complément d’enquête (France 2) consacrée à l’affaire Dieudonné, Alain Soral (il dira avoir été piégé) déclare : « Quand, avec un français juif sioniste, tu commences à dire : Y’a peut-être des problèmes qui viennent de chez vous. Vous avez peut-être fait quelques erreurs. C’est pas systématiquement la faute de l’autre totalement, si personne ne peut vous blairer partout où vous mettez les pieds. Parce qu’en gros, c’est à peu près ça leur histoire, tu vois. Ça fait 2 500 ans que chaque fois qu’ils mettent les pieds quelque part, ils se font dérouiller. Tout de même faut se dire : c’est bizarre, c’est que tout le monde a toujours tort sauf eux. » Pour cette sortie historique, il sera condamné à 3 000 euros d’amende (aggravée en appel) pour complicité de provocation à la discrimination ou à la haine raciale. À la suite de la diffusion de l’émission, il reçoit des menaces et demande une protection policière. Il ne l’obtiendra pas et sera agressé la semaine suivante lors d’une dédicace dans la librairie Au pays de cocagne. Dieudonné viendra le soutenir (bien que l’agression soit filmée, la police n’identifiera pas les auteurs). Pierre Tévanian (présent sur Euro-Palestine, et signataire de l’Appel des indigènes de la République) prend alors position contre Soral, l’accusant de « racisme et de chauvinisme », ce qui entraîne la démission de Dieudonné en soutien à celui qui l’avait défendu après son sketch sur le colonialisme juif chez Marc-Olivier Fogiel en décembre 2003. Désormais victime d’une fatwa télévisuelle (cf. Tout le monde en parle du 11 décembre 2004), Soral se rapproche des milieux nationaux-populistes (il signera la pétition pour la libération de Michel Lajoye et apportera son soutien à Bruno Gollnisch poursuivi à Lyon à propos des chambres à gaz homicides). Il rejoint finalement, de façon officieuse, le Front national en 2005, y inspirant, en septembre 2006, le fameux discours de Valmy de Jean-Marie Le Pen, véritable tournant historique. Marine Le Pen dira avoir discuté une demi-douzaine de fois avec lui : « On a confronté nos idées et on est tombé d’accord sur la même ligne » (Libération, 20 novembre 2006), c’est-à-dire une ligne « nationale-républicaine », à distance du libéralisme reaganien d’un Jean-Marie Le Pen au début des années 80. C’est par son biais que Dieudonné effectuera un passage très remarqué à la Fête des BBR 2006 (par la suite, le président du FN deviendra le parrain de la fille du comique). Alter-nationaliste, en août 2006, il se rendra en Syrie et au Liban avec Thierry Meyssan, Dieudonné et Frédéric Chatillon. Il sera agressé, une nouvelle fois, dès son retour, le 13 septembre 2006. Il officialise son adhésion au Front national (parlant de « coming out »), le 1er décembre 2006, sur RMC, ce qui lui vaudra, le lendemain, d’être expulsé par la police de la journée de dédicace de l’Institut d’études politiques de Paris, sur demande de Richard Descoings, alors qu’il figurait parmi les invités. Après la présidentielle de 2007 où il aura tenté de mettre au centre du discours la question sociale, il expliquera : « Le Pen méritait la France, mais la France ne méritait pas Le Pen. » Il annonce qu’il votera Ségolène Royal au second tour. En novembre 2007, Jean-Marie Le Pen le nomme au comité central du FN, chargé de la question sociale et du problème des banlieues. Il quittera finalement le parti avec fracas (cf. sa lettre ouverte « Marine m’a tuer »), le 1er février 2009, après la désignation de Jean-Michel Dubois comme tête de liste aux élections européennes en Île-de-France de 2009, alors qu’il pensait être « le meilleur pour porter la contradiction aux bobos ». Il apportera toutefois son soutien à Marine Le Pen (RMC, 9 février 2009) : « J’ai quitté le Front national pour défendre des idées qui sont, par ailleurs, exactement celles que vient de défendre Marine Le Pen à l’antenne et je la soutiens inconditionnellement dans ce combat ! » À ces mêmes européennes de 2009, il intègre finalement la Liste antisioniste (à la 5e place) initiée par le Parti antisioniste et Dieudonné en Île-de-France (1,3 %). En vue de la présidentielle de 2012, il appellera au vote Front national. Entre-temps, en 2007, il avait ouvert à Paris, avec Serge Ayoub (avec qui il prendra ses distances) et Frédéric Chatillon, le bar associatif Le Local, et, en mars de la même année, lance le mouvement Égalité & Réconciliation, à forte connotation sociale et largement ouvert à la jeunesse issue de l’immigration maghrébine et sub-saharienne. E&R espère en un rapprochement transversal des forces patriotiques antilibérales et des forces progressistes anticapitalistes afin de faire sauter les verrous mis en place par le système. À la première université d’été, outre Jean Robin, on notera la présence de Christian Bouchet, de Farid Smahi et de Jean-Marie Le Pen. L’association se revendique « nationaliste de gauche » et adopte pour slogan « Gauche du travail, droite des valeurs ». Égalité & Réconciliation ambitionne de contribuer à la structuration (au moins idéologique) d’une classe supérieure maghrébine patriote. Le Théâtre de la Main d’Or (propriété de Dieudonné) deviendra le point de ralliement de l’association à la fin de l’année 2008. Il appuie le lancement du bi-mensuel Flash, avant de s’en éloigner pour divergences idéologiques. Surtout, Alain Soral comprend qu’Internet (avec ses réseaux sociaux), nouveau média mobilisant la jeunesse, permet d’échapper au boycott des médias du système et du capital et de s’ouvrir à de nouveaux publics non-politisés mais révoltés par la crise morale, économique et financière. Au travers de multiples vidéos figurant, ou réalisées par ses équipes, sur son site, et en particulier sa longue vidéo mensuelle de commentaire de l’actualité avec une vision critique de la société (au travers d’une grille d’analyse marxiste, associée aux idéologies souverainistes et nationalistes, soit une espèce de fusion entre Marx et Maurras, Proudhon et Barrès), ce « républicain alter-nationaliste » acquiert une véritable aura et une influence majeure auprès des couches populaires, notamment issues de l’immigration (plus de 200 000 vues pour chaque vidéo du mois). Comme le dit Le Spectacle du monde (septembre 2008) : « L’homme a le sens de la formule lapidaire, concise, rythmée et naturellement inscrite dans le sophisme et l’outrance. Délires du féminisme, individualisme consumériste, pacifisme béat, destructions de l’État-nation dilué dans l’Euroland, toutes les cibles de la bienpensance sont bonnes pour ce franc-tireur des lettres qui fait feu de tout bois et prend un plaisir évident à dégonfler les baudruches d’une pensée lénifiée, et à dynamiter les fausses valeurs. » Par le biais d’extraits télévisuels retournés et un discours imagé mais solidement structuré, il dénonce, mois après mois, l’envers de la « société du spectacle » chère à Guy Debord et le politiquement correct, n’hésitant jamais à s’attaquer aux groupes de pression mercantiles, financiers, cosmopolites, communautaires ou faussement antiracistes. Ce qui lui vaut évidemment l’animosité de l’essentiel de la communauté juive. Continuant son travail d’écriture, il synthétise sa vision antimondialiste, antiaméricaine et antisioniste dans Comprendre l’empire (Blanche), un véritable succès d’édition – en dépit d’un boycott total des médias du système – avec plus de 72 000 exemplaires vendus à ce jour. En mars 2011, le champion poids lourd du politiquement incorrect fonde sa propre structure, Culture pour tous, société qui chapeaute Kontre Kulture (maison d’édition), Sanguis Terrae (vente de vin), Instinct de Survie (qui vend du matériel survivaliste et organise des stages, en partenariat avec Piero San Giorgio, auteur de Survivre à l’effondrement économique) et Au bon sens (vente par des circuits cours de produits bio). D’autres branches devraient suivre prochainement. Alain Soral, agitateur d’idées depuis 1976… Emmanuel Ratier Faits & Documents

La critique de l'écrivain Pierre Jovanovic sur l'essai de Alain Soral "Comprendre l'Empire. Demain la gouvernance globale où la révolte des nations" "L'idée que Soral a clairement formalisée je l'aie vue, touchée et manipulée en écrivant 777 ou la Chute de Wall Street et du Vatican. Comprendre l'Empire et 777 arrivent à la même conclusion, mais en empruntant deux chemins totalement différents. Soral est passé par Paris, Moscou et Washington, et moi par New York, Patmos et Rome. Vous ne serez donc pas surpris d'apprendre que Comprendre l'Empire m'a électrocuté le cerveau par la clarté des informations, des évidences pourtant étalées chaque jour sous nos yeux. Alain Soral est clair, factuel, concis; il passe l'Histoire des idées au tamis, et il ne reste plus que 0 et 1, à savoir deux mondes, deux systèmes qui se livrent en ce moment même un combat mortel. D'un côté le monde de l'Ancien Testament et de l'autre le monde du Nouveau Testament. Autrement dit, le monde d'Abraham contre celui du Christ, de la Vierge et des Anges. Alain Soral est l'un des intellectuels les plus intéressants, voire LE plus intéressant en France actuellement. A côté de lui, les idées et les penseurs gauche-caviar des terrasses de Saint Germain passent pour des travestis de la Cage aux Folles. Soral c'est une guillotine qui s'est mise à écrire sa rage avec la seule encre qu'elle connaît, le sang de tous ceux qui ont essayé de résister à l'Empire depuis 90 ans". Ouvrage "Comprendre l'Empire" disponible sur Kontre Kulture, Amazon, la Fnac.

" Qui est Alain Soral ? Par Emmanuel Ratier " Un mec bien qui en fait chier plein de cons ! :

" Qui est Alain Soral ? Par Emmanuel Ratier " Un mec bien qui en fait chier plein de cons ! : Hier les neuneux de la populace aux ordres crachaient sur le FN de JM L Pen. Aujourd’hui ils crachent sur A.Soral au travers de D.M'bala. Aujourd'hui une bonne partie de ces mêmes neuneux votent ou envisagent de voter FN et changent un peu de discours sur son président d'honneur. On verra dans quelques temps où vont aller les neuneux. Faut toujours du temps pour que le français moyen connecte le file bleu sur le bouton bleu et le file rouge sur le bouton rouge.

Soral et Dieudonné sont des épouvantails nauséabonds montrés du doigt par des bouffons. Détournons nous de cette manipulation et ouvrons nos yeux vers des actions et des pensées plus utiles pour le genre humain que ce cirque.

Soral et Dieudonné sont des épouvantails nauséabonds montrés du doigt par des bouffons. Détournons nous de cette manipulation et ouvrons nos yeux vers des actions et des pensées plus utiles pour le genre humain que ce cirque. Exemples de "pensées et d'actions" plus utiles que celles de ceux que vous qualifiez d'épouvantails nauséabonds, en l'occurence Soral?

Soral et Dieudonné sont des épouvantails nauséabonds montrés du doigt par des bouffons. Détournons nous de cette manipulation et ouvrons nos yeux vers des actions et des pensées plus utiles pour le genre humain que ce cirque. Exemples de "pensées et d'actions" plus utiles que celles de ceux que vous qualifiez d'épouvantails nauséabonds, en l'occurence Soral? Ces types (Soral et tous les autres) sont des baratineurs qui usent d'une influence médiatique (et aujourd'hui du web) pour raconter tout et n'importe quoi sur une société qu'ils ne connaissent même pas et que d'ailleurs en tant qu'élite auto proclamée, ils méprisent. C'est de la même veine que béhachelle, fienkeltruc, meyssan et autres zémour, j'en passe et des meilleurs. Il y en a marre de ces gens là.

" Qui est Alain Soral ? Par Emmanuel Ratier " Un mec bien qui en fait chier plein de cons ! : Hier les neuneux de la populace aux ordres crachaient sur le FN de JM L Pen. Aujourd’hui ils crachent sur A.Soral au travers de D.M'bala. Aujourd'hui une bonne partie de ces mêmes neuneux votent ou envisagent de voter FN et changent un peu de discours sur son président d'honneur. On verra dans quelques temps où vont aller les neuneux. Faut toujours du temps pour que le français moyen connecte le file bleu sur le bouton bleu et le file rouge sur le bouton rouge. C'est qui qui a fait sauter le pont ??? :

Soral et Dieudonné sont des épouvantails nauséabonds montrés du doigt par des bouffons. Détournons nous de cette manipulation et ouvrons nos yeux vers des actions et des pensées plus utiles pour le genre humain que ce cirque. Le cirque camoufle les dompteurs et les fauves qui laissent la tente montée ... leurs enfants vont devoir assumer le bordel grandissant un peu plus chaque jours ...

une biographie bien complaisante... où sont passés les 3 millions d'euros reçus de l'Iran?

Soral et Dieudonné sont des épouvantails nauséabonds montrés du doigt par des bouffons. Détournons nous de cette manipulation et ouvrons nos yeux vers des actions et des pensées plus utiles pour le genre humain que ce cirque. Exemples de "pensées et d'actions" plus utiles que celles de ceux que vous qualifiez d'épouvantails nauséabonds, en l'occurence Soral? Ces types (Soral et tous les autres) sont des baratineurs qui usent d'une influence médiatique (et aujourd'hui du web) pour raconter tout et n'importe quoi sur une société qu'ils ne connaissent même pas et que d'ailleurs en tant qu'élite auto proclamée, ils méprisent. C'est de la même veine que béhachelle, fienkeltruc, meyssan et autres zémour, j'en passe et des meilleurs. Il y en a marre de ces gens là. Comme tous les politiciens qui nous gouvernent depuis la fin de la ww2. A la différence près c'est que Soral n'a aucune l'influence médiatique télévisuelle qui est la plus puissante arme de propagande étant donné qu'il en est interdit et qu'il ne baisse pas son pantalon faisant passer sa carrière avant ce qu'il estime être l’intérêt de la société. C'est pour cela qu'un Soral est davantage crédible au niveau de sa sincérité que ces clowns de l'UMPS. Comme JM Le Pen autrefois.

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Qui est Alain Soral ?

jipi

Nous n'avons pas de point de désaccord réel.

Mes propos visaient seulement ceux qui prétendent (Observateur, pour être clair) qu'il y a une quelconque base scientifique reconnue et qu'il mérite le nom de sociologue.

On peut par ailleurs ne pas être sociologue et dire des choses importantes.

Mais dire qu'il faut le respecter parce qu'on lui donne du "sociologue", là, y a vraiment de l'abus.

Ce garçon n'a pas fait d'études en sciences sociales, il lui plaît de les ignorer parce que c'est "Le Système" et qu'il se croit plus fort que celui-ci.

Personnellement, je ne le trouve pas plus fort, on peut en discuter.

Mais dire qu'il a été mis au ban seulement parce que les sociologues sont des nains et des vendus, on ne peut pas le laisser dire.

Raconter des conneries n'est pas un motif de bannissement.

Déranger, oui.

Brocarder le "crime des lumières" ainsi que l'appelle Dieudonné, oui !

Quand Dieudonné se foutait de la gueule des jeunes de banlieue, en les faisant passer pour des abrutis finis, la classe politique entière riait aux éclats. Le jour où il a mis un sioniste (EDIT) en scène, elle l'a mis à mort médiatiquement (encore qu'il semble encore plus présent aujourd'hui.)

Quant à Soral, il avait ses entrées autrefois sur les plateaux, et tout imposteur en sociologie qu'il fût, ses interventions en ont laissé plus d'un sans réponse.

courtial

Ok, donc, l'argument massue pour contrer Soral c'est un type qui a dit que Soral lui aurait dit... Sachant que c'est totalement l'inverse de ce que racontent ses vidéos.

Mais non, ce n'est pas l'inverse.

Et si vous pouvez formuler quelque chose d'intelligible sur l'ensemble de ses vidéos, je vous dis "chapeau".

Il répète certes que quand il dit "sioniste", il vise uniquement la superstructure des élites etc.

Mais tout cela ne tient pas une minute face à la réalité effective.

Moi, j'accepterais volontiers cette distinction et je croirais à sa sincérité s'il ne faisait pas, DANS SES VIDEOS AUSSI, juste celles que vous ne citez pas, tout à fait autre chose.

Juste deux points :

- Dès qu'un adversaire Juif pointe le bout de l'oreille, le mec n'est plus un individu qui s'oppose à lui, mais seulement un Membre de la Communauté, peu importe qu'il soit réputé par celle-ci comme de la vermine, il s'en fout, il ne voit qu'un Juif.

Regardez toutes ses prises de position contre Zemmour : c'est pas un type système, il n'est pas de gauche, ni européiste, il est à fond pour la domination masculine, que des trucs qui pourraient lui plaire. Les seules divergences qu'il lui trouve, il les impute uniquement au fait qu'il est Juif. C'est un pote de Jakubovich, même s'ils se détestent et n'ont rien de commun, puisqu'ils sont Juifs tous les deux ; ils ne peuvent que penser la même chose. On ne pense pas avec sa tête, on pense avec sa race. C'est ça, la "philosophie", la "sociologie" de Soral.

Par exemple, Zemmour dit - ce qui est rigoureusement exact, Zemmour dit le plus souvent des choses exactes, à mon avis, ce qu'il en fait est une autre affaire - que les média principaux français n'aiment pas trop Israël, il ne dit cela que parce qu'il est Juif, le mec, son analyse ne peut pas être dictée par autre chose que son appartenance. Il n'y a aucun propos qui ne puisse être ramené à l'appartenance ethnique (décidée par Soral) de celui qui le soutient.

Pour ce qui est de la sociologie et de ses concepts fondamentaux, Boudon avait parlé d'individualisme méthodologique, Soral, c'est le racisme méthodologique.

- Par ailleurs, dans les moments "déboutonnés", Soral fait preuve de considérations racistes, et ceci ouvertement.

J'en ai cité déjà deux ou trois, que j'ai analysés, sans recevoir de contre-analyse, ce qui ne prouve pas que j'ai raison, mais seulement explique que je considère comme une guigne les propos de ceux qui me disent que je n'analyse rien et que je me contente d'insulter, alors qu'eux-mêmes n'ont rien dit, rien pensé, rien expliqué et se contentent d'accuser. C'est anti-système, c'est tout, pour l'analyse.

En particulier, ,nous avions parlé de cette déclaration de Soral comme quoi il n'aime pas la pleurnicherie, ce en quoi il voit une attitude essentiellement juive. Pas sioniste, hein, juive (à vrai dire, je ne crois pas que Tsahal soit vraiment dans la pleurnicherie quand ils tabassent un enfant palestinien). Mais le "pleurnicher" lui semblait d'essence juive, d'après lui c'est pour cela que les films holywoodiens sont pleurnichards, ce qui lui répugne, parce que lui, il est un gars du Nord, un flamand (on ne sait ce que doivent faire les Juifs belges ou néerlandais, chialer un coup pour lui faire plaisir), etc.

Bon je ne continue pas dans cette littérature débectante : Soral est un raciste essentialiste, ses protestations d'une approche "sociologique" ne sont que du vent, il les dément lui-même dès qu'il veut exprimer réellement sa pensée, ou plutôt quand il cède aux bouffées racistes que l'on répute ici comme une pensée.

jabar

Courtial, vous et Jipi je crois que vous parlez de 2 choses différentes.

Courtial, vous parlez de la valeur du contenu des propos de Soral,

Jipi, vous parlez du 2 poids 2 mesures quant à la liberté d'expression n'est-ce pas ?

Courtial, que pensez-vous justement de ce 2 poids 2 mesures ? Vous critiquez les propos essentialistes de Soral sur les juifs, soit, pourquoi pas. Mais l'essentialisme accepté sur les plateaux de télé, à l'égard des noirs, des musulmans, des "jeunes de banlieue", incarné par des gens comme Finkelkrault, Taguieff, Rioufol etc, c'est plus acceptable ?

courtial

Je ne pense pas que Finkie essentialise. Taguieff, je ne l'ai pas entendu depuis longtemps, peut-être, je ne sais pas. Rioufol = rien, ça ne m'intéresse pas.

Pour ce qui est de mon cas, on me reproche de ne pas entrer dans le contenu, de me contenter de trucs vagues inconsistants pas pensés, que je n'ai pas lu, pas vu, pas entendu.

Il me semble donc urgent de montrer que je m'intéresse au contenu, et pas seulement à la rhétorique, que j'ai un peu lu, vu et entendu et me suis informé de la teneur des propos tenus.

Je ne peux pas être fautif de tout à la fois.

Pour le cas qui nous intéresse, Finkie est le plus intéressant. Il a dit en gros qu'il était d'accord avec Zemmour, mais qu'il le voudrait plus sioniste (je résume).

A mon avis, Zemmour se sent plus à l'aise pour taper sur les Nègres et les Arabes en n'étant pas trop sioniste (ce qui ne semble pas lui demander beaucoup d'effort, il n'a pas les relations avec Israël qu'a Finkie, pour toutes sortes de raisons, je pourrais vous en donner une ou deux plus tard si ça vous intéresse). Finkie est plus friable et attaquable par des Soral ou autres formes de choléra pulmonaire parce qu'il est sioniste.

jipi

Ok, donc, l'argument massue pour contrer Soral c'est un type qui a dit que Soral lui aurait dit... Sachant que c'est totalement l'inverse de ce que racontent ses vidéos.

Mais non, ce n'est pas l'inverse.

Et si vous pouvez formuler quelque chose d'intelligible sur l'ensemble de ses vidéos, je vous dis "chapeau".

Il répète certes que quand il dit "sioniste", il vise uniquement la superstructure des élites etc.

Mais tout cela ne tient pas une minute face à la réalité effective.

Moi, j'accepterais volontiers cette distinction et je croirais à sa sincérité s'il ne faisait pas, DANS SES VIDEOS AUSSI, juste celles que vous ne citez pas, tout à fait autre chose.

Juste deux points :

- Par ailleurs, dans les moments "déboutonnés", Soral fait preuve de considérations racistes, et ceci ouvertement.

La seule intervention de février à Bordeaux remet les pendules à l'heure sur la plupart des sujets que tu évoques (Certes, elle dure plus de deux heures, tronçonnée en chapitres auxquels tu ne comprends rien sur Youtube, tellement il y en a de différents.)

- Soral discute avec Zemmour. Il lui envoie des bouquins de référence dont Zemmour fait ce qu'il veut. Soral le considère comme un rebelle du système, qu'on ne pourra pas blacklister en raison de son appartenance à la "communauté organisée".

- Soral n'est pas du Nord, il est savoyard.

- Dans cette intervention, il indique précisément que les "juifs du quotidien" ne doivent pas être amalgamés aux représentants du système qui les prend en otage. (J'ai particulièrement aimé à ce sujet sa saillie concernant l'UEJF, L'union des étudiants juifs de France, qui ne représente ni les étudiants, ni les juifs, ni la France.)

- Soral n'est pas raciste, anime des cours de boxe où sont présents une majorité de noirs et d'arabes, se targue de les sortir de la posture de victimes auto-proclamées où SOS-racisme les a cantonnés, et se réjouit de les voir scander à nouveau la Marseillaise.

- Tu dis qu'il traite de juif tout opposant à ses vues. Soral fait le même constat : Un juif mis en examen pour le délit qu'il aurait commis est un individu, tandis que l'agression d'un juif atteint toute la communauté.

etc. etc.

Sinon, j'ai pas suivi tes analyses, mais n'hésite pas à mettre des liens, ça va m'intéresser...

jipi

Courtial, vous et Jipi je crois que vous parlez de 2 choses différentes.

Courtial, vous parlez de la valeur du contenu des propos de Soral,

Jipi, vous parlez du 2 poids 2 mesures quant à la liberté d'expression n'est-ce pas ?

Ah, ben moi aussi je parle de la valeur du contenu des propos de Soral:

Même si je n'adhère pas à la totalité de son discours, je trouve sa trame très bien structurée et pertinente.

Et oui, pour moi, il y a deux poids et deux mesures, ça m'apparaît comme une évidence.

courtial

Soral peut être savoyard ou ce qu'il veut, il a dit qu'il était un gars du Nord. Il s'est comparé aux cheminots (lui qui n'a jamais rien foutu, quelle farce!) et a rédigé un très beau couplet là-dessus, je vous le retrouverai quand 'jaurais un moment.

Je m'en fous : cette identité est purement imaginaire, de toute façon , aussi que ces ascendances celtes et toutes les autres absurdités qu'il peut énoncer.

S'il lisait autre chose que la sous sociologie marxo-freudienne, il aurait pu voir un vieux bouquin de Finkie, qui s'intitule Le Juif imaginaire et ça le rendrait peut-être un peu moins ignorant.

Que Soral fasse de la boxe, c'est bien. Qu'en face de Zemmour, il renonce aux allusions et objurgations obtuses qu'il a tenues ailleurs, cela prouve seulement que dans le combat face à face... eh ben, il préfère la boxe à la confrontation intellectuelle. En face à face, il se déballonne devant Zemmour, qu'il n'a fait qu'insulter, mais de loin : ce type peut taper aussi dire qu'il veut à la boxe, en réalité, c'est qu'une gonzesse, point final.

Quand vous dîtes que Zemmour se contente de "faire ce qu'il veut" de ce que lui cite Soral, vous voulez dire qu'il lui met sa race ? "Faire ce qu'il veut", cela veut sans doute dire que vous ne comprenez pas. Ce qui n'est pas ce que pense Soral ou ce qui vous échappe doit ressembler en effet à "faire ce qu'on veut". On lit aussi plus haut que la sociologie, c'est "faire ce qu'on veut", raconter ses histoires de cul, c'est de la "sociologie" et on peut "faire ce qu'on veut" en trouvant que c'est de la sociologie ou en objectant que ce n'en est pas. Tout est une histoire de goût, en fait, il n'y a que faire ce qu'on veut.

Mais c'est pas comme ça que ça fonctionne, en tout cas pas quand on n'est pas chez Soral.

observateur

Mes propos visaient seulement ceux qui prétendent (Observateur, pour être clair) qu'il y a une quelconque base scientifique reconnue et qu'il mérite le nom de sociologue.....

......dire qu'il faut le respecter parce qu'on lui donne du "sociologue", là, y a vraiment de l'abus.

.........

Ce garçon n'a pas fait d'études en sciences sociales, il lui plaît de les ignorer parce que c'est "Le Système" et qu'il se croit plus fort que celui-ci.

.

Où ai je prétendu qu'il a une base scientifique et fait des études, pour être "sociologue"???? Ou ai je prétendu "qu'il faut le respecter parce qu'on lui donne du sociologue"?????

Je respecte Soral pour la pertinence de certaines de ses analyses sur différents sujets, pour son courage à défendre ses idées même si cela lui coute, pour avoir réussit le début d'une certaine réconciliation là où TOUS les politiques ont échoué, réconciliation vantée d'ailleurs officiellement mais non désirée par les pouvoirs successifs.

Les "sociologues" reconnus car diplômés, les "philosophes" officiels (philosophes reconnus par qui et quels diplômes à part proclamés philosophes par les système?), les politiciens qui ont bac + 15 et toutes les huiles bardés de diplômes sont tellement compétents que leurs discours sont la plupart du temps erronés, convenus, formatés et que l'état de la nation ne va pas en s'arrangeant. Ce n'est pas le diplôme qui fait la qualité de l'homme et de ses analyses, c'est la capacité de son exercice cérébrale. Si l'assimilation de ce qu'on apprend, et que l'on peut aussi classer comme culture, était synonyme d’intelligence, ça se saurait depuis longtemps.

polomnic

De toute manière, que ce soient les philosophes ou les sociologues académiques actuels, aucun n'est capable de fournir une pensée qui soit un tant soit peu capable de résoudre ou ne serait ce qu'appréhender les problématiques présentes et futures, ni même d'influencer en quoi que ce soit l'évolution du monde moderne qui n'a plus pour seul ressort que l'Hybris de notre société matérialiste et consumériste.

Le monde est en roue libre, et nos philosophes ne font qu'accompagner le mouvement.

laoshi

Polomnic écrit :

C'est un peu parce que j'ai ce point de vue que je propose une rubrique " anticipation" , mais peu de forumeurs se risquent à " appréhender les problématiques présentes et futures"

Une révolution des esprits est indispensable mais l' " etablishment " ( journalistes, politiques, banquiers, intellos patentés ...) n'y a intérêt.

observateur

Une révolution des esprits est indispensable mais l' " etablishment " ( journalistes, politiques, banquiers, intellos patentés ...) n'y a intérêt.

Cette révolution là est en marche.

[supprimé]

Là où Soral est le plus "dur" (au sens particulièrement con) à mon sens, c'est à l'encontre des roms (des vermines parasitaires, pas de distinctions entre le bon et le mauvais rom, comme il le fait en parlant des personnes de confessions juives par exemples), des gays (tous plus ou moins suspect d'attouchement sur mineur), des ukrainiennes (toutes des putes).

Ces critiques sont beaucoup moins nuancées sur ces 3 "communautés", il ne prend pas de gants, et n'a d'ailleurs pas besoin d'en prendre. Il ne sera bien sur, jamais inquiété là dessus.

Le seul problème, évidemment, c'est l'antisémitisme.

Où comment valider ses thèses du deux poids deux mesures par l'exemple.

Un peu comme quand Dieudonné fait un sketch sur les pygmés où pendant 20 minutes, il peut sans soucis les comparer à des insectes ou de la vermine dont on se débarrasse avec du Baygon.

Là, bien sur, on a aucun mal à en détacher le second degré.

lu-ci-de

Vous nous cassez les roubignoles avec votre sempiternel " wacisme"...

Ce qui rapproche les gens : c'est surtout la sympathie qui passe ou ne passe pas, entre eux...

observateur

Là où Soral est le plus "dur" (au sens particulièrement con) à mon sens, c'est à l'encontre des roms (des vermines parasitaires, pas de distinctions entre le bon et le mauvais rom, comme il le fait en parlant des personnes de confessions juives par exemples), des gays (tous plus ou moins suspect d'attouchement sur mineur), des ukrainiennes (toutes des putes).

Ces critiques sont beaucoup moins nuancées sur ces 3 "communautés", il ne prend pas de gants, et n'a d'ailleurs pas besoin d'en prendre. Il ne sera bien sur, jamais inquiété là dessus.

Le seul problème, évidemment, c'est l'antisémitisme.

Où comment valider ses thèses du deux poids deux mesures par l'exemple.

Un peu comme quand Dieudonné fait un sketch sur les pygmés où pendant 20 minutes, il peut sans soucis les comparer à des insectes ou de la vermine dont on se débarrasse avec du Baygon.

Là, bien sur, on a aucun mal à en détacher le second degré.

Donc Soral serait aussi homophobe, ukrainiophobe et Romophobe? Et Dieudonné Pygmophobe, christianophobe et même islamophobe dans certains de ces scketch? Et cela n'émeut pas grand monde en effet. Sauf quand ces deux personnalités égratignent l'intouchable.

Il y a donc bien deux poids et deux mesures dans la diabolisation et la persécution du système envers les "insoumis".

ambrosia

Soral n'aurait jamais eu autant de succés , ni d'influence si nos élites ne se foutaient pas intégralement de notre gueule depuis des décénnies .

Devant ce merdier , son discours et critique font mouche et s'insinuent de plus en plus dans la société .

De plus , son site est trés performant .

christophe

M. Soral ( un petit conseil) a bonne entendeur

M. Soral pour anéantir toute cette caste politique je mit prendrais par des petits détails lancées en l'air intentionnellement pour quelques-uns les attrapes pour accorder l'intention que je leur porte.

Ensuite par l'écriture et mes amis je construirais une stratégie par le biais de spectacles et d'audition publique sous-entendant une discussion politique qui s'entent pour les entendeurs, mais j'oublie pas de mettre des interrogations sur une religion.

Après cela je réfléchis plus sérieusement à faire de la politique, mais pour cela il me faut de l'aide et du soutien, de mais amis et du public, pour cela je conçois ( égalité et conciliation), cela marche avec une adhérence qui m'oblige à respecter mes fans devenu adhérent, mais un cas de figure que je dois leur faire comprendre et que l'argent de leurs adhérences me permet de financer mon projet futur.

Malheureusement plus que je réfléchis et plus je vois que cela et difficile de faire de la politique, et un jour je lis l'histoire d'un homme qui me dit que cette guerre peut être gagnée non par l’agressivité, mais par les jeux de la politique, car cette question que je me pose est combien de personne je pourrais avoir lors d'une élection présidentielle, tout en réfléchissant et en faisant un petit calcul d'environ, à peu près 600 mille personnes, mais, la sais le conseil qui vous parle Mr Soral en France il y a 15 millions de pauvres, qui seront ravis de vous suivre ainsi que d'autres mouvement populaire si vous êtes ce qu'ils veulent, mais pour ça vous devez avoir le programme qui fera ouvrir aux citoyens les avantages réalistes, ainsi que le pacifisme envers votre obscurité sur les Juifs, car cela doit être caché en attendant.

Cordialement Raspoutine.

observateur

Soral n'aurait jamais eu autant de succés , ni d'influence si nos élites ne se foutaient pas intégralement de notre gueule depuis des décénnies .

Devant ce merdier , son discours fait mouche et s'insinue de plus en plus dans la société .

Absolument. Soral dénonce toutes les impostures politiciennes, les magouilles nationales et internationales, le totalitarisme de l'Empire US et des valets européens. Alors forcément, ça dérange et déplait aux puissants dont les peuples commencent à échapper à leurs influences.

jipi

Soral peut être savoyard ou ce qu'il veut, il a dit qu'il était un gars du Nord. Il s'est comparé aux cheminots (lui qui n'a jamais rien foutu, quelle farce!) et a rédigé un très beau couplet là-dessus, je vous le retrouverai quand 'jaurais un moment.

Je m'en fous : cette identité est purement imaginaire, de toute façon , aussi que ces ascendances celtes et toutes les autres absurdités qu'il peut énoncer.

L'un des problèmes qu'il soulève précisément. Il se trouve constamment attaqué par des fils et petit-fils de déportés, (ou autoproclamés tels, comme par exemple Frédéric Haziza), qui n'ont jamais eu à souffrir de quoi que ce soit.

Si l'on comparait les enfances d'Arno Klarsfeld et d'Alain Soral, je ne suis pas certain que c'est le plus sioniste des deux qui a été le plus malheureux !

Que Soral fasse de la boxe, c'est bien. Qu'en face de Zemmour, il renonce aux allusions et objurgations obtuses qu'il a tenues ailleurs, cela prouve seulement que dans le combat face à face... eh ben, il préfère la boxe à la confrontation intellectuelle. En face à face, il se déballonne devant Zemmour, qu'il n'a fait qu'insulter, mais de loin : ce type peut taper aussi dire qu'il veut à la boxe, en réalité, c'est qu'une gonzesse, point final.

Quand vous dîtes que Zemmour se contente de "faire ce qu'il veut" de ce que lui cite Soral, vous voulez dire qu'il lui met sa race ? "Faire ce qu'il veut", cela veut sans doute dire que vous ne comprenez pas. Ce qui n'est pas ce que pense Soral ou ce qui vous échappe doit ressembler en effet à "faire ce qu'on veut". On lit aussi plus haut que la sociologie, c'est "faire ce qu'on veut", raconter ses histoires de cul, c'est de la "sociologie" et on peut "faire ce qu'on veut" en trouvant que c'est de la sociologie ou en objectant que ce n'en est pas. Tout est une histoire de goût, en fait, il n'y a que faire ce qu'on veut.

Mais c'est pas comme ça que ça fonctionne, en tout cas pas quand on n'est pas chez Soral.

Non, "Zemmour en fait ce qu'il veut" signifie que Soral ne lui a pas demandé de comptes à propos des livres qu'il lui a envoyés. (Encore une fois, c'est dans la vidéo de février...)

Et puis c'est marrant de vouloir opposer Zemmour à Soral en souhaitant que ce dernier se prenne une taule. Non seulement le seul espace médiatique dans lequel ils aient pu se retrouver reste l'immonde couverture du nouvel-obs, mais de plus, celui qui ouvre le dialogue en l'espèce est clairement Soral ! Et par-dessus le marché, je ne suis pas du tout persuadé que leurs idées divergent à ce point.

agri-info-intox

le site d' Alain Soral , E et R ou égalité et réconciliation, classé 1er des blogs politiques par ebuzzing http://labs.ebuzzing.fr/top-blogs/sourc ... n.fr-b7qdt

observateur

le site d' Alain Soral , E et R ou égalité et réconciliation, classé 1er des blogs politiques par ebuzzing http://labs.ebuzzing.fr/top-blogs/sourc ... n.fr-b7qdt

A part ça Soral n'a "aucune importance", "aucun intérêt", "ne dit que des conneries" qui n’intéresse personne, n'est qu'une "racaille"...

Voilà de quoi rendre encore plus haineux les guignols aux ordres, ici et ailleurs, dont la principale activité est de cracher leur haine et leur jalousie sur les libres penseurs. Pas de bol.

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