On n est pas mort d en avoir reçu quelques unes.
Ce vieil argument pourri qui cherche à excuser ses parents et ses propres comportements miroirs.
D'une part si, physiquement c'est très dangereux pour un enfant.
D'autre part on ne s'autoriserait pas à frapper/fesser un voisin, un collègue, son conjoint, ni même son chien, l'enfant n'est pas un sous-homme.
Et enfin la violence n'a AUCUNE valeur éducative.
PS : non violence ne veut pas dire sans limite pour l'enfant non plus.
Qu'elles sont gonflantes vos niaiseries gauchistes.
Bientôt on va interdire la menace de la privation de dessert, car oui après tout c'est du refus d'alimentation d'un enfant, donc délit de malnutrition, et ne serait-ce que psychologiquement vous savez quelle séquelle cela laisse, à un enfant, de savoir que sa maman le prive d'alimentation alors que c'est son rôle premier ?
Avez-vous déjà gardé des mioches ? Qu'il y ait des gens abusifs qui frappent à la moindre chose, oui, je ne le nie pas, mais la fessée est souvent le recours ultime quand l'enfant est intenable ou fait quelque chose de vraiment grave. Et c'est bien parce qu'elle a prouvé son efficacité (il suffit de voir comment ça calme le gosse net la plupart du temps) qu'elle a été utilisée depuis si longtemps.
Sacrifier une efficacité éducative et disciplinaire sur l'autel d'un pur délire idéologique de plus en plus totalitaire, je dis non.