- Je prône un choc de simplification! - 9 septembre 2012, soit quatre mois après son élection, le chef de l'Etat précise son objectif dans le temps. «Nous devons inverser la courbe du chômage d'ici un an», Trois mois plus tard, à l'occasion des vœux présidentiels, il se donne un peu d'air en repoussant l'échéance à fin 2013. - 14 juillet 2013 «La reprise, elle est là». Pathétique...

Je connaissais le déni de grossesse , aujourd'hui grâce aux socialistes j'ai appris le déni de chômage

Moi je vois surtout le déni de courage Et cela un peu partout dans la fonction publique et parmi les Politiques D'où notre déclin.

En tout cas on n'est pas dans le déni de bouffonerie avec cette clique. Il ne se passe pas une semaine sans que l'un ou l'autre des membres de ce gouvernement ne se ridiculise à commencer par le taulier en personne.

Casser le thermomètre des " problèmes", voila un solution ! Prendre les français pour des cons a longueur d années pendant su on s empiffre a l elysée et dans les ministères...

- 14 juillet 2013 «La reprise, elle est là». Pathétique... Oui, pathétique, comme Sarkozy qui juste avant les élections de 2012 nous disait lui aussi que la crise était terminée. Mais je sais ce que vous allez répondre. "Oui la crise était terminée avant le 22 avril 2012, c'est Hollande qui a relancé la crise dès le 6 Mai 2012 ".

Oui, pathétique, comme Sarkozy qui juste avant les élections de 2012 nous disait lui aussi que la crise était terminée. Mais je sais ce que vous allez répondre. "Oui la crise était terminée avant le 22 avril 2012, c'est Hollande qui a relancé la crise dès le 6 Mai 2012 ". Sarkozy avait dit que la crise financière était terminée (ce qui s'est avéré exact) et que la reprise devrait pouvoir suivre, ce qui n'est pas faux puisqu'il y a eu effectivement une timide reprise en 2013 qui devrait s’accentuer en 2014. mais alors que sous Sarkozy, la croissance de la France était globalement au dessus de la moyenne européenne, cela est de moins en moins le cas aujourd'hui. on risque de passer à coté ou de rester en rade...

De toute manière, historiquement et structurellement, la France subit moins et souvent plus tard les crises que les autres pays, mais la reprise est généralement aussi plus tardive et surtout moindre. Ce qui donne à LT un trend moins élevé qu'ailleurs. Ce phénomène s'explique par le fait qu'historiquement la croissance était tirée par la demande extérieure qui favorisait la demande domestique et l'investissement. Mais "grâce" à l'euro, la balance commerciale (même sans les hydrocarbures) étant négative, le scénario risque d'être encore plus sombre. Et comme nos "pieds nickelés de l'UMPS ont flingués le bâtiment et que les déficits budgétaires chroniques interdisent de lords investissements publics, je me demande d'où peut venir la croissance interne. Mais il ne faut pas désespérer, ils peuvent faire pire. Par exemple en voulant relancer la consommation des "classes popppppulaires" ce qui accroîtra les importations et détériorera encore plus la balance commerciale.

De toute manière, historiquement et structurellement, la France subit moins et souvent plus tard les crises que les autres pays, . Logique. • en 1929: France essentiellement agricole • en 2008 france a moitié de manufacturing que l'allemagne donc subit deux fois moins la crise Avec qques chiffres pertinents on comprend toujours tout. Halte au baratin.

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Hollande 2013: l'année des bobards

[supprimé]

L'UE et le FMI ont écarté cette solution car cela sortait la Grèce de la rapacité des créanciers.

Ah bon?

Oui.

Et ils ont allégé une bonne partie de sa dette? Vous faites encore une fois un procès d'intentions au FMI et à l'UE au lieu de regarder les faits.

Dans les faits les intérêts de la dette ont été assouplis (effacés en partis) mais au vu de l'augmentation vertigineuse de la dette publique, les créanciers se sont assurés une rente longue.

La restructuration de la dette grecque correspond plus ou moins à un étalement de celle-ci.

Tout le monde s'accordait pour dire qu'il y avait un risque d'effet domino avec beaucoup de conséquences nocives à la clef, y compris le naufrages de banques saines par ailleurs, et pour les grecs, c'était entre 70 et 80 % de perte de pouvoir d'achat.

Une banque saine (qui s'adonnait à son métier, le dépôt) n'avait aucun raison de sombrer.

L'effet domino est dû à la titrisation excessive (à l'anglo-saxonne) et à la dilution des créances douteuses* dans ces titres acquis.

*La fameux pantalon à une jambe.

spitfire

Dans les faits les intérêts de la dette ont été assouplis (effacés en partis) mais au vu de l'augmentation vertigineuse de la dette publique, les créanciers se sont assurés une rente longue.

Je ne comprends pas ce que vous voulez dire! La dette ayant déjà été augmentée, ils n'y gagnent pas grand chose

La restructuration de la dette grecque correspond plus ou moins à un étalement de celle-ci.

Non. relisez les communiqué sortis à ce sujet

Une banque saine (qui s'adonnait à son métier, le dépôt) n'avait aucun raison de sombrer.

Ben si! car elle n'était pas forcé de savoir que la Grèce avait dissimulé beaucoup d'opérations.

D'ailleurs les banques concernées étaient plutôt des banques considérées comme solides par ailleurs.

papyresiste

- 14 juillet 2013 «La reprise, elle est là».

Pathétique...

Oui, pathétique, comme Sarkozy qui ......

On ne peut pas défendre un mensonge par un autre mensonge ;)

si les gens de gauche sont , faute d'idées et d'actes, les champions de ce stratagème

[supprimé]

Dans les faits les intérêts de la dette ont été assouplis (effacés en partis) mais au vu de l'augmentation vertigineuse de la dette publique, les créanciers se sont assurés une rente longue.

Je ne comprends pas ce que vous voulez dire! La dette ayant déjà été augmentée, ils n'y gagnent pas grand chose

Beh je sais pas comment vous l'expliquer du coup :?

Si la Grèce quittait l'€uro, elle aurait toujours ses créanciers évidemment, mais ceux-ci n'auraient pas prêté de nouveau à la Grèce qui aurait de facto récupéré sa monnaie pour continuer de fonctionner.

Dévaluation immédiate qui aurait eu pour conséquence une hausse vertigineuse de leur produit d'importation mais par contre une compétitivité accrue, un marché intérieur plus sain (accès aux denrées premières facilités par une monnaie nationale) et surtout... Pas de rallonge de la saignée.

La Grèce aujourd'hui c'est la saignée permanente.

Reconnaissez ça, au moins :

Pour le reste, j'avoue que vous m'avez usé jusqu'à la corde pour cet aprem.

Pour les plus curieux:

http://www.les-crises.fr/retour-sur-le-plan-grec/

zzz

La dette grecque, elle est, sera, supportée par le contribuable français (en partie) alors qu'un glass steagal fermerait la partie casino des banques françaises et de ce fait dirigerait les pertes dues au défaut grec, inévitable, ds les poches des actionnaires des parties casino des banques mises en liquidation.

C'est le régime sain en mode capitaliste.

nota: la partie saine des banque (dépôt et crédit) serait sauvée si nécessaire, renflouée si besoin car elle est vitale pour l'économie.

C'est assez simple à comprendre:

1- les grecs sont ds l'impossibilité de rembourser, une évidence (voir les chiffres du camarade berruyer)

2- qui va le faire ? deux possibilités:

a)- les actionnaires des banques détentrices des créances grecques passent à la casserole

b)- les contribuables sont appelés à boucher le trou par l'impôt.

Nos gouvernants ont choisi le b)

Marine, elle, elle est pour le a)

et vous ?

j'ai aimé le troll avec sa perte de 70% pour le peuple grec/

bien évidemment qu'il y a une paume à prendre....par qui ? tht is the question...

... il a pas vu l'autre branche de l'alternative: la perte sèche pour les actionnaires des banques.

lu-ci-de

La dette grecque, elle est, sera, supportée par le contribuable français (en partie) alors qu'un glass steagal fermerait la partie casino des banques françaises et de ce fait dirigerait les pertes dues au défaut grec, inévitable, ds les poches des actionnaires des parties casino des banques mises en liquidation.

C'est le régime sain en mode capitaliste.

nota: la partie saine des banque (dépôt et crédit) serait sauvée si nécessaire, renflouée si besoin car elle est vitale pour l'économie.

C'est assez simple à comprendre:

1- les grecs sont ds l'impossibilité de rembourser, une évidence (voir les chiffres du camarade berruyer)

2- qui va le faire ? deux possibilités:

a)- les actionnaires des banques détentrices des créances grecques passent à la casserole

b)- les contribuables sont appelés à boucher le trou par l'impôt.

...

En fait ça n'existe même pas les "contribuables"..

Puisque la TOTALITE de leur argent provient de l'Amont : les ENTREPRISES françaises..

Pas d'entreprise = ZERO.. contribuable.

Mais à l'ENA ils ne leur ont même pas appris ça... :

Quel Pays !

[supprimé]

L'UE et le FMI ont écarté cette solution car cela sortait la Grèce de la rapacité des créanciers.

Ah bon? Et ils ont allégé une bonne partie de sa dette? Vous faites encore une fois un procès d'intentions au FMI et à l'UE au lieu de regarder les faits.

S'ils n'allègent pas la dette, ils ne pompent plus le lait, ils tuent la vache.

C'pas le but évidemment.

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