Ouiiiiii, c'est connu, l'acier refroidit RAPIDEMENT dans l'AIR.... D'ailleurs jamais on ne le trempe dans de l'eau pour le refroidir, JAMAIS... tellement l'acier refroidit vite dans l'air...
1) Vous avez déjà visité une acierie? de quelle couleur sort l'acier en fusion et de quelle couleur se retrouve t'il en quelque seconde? Un autre problème: la viscosité: ce qui s'écoule des façades n'a certainement pas la viscosité de l'acier!
2) C'est quand on veut faire de l'acier trempé qu'on le trempe dans l'eau, comme son nom l'indique.
1. La couleur sombre de l'acier en sortie de coulée provient des scories (résidus de carbone accumulés par l'acier dans le haut fourneaux au moment de sa fonte) sous cette couche (qui est rapidement enlevée), l'acier est rouge...
Pour passer au blanc, il faut le surchauffer largement plus que les 1500°C nécessaire à sa fusion... or le kérosène non contraint (en combustion libre) brûle en dégageant une température d'environ 575°C (il peut toutefois atteindre les 2200 °C en milieu contraint - dans un réacteur par exemple, mais surement pas en dehors d'un réacteur !!!)
Quand à ce qui s'écoule des fenêtres, la viscosité dépende largement de la température... Plus c'est chaud, plus c'est liquide...
2. Et c'est bien le fait de le refroidir RAPIDEMENT avec de l'eau qui lui donne les propriétés désirées, si on le laisse refroidir LENTEMENT à l'air il n'a pas les mêmes propriétés... merci de votre confirmation...
Donc cela ne peut donc pas être de l'acier qui aurait été rouge par le simple contact de surface avec de l'air à température ambiante et qui aurait eu beaucoup plus de viscosité et dont on se demande bien comment il pourrait être là sous la forme de l'écoulement que vous nous décrivez.
je m'aperçois que vous avez dérivé et que vous n'avez toujours pas donné de scénario alternatif! Tout comme les fadas de reopen911, dont on attend toujours qu'ils proposent un scénario plausible! Ils se sont contentés de faire semblant de s'étonner de phénomènes physiques normaux.