Faîtes attention aux singes : ils sont parfois méchants.
La dette, on la doit à qui ?
A des banquiers.
Les singes pourraient dire : "assoyez-vous sur votre pognon, vous ne le reverrez jamais" aussi facilement que le gorille en colère étrangle le petit singe qui fait chier.
C'est attesté historiquement : au Moyen Age, quand les banquiers avaient trop de créances et qu'on ne pouvait plus les payer (comme dans le cas de Jacques Coeur, par exemple), on les pendait ou on leur coupait la tête, et on repartait sur des bases saines.
Vous inquiétez pas (ou pas trop).
Pour revenir sur l'Allemagne, puisque c'est le sujet du fil, après des humeurs et des états d'âme bien compréhensibles, on voit qu'ils vont finir par lâcher du mou, sur la Grèce et tout ça. Je le vois venir : je me tiens au courant, j'achète une fois par mois, quand je vais à la ville, à peu près la FAZ ou la SDZ, les principaux journaux allemands, et il est facile de voir que l'on se montre bien plus accommodant maintenant sur l'idée d'effacer, au moins en partie, la dette grecque, et que l'on a grandement bémolisé le discours louangeur de la politique absurde d'austérité qui a conduit là-bas aux échecs les plus cinglants.